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Intrigue 3 : Institut

Sam 29 Avr 2017 - 18:50
Et à peine finis-tu de parler, que ton supérieur reprend la parole, exposant ses propres intentions ; et c’est ainsi que les groupes se forment presque naturellement. Ashida souhaite rester avec toi en bas ; tu approuves d’un signe de tête et d’un « Très bien. Ca nous fera gagner du temps, en effet. »  Tu es content qu’elle décide de rester fouiller en bas avec toi. Tu l’apprécies, c’est indéniable ; en tant que subordonnée en tout cas, car tu ne la connais guère en tant que personne – mais c’est une distance que tu as toi-même imposée. Toujours est-il que vous fonctionnez bien en tant que duo ; sérieux, efficaces, la tête sur les épaules, méticuleux.  Tu n’aurais pas voulu perdre du temps à la recadrer. Comme cela aurait pu être le cas avec Melborn…Melborn qui s’apprêtait à prendre la poudre d’escampette, et qui se fait intercepter par Boyle pour qu’il prenne en charge le fauteuil de mademoiselle Krizman. Mademoiselle Krizman qui accompagnera donc le dirigeant de la section sécurité. Tu sais qu’avec lui, elle ne risque pas grand-chose.

« N’hésitez pas non plus à m’appeler » , réponds-tu ensuite à Sara. Comme un talisman contre ce qu’il pourrait arriver de mauvais. Tu veux croire que vous en sortirez tous entiers, et ensemble ; peut-être avec quelques blessures, au maximum, mais pas de blessures graves.  Sauf sur toi-même. Parce que s’il fallait que tu sois blessé pour éviter qu’un de tes camarades improvisés le soit, tu le ferais sans hésiter. Ta propre vie a peu d’importance ; celle des autres oui. Parce que le samourai est celui qui est prêt à tout pour protéger ceux auxquels il tient.Vous avez beau avoir des..désaccords entre vous, vous faites tous partie de l’Institut. C’est une nouvelle sorte de famille. Et la famille, on la protège. Tu as vécu trop de pertes dans ton passé pour avoir envie que la situation se représente.

Et pourtant, et pourtant, malgré ces beaux principes tu te sens t’empourprer de fureur lorsque Melborn glisse sa petite remarque. « Melborn, espèce de... ! » , grondes-tu ; un grognement de loup, profond, menaçant. Sous-entendre de telles choses...il ne manquait pas de culot, celui-là ! Tu n’as jamais regardé Ashida de cette façon ; et quand bien même, si c’était le cas, tu ne mêles pas travail et vie privée. C’est quelque chose de bien trop dangereux. Tu n’es pas un chien en rut, non plus. Tu as eu beau avoir eu plusieurs maîtresses  par le passé, maintenant que tu es arrivé à Pallatine, tu ne t’es jamais engagé dans quelque relation que ce soit. Trop sévère, trop exigeant envers toi-même ; trop blessé, trop effrayé de perdre encore des proches.

Finalement vous vous retrouvez seuls, Ashida et toi ; tu souffles un bon coup, encore agacé de la plaisanterie du scientifique, avant de te tourner vers ta subordonnée . « Allons-y. Mais fais attention, d’accord ? »  Tu ne veux pas que quoique ce soit lui arrive. Tu ferais un bien mauvais supérieur, sinon. Après quelques minutes d’investigation, vous découvrez que seule une pièce est ouverte, encore plongée dans l’obscurité ; et tu actionnes l’interrupteur.Il s’agissait d’une sorte de salle d’archives. On y trouvait des étagères remplies de dossiers ; une table avec un coffre posé dessus, ainsi qu’un cahier.

« Je commence par les étagères. Sait-on jamais. ».

Examiner les parois d’une pièce avant de se rapprocher du « centre ». Ta décision, contestable ou non.

Choix..:
Jeu 4 Mai 2017 - 12:11


Intrigue | Livre III

T. Hijikata, H. Ashida | L. Melborn, S. Krizman, C. Boyle



Sentiments dormant sous un lit de tristesse – enfouis, égarés au gré du vent, un sort jeté au hasard du destin qui chante son irrémédiable tragédie de silence. Les ombres se dessinent sur les murs, et le piège se referme sur nous. Le monde croule sous nos pas, on l’entend se balancer, se briser, de fil en fil. La mort est peut-être au bout de ce chemin, un crépuscule aveuglant qui vient illuminer nos jours de malheurs, nos heures de détresse, nos idées d’absolu – qui rend son nom à l’innommé. Nuit, nuit, nuit qui dans un souffle balaye nos rêves, et dans un soupir caresse l’Ennui, ce cruel empereur macrophage qui dévore l’humanité toute entière.

