Lun 30 Jan 2017 - 11:26
more fire
ft. Locke
Tout pour échapper à l'ennui.
Que ce soit dans le Bronx, dans une jungle post-apocalyptique remplie de monstres et autres bêtes mutantes, ou à Pallatine, le résultat est le même. Lorelei ne supporte pas de rester assise à ne rien faire; sortira par tous les moyens. Au grand dam de ses parents, il y a très longtemps. Ni les portes, ni les fenêtres verrouillées ne l'ont jamais arrêtée. Can't stop won't stop. Si, dans le Bronx, ces sorties consistaient en cassage de rotules et autres conneries, à Pallatine, et maintenant que Lorelei a renié cette vie (un tic du visage lui échappe à cette pensée), cela fini presque toujours simplement par des aventures dans des coins peu fréquentables.
Elle ne cherche pas les ennuis, ce sont les ennuis qui se ramassent toujours jusqu'à elle. C'est du moins ce qu'elle dirait si on lui posait la question; elle ne considère clairement pas 'aller se promener dans les coins crades de la ville' comme chercher les problèmes. Elle passe donc le plus naturellement du monde sous l'entrée de cette zone désaffectée de la ville, ou ses pas l'ont menées cette fois. Et son attention, immédiatement, est attirée par une clameur, plus loin. Vers laquelle elle commence immédiatement à se diriger, s'assurant mentalement du poids du glock à sa ceinture, l'excitation qui commence à picoter dans le bout de ses doigts.
Well that guy's fucked. Pour se retrouver en face d'un combat très one-sided composé d'un homme aux cheveux blancs et de quatre thugs à l'air contrarié. La première pensée de Lorelei est: this ain't none of your business. Jusqu'à ce qu'une pointe de remords lui pousse dans les côtes. What'f they waste 'im? 'T's'your business now. Ça, et l'excitation qui s'échappe de ses doigts pour remplir ses veines. Elle s'élance sans hésitation. « Hey, y'cocksuckers! Over here! »
Les dits cocksuckers prennent le temps de se retourner vers elle, ce qui laisse le temps à l'homme de prendre ses jambes à son cou. Et, apparemment, ce qu'il leur a fait est plus grave que de jurer dans leur general direction, puisqu'ils se tournent de nouveau vers lui pour le poursuivre. Lorelei jure silencieusement. Fuck! Et elle s'élance à leur poursuite à son tour, alors que l'homme s'engouffre dans un bâtiment et qu'ils le suivent. Elle profite de leur ralentissement, alors qu'ils tournent le coin de la porte, pour se jeter sur le dernier et le plaquer par terre. Un grognement au bout des lèvres, une main sur la crosse de son glock.
Que ce soit dans le Bronx, dans une jungle post-apocalyptique remplie de monstres et autres bêtes mutantes, ou à Pallatine, le résultat est le même. Lorelei ne supporte pas de rester assise à ne rien faire; sortira par tous les moyens. Au grand dam de ses parents, il y a très longtemps. Ni les portes, ni les fenêtres verrouillées ne l'ont jamais arrêtée. Can't stop won't stop. Si, dans le Bronx, ces sorties consistaient en cassage de rotules et autres conneries, à Pallatine, et maintenant que Lorelei a renié cette vie (un tic du visage lui échappe à cette pensée), cela fini presque toujours simplement par des aventures dans des coins peu fréquentables.
Elle ne cherche pas les ennuis, ce sont les ennuis qui se ramassent toujours jusqu'à elle. C'est du moins ce qu'elle dirait si on lui posait la question; elle ne considère clairement pas 'aller se promener dans les coins crades de la ville' comme chercher les problèmes. Elle passe donc le plus naturellement du monde sous l'entrée de cette zone désaffectée de la ville, ou ses pas l'ont menées cette fois. Et son attention, immédiatement, est attirée par une clameur, plus loin. Vers laquelle elle commence immédiatement à se diriger, s'assurant mentalement du poids du glock à sa ceinture, l'excitation qui commence à picoter dans le bout de ses doigts.
Well that guy's fucked. Pour se retrouver en face d'un combat très one-sided composé d'un homme aux cheveux blancs et de quatre thugs à l'air contrarié. La première pensée de Lorelei est: this ain't none of your business. Jusqu'à ce qu'une pointe de remords lui pousse dans les côtes. What'f they waste 'im? 'T's'your business now. Ça, et l'excitation qui s'échappe de ses doigts pour remplir ses veines. Elle s'élance sans hésitation. « Hey, y'cocksuckers! Over here! »
Les dits cocksuckers prennent le temps de se retourner vers elle, ce qui laisse le temps à l'homme de prendre ses jambes à son cou. Et, apparemment, ce qu'il leur a fait est plus grave que de jurer dans leur general direction, puisqu'ils se tournent de nouveau vers lui pour le poursuivre. Lorelei jure silencieusement. Fuck! Et elle s'élance à leur poursuite à son tour, alors que l'homme s'engouffre dans un bâtiment et qu'ils le suivent. Elle profite de leur ralentissement, alors qu'ils tournent le coin de la porte, pour se jeter sur le dernier et le plaquer par terre. Un grognement au bout des lèvres, une main sur la crosse de son glock.
ϟ NANA
- Spoiler:
- Vas-y, mets le feu