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Le calme de la montagne - YARŪ

Sam 1 Avr 2017 - 13:20
Yarū

Yarū Nairag

feat Ashitaka | Mononoke hime

Caractère

YARŪ est le nez. Fin et adroit, précis, pragmatique et perfectionniste. Les odeurs sont importantes, décisives, elles dévoilent.

YARŪ est la langue. Désirante et préoccupée. Qui ne se laisse pas faire, difficile, vite rebutée et dégoûtée quand le goût lui déplaît. Elle crache dans ce cas.

YARŪ est la main. Délicate et forte. Agile, élégante et souple. Celle qui ne laisse rien passer. Le touché éclaire, montre la voie.

YARŪ est l'œil. Intransigeant et vif. N'aime pas rester dans le flou, attrape les détails et choisi la cible sans ciller. Il ne détourne jamais son regard lumineux.

YARŪ est aussi autre chose. Un vent qui souffle et soulève doucement des mèches dans une caresse simple. Bienveillant ? on ne sait pas, il passe, intemporel. Fraîche, mais pas froide, une silhouette lumineuse et silencieuse s'évapore.

Il est ce regard perdu qui surplombe encore une steppe de son souvenir, refusant de réaliser qu'il n'y retournera plus. Il essaye d'entretenir sa culture délaissée en confectionnant des plats qui lui rappelle la saveur de la neige et des feuilles épicées. Il les partage depuis son arrivée dans un minuscule restaurant, dans un coin d'une ruelle escarpées et vieillissante, mélangeant tradition et nouvelle cuisine -qu'il trouve bien étrange. Il y travaille seul, avoir des employés est un principe qui le rebute profondément pour bon nombre de raisons. Ce lieu est un sanctuaire à ses yeux où renaît l'atmosphère de ses montagnes et leur silence. YARŪ a peu de clients, mais s'en satisfait. Il ne voudrait pas se retrouver submergé par la tâche au point de ne plus aimer ce passe temps.

     Dans ses mains, il comprime chaque matin des feuilles et des fleurs séchées soigneusement choisies, aux arômes qui lui plaisent. Il confectionne ainsi ses thés, depuis le petit jardin qu'il a créé en plein milieu de son restaurant, au prix d'envahir parfois l'espace des clients, mais YARŪ n'en a cure. Son petit commerce, parfaitement légal et autogéré, est très apprécié d'IWASAKI-RENGO qui lui commande souvent des thés très spécifiques. Bien que certaines personnes de son entourage le poussent à utiliser ce lien pour infiltrer les yakuzas, YARŪ n'en fait rien. Son petit paradis reste en dehors des affaires.

YARŪ est une voix douce et humble qui parle peu, mais soigneusement, revêtant de velours chaque mots finement choisis, saupoudrés d'un accent timide mais indélébile. Il est un regard levé vers le ciel ou baissé sur le sol, remarquant avec tristesse le béton gris ou les nuages remplis de pollution. Rarement ses yeux croisent ceux des autres, peu peuvent discerner dans ses yeux les reflets des montagnes qui y luisent toujours. YARŪ est incapable de regarder dans les yeux ceux qu'il doit tuer ou chasser, hommes comme bêtes, c'est une habitude qu'il garde de son ancienne vie, durant laquelle il refusait d'abattre un animal dont les pupilles et l'âme lui avaient été dévoilées. Il garde en tête que n'importe qui pourrait un jour devenir une cible, cette idée le hante et le rend distant, mais jamais désagréable.