Ils sont seuls désormais, seuls dans cette usine étrange, aux sons étouffés et aux voix sourdes. Les autres membres de l’Institut sont partis mener l’enquête de leur côté, et il ne reste plus que le cœur battant de l’escouade Makoto à ses côtés. Pourtant, Himiko se sent en terrain familier. Même si d’ordinaire, je suis plutôt sur les toits, et lui au sol. Je suppose que ça ne doit pas changer grand-chose. Elle pose sa main sur la crosse de son arme, comme pour se rassurer. Espérons que je n’en aurai pas besoin. Je n’aime pas contempler la mort dans les yeux de l’autre. Ça me rend malade. Plus j’en suis loin, mieux je me porte. Puis, d’un geste nonchalant, elle vérifie que ses cheveux sont bien attachés. Elle s’étonne d’ailleurs de ne pas l’avoir fait plus tôt. Tu n’es pas à ce que tu fais, Ravenshell. Du nerf.

Hijikata, l’empathie et le sérieux à tous les étages. Une présence dont la jeune fille ne peut faire abstraction ; leur confiance demeure, leur confiance est. Allons-y. Mais fais attention d’accord ? Une phrase en japonais, simple, intime, rassurante, comme ils en ont l’habitude dans ces moments-là. Elle sent un léger frémissement dans son bas-ventre qu’elle s’empresse d’ignorer, et ses traits se durcissent immédiatement – ce qui, même sur le visage immuable et éternellement jeune qui est le sien, la vieillit pourtant considérablement. Elle s’empresse de répondre, un sourire figace au coin des lèvres, avec ce même ton monocorde, sérieux et légèrement teinté de noblesse qu’elle a pris l’habitude d’utiliser quand Himiko, la femme, devient Ravenshell, le maillon de l’Institut.

- Watashi wa kyō shinu koto o keikaku shite imasen*

La salle est plongée dans l’obscurité. Je n’aime pas ça du tout. Ça sent le traquenard à plein nez. Je veux en avoir le cœur net. Appliquant à la lettre les procédures qu’elle a apprises au centre d’entraînement Svensson, Himiko s’empresse de décrocher de sa ceinture une petite mire infra-rouges – le modèle standard qui est distribué à tous les cadres de la sécurité – tandis qu’elle se met à couvert près de l’encadrement de la porte. Soudain, un flash de lumière la fait sursauter, et son sang de ne fait qu’un tour. Qu’est-ce que… ah, le capitaine vient de trouver l’interrupteur. Et dire que c’est lui qui me dit de faire attention.

Je commence par les étagères. Dès qu’il s’agit de mener une mission à bien, ces deux-là abandonnent le japonais entre eux, car l’anglais reste malgré tout la langue-reine de l’Institut – et de Pallatine. Sait-on jamais. Quoi de plus logique ? Encore que, Himiko aurait sans doute procédé d’une autre façon. Il ne m'a pas donné d’ordres après tout, je vais donc faire ça à ma manière.

- Capitaine, je vais inspecter le cahier. Il contient peut-être des informations qui vont nous aider ; vu le nombre de dossiers sur ces étagères, on ne peut pas se permettre de chercher à tâtons. Le temps nous est compté.

Comme partout à Pallatine, d’ailleurs. Time waits for no one. Time waits for no man.






* Traduction du japonais:
Action d'intrigue:
Sam 13 Mai 2017 - 10:55
CAMIL BOYLE
&
INSTITUT
REPLONGER EN ENFER
Le corps de Sarah Krizman est une bouée vide plombée. Un poids d’enfant mort que je me revois délivrer à des parents dévastés, famille déchirée, maison trouée de mes balles. Elle ne dit rien, Sarah, mais son silence a l’écho des reproches qui jamais ne parvinrent à moi. Elle ne dit rien, Sarah, et je ne dis rien non plus. Crainte, timidité, peur de mal parler, faire un faux-pas, alors on préfère éviter d’interagir avec cet autre qui nous trouble, perturbe notre quotidien de solitude. Mais son souffle chatouillant mon cou et la prise de ses petites mains sur mes épaules ne peut effacer sa présence.



Elle est vivante.



Et c’est un miracle pour moi. L’étau de la mort, omniprésente, se desserre, me permettant de mieux respirer. Ses cheveux tombent en cascade sur mon torse, toison d’or sombre, le faible éclairage ne rendant pas justice à sa jungle capillaire.


Sarah est un ange tombé du ciel, ailes brisées, liberté arrachée. Ses yeux d’enfant me scrutant sans oser se poser plus de deux secondes sur moi ont la pesanteur des victimes d’injustices. Elle me ressemble. Enchaînée. Belle. D’une beauté sauvage, pulsant le long de nos veines, dans notre cœur ne songeant qu’à partir, s’enfuir… Mais pour aller où ?
Cependant, sa vulnérabilité féminine, sa voix douce, ses gestes apaisants. Sa manière de se recroqueviller sur elle-même, se faire oublier. Sa peau trop parfaite, ses dents trop blanches, son parfum de pêche. Tout cela et bien plus encore nous sépare.



D’où notre silence, sans doute.



Mais elle finit par le briser en premier, ce qui m’étonne venant de sa part. Je me surprends à apprécier sa prise de décision, même si elle va à l’encontre de mon plan.
Consultant ma montre, je nous accorde une certaine avance sur le programme qui va nous permettre d’exhausser les souhaits de la jeune femme.


« Très bien. Il nous faudra cependant redescendre le plus tôt possible, mademoiselle. »

Je reprends mon ascension, me préparant à une longue escalade avant de parvenir à notre but… Ou pas.


CODAGE PAR AMIANTE
Dim 21 Mai 2017 - 20:43

Intrigue 3 - Institut

Participants : Locke Melborn, Sara Krizman, Toshizō Hijikata, Himiko Ashida, Camil Boyle

Locke arriva dans l'ascenseur, armé d'un pistolet offert par Camil. Bien qu'il fût seul, il n'était donc pas totalement vulnérable. Le choix étant très simple, il appuya sur le bouton et se retrouva au second étage. Face à lui, un long couloir qui s'achevait par un virage, faiblement éclairé par la lumière d'un néon clignotant - et sur les côtés, trois portes, deux à gauche et une à droite. Aucune indication n'était donnée pour Locke, il devait donc décider par lui-même de son propre chemin.

Himiko et Toshizo se répartirent les tâches pour essayer d'explorer la pièce. Toshizo observa les étagères ; tous les dossiers étaient en rapport avec l'entreprise, et il était difficile de distinguer quelque chose. En revanche, une feuille était posée sur l'un des dossiers, menaçant de tomber à terre. Himiko, quant à elle, observa attentivement le cahier ; malheureusement, il s'agissait d'un simple registre statistique, comportant des colonnes de chiffres et de noms. Il y avait peut-être un indice caché à travers ces données, mais le temps était compté, et il n'était pas possible de les analyser.

Quant à Sara et Camil, ils montèrent jusqu'au deuxième étage. La configuration était exactement la même, et l'escalier se poursuivait jusqu'au troisième étage.

LOCKE vous pouvez :
A. Tenter d'ouvrir la porte de droite
B. Tenter d'ouvrir une des portes de gauche
C. N'ouvrir aucune porte et aller tout droit

HIMIKO et TOSHIZO vous pouvez :
A. Tenter d'ouvrir le coffre
B. Consulter la feuille se trouvant sur le dossier
C. Consulter la feuille se trouvant par terre

SARA et CAMIL vous pouvez :
A. Pousser la porte coupe-feu et vous engager dans le second étage
B. Continuer jusqu'au troisième étage
C. Redescendre au premier étage

Lun 22 Mai 2017 - 18:43
Sans explosion, sans accident, sans rien, Locke arriva au second étage, fort déçu de ne pas avoir eu le droit à une musique d'ascenseur pendant la monté. Mais on ne pouvait malheureusement pas tout avoir.
Calmement, il sortit de la cabine avec le fauteuil roulant et regarda autour de lui à la recherche d'un potentiel indice qui le mènerait à la prochaine étape, mais ne trouva pas grand-chose pour l'aider. Une porte sur la droite et deux sur la gauche, et un long couloir en face de lui qui menait je ne sais où avec l'ambiance digne d'un film d'horreur. Un néon clignotant hein. C'était un peu cliché, et peut-être pas vraiment un bon signe.
Dans d'autres situations, le scientifique aurait peut-être tenté d'ouvrir l'une des portes en premier, mais sa curiosité le poussait d'abord à vérifier ce qui se trouvait de l'autre coté du couloir. S'il n'y avait rien d'intéressant, peut-être allait il tout simplement revenir sur ses pas pour ouvrir les portes.
Aussi c'est en sifflotant sans la moindre pression qu'il se dirigea tout droit avec son fauteuil roulant qui lui épargnait l'immense effort de marcher.