Calme, il a supporté les coups durs de la vie en ne lui répondant qu'avec de fins sourires. Tristes ? On ne sait pas. Une douce mélancolique le protège des affres du temps. La rudesse de la vie n'a pas durci sa peau, ni rendu ses cheveux rugueux, encore moins terni l'éclat de ses yeux. YARŪ a survécu en se glissant dans les recoins chaud de l'existence, ceux que l'on oublie trop vite, ceux qui préservent le cœur des flèches colériques et sombres des épreuves. Des repères secrets qui l'empêchent de se perdre dans les eaux troubles où il nage souvent. YARŪ est un jeune homme qui ne trouve rien à redire à la vie, ni à son destin. Il accepte, prend ce qu'on lui donne sans quoi il resterait assis à regarder le monde tourner autour de lui avec satisfaction. Il ne se plaint de rien, encore moins à Palpatine où la vie est d'un confort qu'il n'espérait même pas dans ses rêves les plus délirants. Mais tout est trop doux ici, YARŪ regrette de ne plus avoir à dormir dans la neige. Tout est si nouveau, que YARŪ ne comprend pas tout et ne cherche pas à savoir ce que toute cette technologie implique, ça le dépasse. Le dégoûte même.

- La nature a disparue. Ce n'est pas sain. Les arbres sont maigres, malades, ne respirent plus. Les maisons des hommes s'élèvent trop haut, ne laissent plus de place pour les oiseaux. Les hommes s'entassent, eux-même ne respirent plus et s'étouffent dans leur propre merde. -

C'est là que la véritable irritation de YARŪ se cache, méprisante envers la masse, compréhensive avec les individus particuliers. Il ne saisit pas comment ce mode de vie est devenu normal. Il se souvient des débuts de l'industrialisation, mais n'y croyait pas... À présent, à quoi ressemble sa montagne ? A-t-elle été rasée ? Les racines des arbres sont-il devenus des fils électriques, leurs troncs des poteaux de signalisation ? La modernité est le seul vrai drame de sa vie.

YARŪ est un homme solitaire mais doux, autant que son apparence le laisse penser. Son expérience de la montagne n'a pas fait de lui un homme chargé de virilité et de violence. Il est un jeune homme calme, sensible et simple, qui se laisse bien souvent emporter par la vague, entraîner par les premières mains qui l'agrippent. Il s'avère qu'à Palatine, elles étaient celles de Gangsters, alors il les a rejoint, trop perdu et désespéré dans ce nouveau monde pour se révolter -il n'en avait plus envie, crier et s'offusquer, il l'avait assez fait... YARŪ s'est fait reconnaitre par son sérieux, sa discrétion, sa loyauté -qu'il considère uniquement comme une marque de gratitude- et son travail impeccable.

L'aura de chasseur le suit, laissant une trace derrière ses pas : quelque chose de doucement oppressant et implacable. Une cape de glace invisible posée sur ses épaules. Il traque ses proies avec minutie, sans jamais se laisser piéger par une excitation malsaine. YARŪ respecte le poids de la vie et ne prend jamais de plaisir en la dérobant. Il n'accepte de contrat que lorsqu'il a besoin d'argent -pour survivre- tout comme on ne chasse un animal que sous la pression de la faim. Jamais davantage. YARŪ a des règles : il n'accepte pas de tuer les enfants, ni les personnes qu'il connait personnellement.

- LE CHASSEUR -
Les engrenages de son esprits demeurent inconnus, jalousement gardés sous ses cheveux de jais emmêlés. Ses convictions jamais déclarées, enfermées dans ses jolies lèvres, tout comme ses sentiments, plus bouillants qu'on ne l'imagine.

_Le Chasseur a des légendes qui le poursuivent et résonnent dans la ville. Les langues disent qu'il est une ombre qui frappe fort, de deux balles tirées, une dans l'épaule, l'autre en plein cœur. Un marquage. Elles disent qu'il garde toujours un objet ayant appartenu à ses victimes, comme la fourrure d'une belle bête dont on serait fier.  

_On raconte que Le Chasseur se transforme la nuit venue, se dévoilant charmant et charmeur. On dit qu'il ne fait qu'embrasser, un romantique vite satisfait. Il paraitrait que l'alcool s'échappant de ses lèvres sent la cerise, que ses cheveux ont le parfum de la pluie fraiche, aussi doux que les feuilles des orchidées. On dit qu'il danse divinement, mais que ses beaux pas sont rares.