Choix C donc
Lun 29 Mai 2017 - 18:28
Elle s'accroche comme elle peut, Sara, même si elle sait que ce n'est pas très utile, que ça ne change pas grand chose -c'est Camil qui la porte, c'est lui qui l'a soulevée et c'est lui qui la reposera par terre. Elle, elle peut seulement essayer de ne pas trop gêner, et en même temps, de s'imposer. Elle ne veut pas juste être poupée ligotée, emmaillotée dans les réserves qu'on fait aux personnes comme elles -celle qui doute des capacités physiques, puis mentales, puis morales. C'est un enchaînement, elle l'a bien appris, Sara. Elle fait tout pour que ça ne commence jamais.
Elle est rassurée quand Camil accepte. Elle sait qu'elle n'aurait rien pu faire contre son refus, et que c'est une situation cruelle autant pour lui que pour elle -elle l'imagine avoir un minimum de compassion, de compréhension, et elle s'approuve en silence, les doigts qui déchirent ses omoplates sans même s'en rendre compte. Elle est stressée, Sara, et elle se demande ce qui peut bien arriver -elle se demande pourquoi on l'a envoyée, aussi.
Et il y a une porte. Un panneau indique l'étage numéro deux, la logique aussi, et ascenseur devait monter jusqu'ici. Ce n'est pas un choix qui s'offre, dans la tête de Sara, c'est une évidence. bon hé bien ... Elle inspire de manière forte -elle a l'appréhension qui grouille dans son ventre. allons-y. Puisqu'il n'y a rien d'autre à faire, puisque leurs fardeaux commencent à être trop lourds pour les épaules de Camil.

Spoiler:
Mar 20 Juin 2017 - 21:55
Un regard entre toi et Ashida. Je n’ai pas l’intention de mourir aujourd’hui, te répond-elle. Toi non plus ; mais tu y es préparé. Depuis que tu as quitté ta vie de simple marchand de médecine ambulant, tu y es prêt. La preuve en est, à Hakodate...Mais ce n’est pas la question. Inutile de te plonger dans tes souvenirs alors que tu es en pleine intervention, en pleine action, cela ne servira qu’à te retenir. Simplement - toi, tu n’as pas peur de mourir aujourd’hui, et si tu devais quitter ce monde en ce jour, tu serais en paix. Enfin presque. Qui peut prétendre mourir en laissant tout complètement en ordre, c’est une bonne question. Mais la majorité de tes affaires sont en ordre ; ne resterait que ce sentiment écœuré et bien connu pourtant de n’avoir pu aller jusqu’au bout.

Tu hoches la tête lorsqu’elle t’annonce qu’elle va regarder le cahier.Qu’elle agisse comme elle l’entend en respectant les règles de sécurité et les marches à suivre - c’est tout ce que tu demandes. Tu tiens à ce que vous reveniez entiers.Et puis vous serez plus efficaces à travailler chacun dans votre coin, avec méthode, plutôt qu’à s’agglutiner au même endroit. Quand bien même un examen des lieux comme en ce moment n’est pas vraiment votre spécialité.

Seulement, rien ne semble vraiment intéressant dans les dossiers que tu examines. Ce smiley était un faux indice ; tu aurais pensé qu’il indiquerait quelque chose de particulier, n’importe quoi. Un appât pour rien, en gros, et tu lâches un léger grognement mécontent.

«Il n’y a rien dans ces dossiers. » marmonnes-tu. «Rien du tout.  »  

Que faire ensuite ? Tes pensées reviennent vers ce coffre, sur la table, et tu prends ta décision.

«Ce coffre m’intrigue trop. J’ai l’impression de rater quelque chose en l’ignorant. »   ajoutes-tu ensuite, de mauvaise grâce, car tu n’aimes pas étaler tes états d’âme.

Et ces feuilles pourtant, qui traînent dans la pièce. Elles pourraient contenir des informations intéressantes - mais tu ne sais pas, l'appel de ce coffre a été plus fort. Une erreur probablement.