_Le Chasseur ignorerait les affrontements et les insultes, ne se battant qu'à un seul endroit, là où tout se fait dans les règles.

écridzauhezapuh

Âge: 27 ans
Naissance: 11/12/1875
Départ: 1900
Présence en ville: 2 ans
Nationalité: Mongolie
Métier: Traqueur / tueur à gage / créateur de thé / cuisinier
Statut civil: Célibataire

Groupe: Gangster
Section: /
Rang: /
Nom de code: Le chasseur

Taille: 1.78
Corpulence: Finement musclé
Cheveux: Noirs
Yeux: Bruns clairs
Autres: Possède d'étranges marques sur son bras droit, vestige d'une ancienne maladie.

Histoire

I. Lonely Hunter - FOALS
Se souvient du froid. Se souvient du vent. Se souvient de l'odeur des forêts -rares. Se souvient du ciel dégagé. Se souvient de la buée tremblante qui s'échappait de sa bouche. Se souvient... Se souvient à peine...

Se souvient qu'il était chasseur. Se souvient être solitaire et heureux ainsi. Se souvient des voyages. Se souvient du petit peuple dont il faisait partie avec sa famille, fuyant les maîtres en vivant dans les terres les plus reculées. Se souvient de la faim. Se souvient si bien... Ne se souvient parfois plus tout à fait...

Se souvient de l'odeur des fourrures, si lourdes, mais si chaudes. Se souvient du fusil. Se souvient que son père était l'un des rare à en posséder. Se souvient l'avoir reçu après sa mort, à seize ans. Se souvient comme c'était lourd et difficile à manier au début. Se souvient comme il est facile d'appuyer sur la détente. Se souvient qu'il est facile de pleurer ensuite, inutile aussi, mais que rien n'y fait.

Se souvient de la douleur du bras, qui se crispe et se brise, dévoré par une tâche noire grandissante, meurtrière. La marque du malade cachée sous de nombreux tissus. La marque du maudit. Se souvient : c'est pour cette raison qu'il a fuit, craignant de contaminer sa tribu, croyant mourir lentement, ses os réduits en cendre. D'abord le bras puis les épaules, le torse, les jambes... Se souvient pourtant que la solitude l'a sauvé, le mal s'est éclipsé durant ses longues marches, la tâche ne grandit plus, s'est endormie.

Se souvient d'un ours qu'il a abattu. Se souvient avoir croisé son regard avant de lancer l'ultime flèche. Ce souvenir revient dans ses rêves. L'ours est là, dans un coin, assis pendant que l'homme dors. Ils se regardent, se dévisagent, se haïssent et se pardonnent chaque nuit. Se souvient d'un cerf majestueux qu'il n'a pas pu tuer. Se souvient avoir effleuré son museau des doigts, avoir plongé ses yeux dans le regard millénaire de l'animal : il y a vu défiler sa vie et sa propre mort.  Incapable de s'en souvenir et si proche d'y parvenir pourtant...

Se souvient des hommes, arrivés, violents, pour l'emporter. Se souvient qu'il buvait alors un thé au bord d'un étang paisible. Se souvient ne pas avoir résisté, peut-être aurait-il dû ? Se souvient avoir été frappé pour baisser la tête et répondre aux ordres. Se souvient avoir refusé de laisser le fusil, alors il a crié et s'est débattu. La première fois qu'il se révoltait. Se souvient des coups plus forts encore, le fusil a disparu. Ne se souvient pas qu'il a pleuré de devoir porter une arme destinée à tuer d'autres hommes. Ne se souvient pas du motif du combat auquel il allait participer. Se souvient de l'entraînement, qui a gonflé ses muscles pour les faire exploser, combien de fois a-t-il vomi sa faim, sa fatigue et son dégoût ? Se souvient des regards. Mort est le regard d'un soldat meurtrier. Mort, celui qui ne combat pas. Se souvient...Pas. Les noms sont effacés, les visages censurés par la mémoire...

Se souvient du cri libérateur, des poings levés, de l'air, des chaînes invisibles qui se brisent. Se souvient bien des mots, des idées : libération, indépendance, mais leurs significations ? Alors elles étaient limpides, résonnaient dans son cœur comme le cri du loup dans la forêt. La vague l'a emporté loin de sa montagne. Le devoir, l'honneur -principes inutiles à l'homme solitaire- l'on éloigné de sa maison. Il se souvient s'être perdu dans la foule, se brisant la voix en criant à son tour. L'entraînement marque. Le corps et l'esprit se souviennent qu'il faut se battre. Maintenant, se battre pour une cause à sois, pourquoi pas... Mais d'autres bras l'on attrapé, et porté plus loin encore.

II. PALLATINE a rouvert des plaies dans mon cœur et en a refermées d'autres.

PALLATINE est trop calme, recouverte d'un voile blanc de modernité homogénéisant qui me met mal à l'aise. Ce temps a tué quelque chose en l'homme. Une douceur ou une simplicité saine ?... Moi qui croyais que les temps durs rendent les hommes mauvais, je me trompais. Le temps est doux ici, il fait bon vivre, pourtant la noirceur grandit, cachée et perfide. J'y participe moi-même.

PALLATINE m'a apprit une langue inconnue, elle m'y a contraint sans pitié. Moi qui n'avait jamais lu, écrit, ni été assis sur le banc d'une école, j'ai découvert la difficulté de l'apprentissage. Bien différente de celle des parcours lents dans la neige ou des efforts musculaires. J'ai découvert l'étendue de l'esprit -en dehors des rêveries que je savouraient déjà depuis longtemps- la force de la pensée et de la connaissance. Je me suis révélé doué au maniement des langues étrangères, j'y ai même trouvé une passion. J'ai appris la poésie dans la lecture et l'ai immédiatement aimée.

PALLATINE a une langue charmante la nuit, oui, des courbes douces et trompeuses que j'aime attraper. Après tout, je ne suis qu'un homme. J'aime m'y laisser porter à présent, un peu plus habitué à cette vie futuriste devenue mon présent. La musique résonne dans certains endroits et le temps s'échappe -même si je commence à croire qu'il n'a jamais existé. On danse, boit à la santé des êtres restés derrière nous, là-bas, au pays. On ne sait plus. Je me suis découvert un charme, peut-être que je suis exotique pour les femmes, poussiéreux, une relique étrange autant qu'elles sont des déesses de l'avenir à mes yeux. Elles m'ont apprit que les pieds ne servent pas qu'à marcher, mais aussi à danser; que la bouche n'est pas faite que pour mâcher...
Pardonnez-moi, je ne suis qu'un homme.

PALLATINE me perd dans ses nouveautés, sa technologie à laquelle je ne comprends rien. Je m'en détourne, craignant de voir me sang se transformer en électricité. Je sursaute encore parfois en allumant la lumière ou le gaz... Dans des moments d'égarement, lorsque j'oublie, je voudrais allumer un feu en me demandant quel animal il me faudrait chasser pour me rassasier... La plus petite bête me suffirait aujourd'hui, car la faim d'existe plus. Elle a disparu et seule ma mémoire me la rappelle vaguement.

PALLATINE m'a enlevé des secrets et des bonheurs. La montagne manque, elle et sa cruauté simple, si évidente. Il y a une montagne, ici, mais y aller m'a plus déprimé qu'autre chose. Ce n'est pas pareil. Ma montagne avait des cheveux, des lèvres et des paupières, une voix. Celle-là est un amas de terre morte. Ses arbres pleurent, son vent souffre. Je n'y retournerais pas. La mer cependant, que je n'avais jamais vue avant, repose mon âme et mon regard. C'est beau, nouveau sans me paraitre insensé.