Choix:
HRP:
Lun 10 Juil 2017 - 11:32

Intrigue 3 - Institut

Participants : Locke Melborn, Sara Krizman, Toshizō Hijikata, Himiko Ashida, Camil Boyle

Locke, dans un premier temps, choisit d'aller tout droit. Bien lui en prit : voilà qu'à nouveau, une petite flèche, rouge comme celle du hall, lui indiqua de tourner à gauche au bout du couloir, et une grosse flèche grise lui indiqua la direction contraire. Il y avait visiblement un amphithéâtre au bout du couloir de gauche, comme en témoignait la plaque qui avait été fixé au dessus des portes battantes. A droite, le couloir continuait et se perdait dans l'obscurité.

Pendant ce temps, Sara et Camil se retrouvèrent au même étage que Locke, mais de l'autre côté. La configuration était exactement la même : des portes à gauche et à droite, et au bout du couloir, une artère qu'ils pouvaient emprunter dans les deux sens. Ils pouvaient tenter de rejoindre Locke, même s'ils ignoraient qu'il était là, ou agir autrement.

Quant à Himiko et Toshizô, ils tentèrent d'ouvrir le coffre.

La réussite sera déterminée par le lancer de dés :
A. Ils parviennent à ouvrir le coffre
B. Ils n'y arrivent pas
C. Le coffre était fermé mais pas verrouillé

Lun 10 Juil 2017 - 11:32
Le membre 'Aeon' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'Choix PNJ' :
Intrigue 3 : Institut - Page 2 G3etWGC
Lun 10 Juil 2017 - 11:36

Intrigue 3 - Institut

Participants : Locke Melborn, Sara Krizman, Toshizō Hijikata, Himiko Ashida, Camil Boyle

Bingo ! Le coffre n'étant pas verrouillé, Himiko et Toshizô purent découvrir ce qui s'y cachait. C'était une indication qui leur expliquait comment s'y prendre.
Pour remporter la partie, prenez l'ascenseur, montez à l'étage indiqué, traversez le couloir et... (La suite est coupée pour ne pas influencer Locke, mais est connue des deux personnages)
Les communications n'étant pas possibles dans le bâtiment, protégé par un brouilleur, ils devaient rapidement s'organiser pour relayer l'information.

LOCKE vous pouvez :
A. Tourner à gauche
B. Tourner à droite
C. Rebrousser chemin

SARA et CAMIl vous pouvez :
A.  Tenter d'ouvrir une des portes de droite
B. Tenter d'ouvrir une des portes de gauche
C. N'ouvrir aucune porte et aller tout droit

HIMIKO ET TOSHIZO vous pouvez :
A. Prendre l'ascenseur pour essayer de rejoindre Locke
B. Prendre l'escalier pour essayer de prévenir Sara et Camil
C. Vous séparer pour aller prévenir chacun des deux autres groupes

Lun 10 Juil 2017 - 18:26
Locke eut une légère grimace en voyant qu'une nouvelle fois, deux flèches s'offraient à lui. Cela ne l'aurait pas dérangé davantage s'il avait eu quelqu'un à coté de lui pour aller d'un coté et de l'autre, mais cette fois ci il se retrouvait seul. Hmm. Il allait donc devoir faire de nouveau un choix. Mais lequel serait correct ?
Il observa les deux flèches, l'une rouge et l'autre grise comme celles d'en bas, et remarqua sans peine qu'ils avaient changé de place.
La flèche rouge qui avait indiquée à droite et donc les escaliers au RDC indiquait désormais la gauche et donc un amphithéâtre. La flèche grise elle, qui avait indiquée à gauche et donc l'ascenseur  pointait désormais le chemin de droite vers un long couloir sombre.
S'il se trouvait désormais devant deux autres flèches, c'était que la flèche grise, donc l'ascenseur et le deuxième étages, était supposément le bon choix à prendre. Devait-il continuer à suivre cette flèche grise donc ? Pour ce long couloir sombre au lieu d’un amphithéâtre qui titillait bien plus sa curiosité ? Ou devait-il continuer à prendre le chemin de gauche à chacun de ses choix telle la fameuse méthode pour sortir d'un labyrinthe ?
Il se gratta la tête un instant puis décida de téléphoner à Toshi pour avoir des nouvelles sur une quelconque découverte. La seule découverte qu'il fit fut, sans surprise, que le téléphone se révélait en réalité inutile.  Ces salauds avaient bien prévu leurs coups.
Hmmm. Que faire.
D'un coté, une certaine logique voudrait qu'il suive la flèche grise, d'un autre coté, l’amphithéâtre...Bah l’amphithéâtre était un lieu parfait pour qu'un méchant révèle son plan machiavélique de détruire Pallatine de façon théâtrale, non ?
Heh. Son choix était fait donc. Locke n'était pas le genre de personne à prendre des décisions logiques.