PALLATINE m'a tendu des mains sèches qui m'ont emporté auprès d'hommes sombres et tristes, violents. Qu'ont-il vécu pour avoir de tels visages ? Pas le quart de ma vie pourtant, j'en ai l'impression. Comme s'ils rêvaient de douleur, pour savoir ce que ça fait et cherchaient le danger pour se sentir exister. Des enfants... Je les méprise en silence, dans mon incompréhension venue du passé. Ils me parlèrent de situations alambiquées, de conflits dans la ville, d'ennemis. « Vos ennemis, pas les miens » avais-je dit, ce à quoi ils répondirent que les problèmes affectent tout le monde. Ce n'est pas faux. Ils m'aidèrent tout d'abord, m'offrant maison et confort, réclamant ensuite compensation. Les autres clans n'étaient guère mieux, je le découvris rapidement, et chacun répondait à des codes qui ne m'étaient pas familiers. Il fallait que je m'adapte, sinon ce monde m'engloutirait sous sa paranoïa déferlante. J'ai serré la main de ses hommes à la langue qui danse, l'italien et ces beaux mots, accents qui avaient de quoi me charmer et que j'appris par la suite.
Il me rendirent mon métier : chasser. Chasser des hommes à présent, mais je suis une épave désespérée à la recherche de mes habitudes d'autrefois. J'ai courbé l'échine, j'ai accepté. La chasse est toujours une question de survie, jamais de plaisir. Ceux qui croient le contraire sont des fous, des meurtriers. Le suis-je devenu ?... Je traque davantage, c'est un compromis : chercher la proie que l'on m'a demandée, pister ses pas dans la ville et l'offrir une fois que je l'ai trouvée en l'épargnant. Mais que font-il d'elle ensuite... J'apprend à ne pas écouter de trop loin. J'évite la mort adroitement, mais parfois c'est une affaire de destin : implacable, on ne marchande pas, on ne danse plus. On tire. Froidement sans croiser le regard, pour ne pas se confronter à l'âme et aux sentiments.
Je ne suis qu'une épave. Pardonnez-moi. Je ne suis qu'une épave...

PALLATINE a volé ma solitude. Il n'y a plus de place pour être seul. Les hommes s'amassent, s'entassent, parlent sans cesse et se taisent tout en restant bruyant. Le silence n'existe pas. La paix des monts se trouve peut-être au sommet des grattes-ciels ? Les gens poussent, ruminent et insultent à voix baisse, ils me pourrissent, me contaminent avec leur souffle rempli de haine et de misère. Je voudrais partir, rentrer, vivre comme autrefois... Retrouver ma montagne, son froid et ses confidences. Ce n'est pas que je n'aime pas les autres hommes, mais les animaux sont bavards dans leurs yeux, sentiments purs sans cachoteries. Je me méfie.

PALLATINE a réveillé quelque chose. La tâche de mon bras ondule parfois, me fait mal, moins qu'autrefois, mais je sens que ça mordille de nouveau, la nuit, m'empêchant de m'endormir... Je surveille, elle ne grandit pas pour l'instant, mais sûrement que l'air nauséabond n'aide pas... Les crises de douleur sont rares, mais violentes, me paralysant pendant plusieurs minutes.

POISSON D'AVRIL !
Non pas du tout... C'EST MOI ! C'EST KOOL ! J'inaugure mon 2nd compte ! *^* je suis si content. Bref, comme d'hab' mes petites patates, je vous aime et YURU, aussi je l'aime beaucoup...