Cela dit, séparé des autres et incapable de les contacter, il fallait tout de même trouver un moyen de communiquer et d'informer les autres de ses choix si jamais il ne rebroussait pas chemin. Malheureusement, il n'avait pas sur lui un feutre pour ruiner les murs de ce beau bâtiment.
Il pourrait éventuellement abandonner l'une de ses pantoufles sur le chemin pour indiquer son choix, mais il n'avait pas envie de se séparer de ses pantoufles préférées pour ça. Même s'il était sur un fauteuil roulant, et qu'il ne marchait pas.
Aussi, après mûre réflexion, il opta pour une deuxième option. Il reprit à nouveau son téléphone, y tapa un message, et le laissa sur le sol avec une musique électro bien bruyante au maximum.
Avec un sourire amusé sur le visage, il prit le chemin de gauche et suivit la flèche rouge vers l’amphithéâtre.
Il espérait que ceux qui tomberaient sur son message aient l'idée de suivre la flèche grise, histoire d'explorer plus de terrain et si ses déductions étaient potentiellement correctes. Et dans le cas où ils le suivraient….Meh.

Message du téléphone :

Choix:
Sam 22 Juil 2017 - 22:04
Il semblerait que ton intuition ait été la bonne en t'intéressant au coffre plutôt qu’en t’acharnant sur les dossiers. Par chance, celui-ci n’était pas verrouillé, juste fermé sommairement. Déjà un bon point ; cela devait signifier qu’Ashida et toi êtes sur la bonne voie, car le mystérieux maître chanteur qui vous avait fait venir ici semblait vouloir tous vous rencontrer.  La preuve en était avec cette indication que tu lis à ta subordonnée.

«Je vais essayer de communiquer cette information à mademoiselle Krizman, comme Locke a pris l’ascenseur et est probablement bien avancé.» , annonces-tu ensuite. Peut-être s’étaient-ils arrêtés au même étage que Locke, qui savait ; mais au moins, cela ne coûtait rien de les prévenir. Du moins,c’était la théorie ; car il n’y a aucun réseau, même après avoir redémarré ton téléphone. Tu tiques, fronçant les sourcils dans un geste bien familier, avant d’annoncer la bonne nouvelle à ta subordonnée. Sous-entendu ; il va falloir se débrouiller seul. Il fallait croire qu’il n’était pas si bête,leur ennemi du moment. On ne pouvait pas lui reprocher de manquer de prudence.

En revanche, tu as particulièrement hâte de te confronter à lui ; de lui parler ; de comprendre la logique derrière son action ; et..Peut-être, oui, de lui faire passer le goût de recommencer. Le chantage n’est pas quelque chose que tu apprécies. (Surtout c’était ta vie privée qui est mise en cause, et ce n’est pas rien.)

Finalement après quelques minutes de réflexion, tu prends ta décision finale.  Elle n’engage que toi ; si Ashida veut te suivre soit ; mais tu ne l’entraîneras pas de force dans une voie qui pourrait être dangereuse.  Si elle veut aller prévenir ton supérieur et mademoiselle Krizman soit ; c’est aussi une option que tu respectes, ton opinion d’elle ne sera pas affectée. Du moins à Pallatine, tu n’as jamais demandé des subordonnés te suivant tels des petits chiens incapables de réfléchir par eux-même.

Choix...:
Mer 2 Aoû 2017 - 15:58

Intrigue 3 - Institut

Participants : Locke Melborn, Sara Krizman, Toshizō Hijikata, Himiko Ashida, Camil Boyle

Locke fut le premier à arriver dans la salle. Le reste du groupe mit du temps à arriver : Sara et Camil se perdirent dans le second étage et ne purent les rejoindre ; quant à Himiko et Toshizou, ils arrivèrent au niveau de l'intersection, où ils purent alors entendre du bruit du côté gauche.
Locke, en entrant dans la pièce, venait d'activer un hologramme d'une qualité médiocre, dont la voix nasillarde disait : « Félicitations ! vous avez réussi à atteindre votre but dans le temps imparti. Attendez-vous à recevoir une aide bien précieuse dans les prochains temps... » Face à lui, un coffre contenant une petite capsule, qu'il avait tout intérêt à conserver, attendait qu'il s'intéressât à lui.