Sam 1 Avr 2017 - 14:58
(tu as mal choisi ton jour pour faire ton DC toi Malicieux )
Oh mais tu passes à l'ennemi ! C'est mal très bien, ça. Par contre, personnage venu du passé, je suis dit oui, ça manque sérieusement par ici. Tombe Et cette façon d'écrire... Tombe c'est magique.
Sam 1 Avr 2017 - 18:30
Je passe exprès avec Sneug pour te dire que TU ES UN SALE TRAÎTRE OMG mais je t'aime quand même.
Parce que je voulais jouer un personnage mongol et que le résumé sur ton profil donne sacrément envie, que le cocktail de métier est absolument génial et cette façon d'ÉCRIRE EST PARFAITE.
J'EN VEUX PLUS.
GENRE, LA.
MAINTENANT.
Le calme de la montagne - YARŪ 1567552125
Sam 1 Avr 2017 - 19:25
Le nom, l'époque, le pays, la langue, les professions, le style, l'avatar, l'écriture. Pourquoi tout est aussi parfait ? DAM.
Attends-toi à me voir débarquer pour un lien dès que tu auras terminé ta fiche, parce que ce n'est pas possible sinon (comment ça, c'était outrageusement prévisible ?).

Petite merveille ambulante que tu es Cœur
Sam 1 Avr 2017 - 19:44
:') Mes poulets, vous me couvrez de compliments, j'espère que ce ne sont pas des poissons d'avril ;p N'est-ce pas Nagouille ? :3

SEUNG : tu voulais jouer un mongol ?! Merci ! Bah j'ai eu tellement de mal et hésité à me lancer parce que je n'y connais rien à la Mongolie et pourtant ça fait super longtemps que je voulais sortir un perso là-dessus... Du coup j'ai passé ma nuit sur internet à faire des recherches sur la Mongolie x) (au moins j'ai eu l'impression de me cultiver...) mais bon, je ne me sens pas trop bien placé pour en parler donc je me fais tout pitipiptipiti....

SANSAR : !!!!!!!! M-mais j'avais tellement pas remarqué que ce personnage était mongole !!!! M-m-mais j'avais où la tête ??! (Mince, moi qui me sentais si spécial flûte zut) MAIS JE TE CONNAIS TOI ! (J'étais pas sûr, mais en passant un coup d'œil sur la fiche de Sansar, je n'ai plus d'hésitation ! Oui je suis parfois un peu long à la détente. xD)
Non mais euh, le compliment me touche vraiment en fait.... "Petite merveille ambulante" ça ferait un Remix du château ambulant avec moi qui marche dans la montagne et qui brille x) (je suis à fond aujourd'hui oui, oui)
Lun 3 Avr 2017 - 6:36
ok ce caractère est ++++++
j'aime comment il est structuré et le FOND ce personnage est fucking magnifique??? clair mais intriguant.
(Yarū me fait penser à cette chanson voilà c'était le moment je raconte ma vie.)
bref.
je suis fan.

(oh & j'ai trop mal au crâne pour lire l'histoire mais ça ne saurait tarder.)
Lun 3 Avr 2017 - 12:06
(mes compliments ne sont jamais des poissons d'avril  Ö )

J'ai trouvé ta fiche à la fois belle et émouvante. Yaru est si simple et si humble, tellement respectueux envers la vie, qu'elle soit humaine ou animal, il n'est vraiment pas fait pour aller chez les gangsters, et pourtant, la façon dont tu le justifies est si logique qu'on se sent triste pour lui. Mais quelle adaptabilité.
Le choix du verbe être plutôt qu'avoir pour le caractère, l'absence du pronom dans la première partie de l'histoire, n'en parlons pas, ça doit tellement de poigne à ton texte. Le calme de la montagne - YARŪ 2038183076  Tu as une écriture précise comme je les aime, de celles qui recréent une ambiance avec délicatesse.
Arrêtez de faire des fiches aussi belles, sérieux, mon cœur ne va pas le supporter. Le calme de la montagne - YARŪ 2307667433

Yarū Nairag

a reçu son permis de séjour à Pallatine

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Ce permis de séjour vous donne le droit de résider à Pallatine, de trouver un emploi et d'appartenir à une diaspora. Il atteste que vous êtes apte à vivre par vos propres moyens en ville. Nous vous rappelons que ce permis est obligatoire pour toutes vos démarches administratives auprès de l'Institut.

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