Le sujet est terminé. Vous avez réussi à atteindre l'objectif grâce à Locke et ses choix judicieux. Vous recevrez donc un bonus dans la prochaine intrigue.
La capsule contient un message qui vous sera communiqué très bientôt.

Mer 2 Aoû 2017 - 23:16
Locke regarda avec un sourire amusé l’hologramme qui s'était activé à son entrée. Heh, il avait vraiment tapé dans le mille sur le coup du grand méchant faisant son annonce dans un amphi? Hé bah. L'instinct et la flemmardise remportait une fois de plus la partie. Il espérait que l'institut le laisserait un peu plus tranquille la prochaine fois qu'il déciderait de sécher le taf.
Lorsqu'il ouvrit le coffre pour constater avec une légère déception qu'il n'y avait qu'une simple capsule, il demanda à voix haute aux organisateurs qui étaient probablement en train de l'observer:

-Quoi ? Une simple capsule ? C'est tout ?


Mais sans surprise, seul le silence lui répondit.
Bah. C'était mieux que rien. À vrai dire, il ne savait pas à quoi d'autre il aurait pu s'attendre. Peut-être un en-cas, car il commençait à avoir faim, mine de rien. Peut-être allait-il inviter les autres à boire un coup ce soir, tiens.
Et c'est à cette pensée là qu'il entendit les autres arriver.
Armé de son éternel sourire, il se tourna vers eux tout en lançant et rattrapant la capsule avec sa main, sans aucune peur qu'elle tombe à terre pour se casser:

-Heh, vous pensez que je vais avoir une augmentation? Ou des jours de congés supplémentaires ?


Locke était un homme qui ne perdait jamais de vue ses objectifs. Jamais.
Dim 6 Aoû 2017 - 21:36
Et tu sors de la pièce, tu finis par prendre l’ascenseur, pas vraiment rassuré. Tu n’as jamais pu t’habituer vraiment à ces boîtes en métal exiguës, même celles de l’Institut. Imaginons qu’elle se coince entre deux étages ; ou pire, que les courroies lâchent, et tu serais bien avancé. (Réduit à la dimension de crêpe dans le second cas plutôt.) Non pas que tu sois claustrophobe, encore heureux, mais simplement, tu n’aimes pas te retrouver dans cette situation, parce que tu te sens vulnérable, soumis aux aléas de l’électronique. Tu aurais du prendre l’escalier, sans doute ; mais tu as voulu suivre les traces de l’autre rigolo, bon choix ou non.

...Autre rigolo qui n’a rien, et qui comble du comble, est le premier arrivé. Tu le regardes, et tu finis par grommeler un «Bien joué, Melborn.» qui t’arrache un peu la bouche. C’était le monde à l’envers ; celui qui avait obéi purement à son instinct en se précipitant dans l’ascenseur avait au final trouvé le bout de l’énigme à laquelle ils avaient été confrontés aujourdh’ui. Honnêtement, tu as peine à y croire, et ça t’accable un peu d’un côté. Toi qui avais voulu agir de manière rationnelle et posée.. Mais comme quoi, on pourrait peut-être en tirer quelque chose du Melborn, vu que son instinct ne semblait pas mauvais..

Ou pas.

«Ne rêve pas trop. Essaye déjà de rattraper tes jours de travail perdus à ne rien faire, ça serait bien .» Ah, l’amabilité, ta meilleure amie. Mais il fallait avouer qu’il l’avait un peu cherché, non ? A parler de vacances, lui qui était connu et reconnu comme le plus grand flemmard de l’Institut, toujours prêt à trouver une bonne excuse pour ne pas travailler. Et que du coup, tu regardes avec un peu de mépris, parce que l’oisiveté et le refus de travailler sont des choses que tu méprises souverainement.

Cependant, une capsule attire ton attention. C’était..tout ? Ce petit objet, c’était ça le but de l’intervention ? Tout ça pour ça ? C’était décevant, cela ressemblait à un pétard mouillé ; et tu te sens croiser les bras, contrarié.

Enfin, mission réussie, tu supposes.
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