Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le coffret Collection Alakazam-ex ?
Voir le deal
anipassion.com

these violent delights have violent ends

Ven 7 Sep 2018 - 4:01
bannière

iosefka rosebury

feat widowmaker • amélie lacroix | overwatch (bannière par artbytesslyn)

Caractère

Iosefka • Une femme qui a grandi seule, élevée par un naturaliste et ses créations. Une véritable éponge, elle acquiert le plus de connaissances possible. Curieuse, mais surtout voyeuse, Iosefka a des démons, à nourrir et à combattre. Elle est élégante et polie, entourée d'une atmosphère de raffinement. Tremblante quand son démon intérieur est en ascension, elle devient instinctive, sauvage et sans retenue. Iosefka est une femme de salon, tout du moins en apparence. Elle qualifie le rituel du service à thé pénible, les décorums des bals fastidieux et les plaisanteries sociales dénuées de sens, cependant, elle aime danser.

Iosefka est semblable à son apparence extérieure, séduisante et formidable, pleine de secrets et de dangers. Elle est une femme compatissante et qui est loin d'être incapable d'amitié et de courtoisie. C'est un oiseau chétif, sujet à des troubles de l'humeur et de la personnalité. Elle est une femme lunatique, où les griffes de la dépression ont profondément lacéré son âme. Une parcelle d'Iosefka est resté dans le cabinet de l'aliéniste, bien loin de Pallatine, dans le temps et l'espace....

Vox • Une ombre que l'on ne voit jamais totalement, un manteau rouge ou l'empreinte d'une main teinté comme le sang, mais c'est une voix que l'on entend. La voix du peuple dont son message résonne dans le cœur de ses adhérents ou sur les ondes de radio pirate. Elle est une cheffe que l'on ne connaît pas et qui oeuvre en secret. Une retenue oublié dans les livres de comptes pour financer ses troupes. La Vox Populis n'est pas un groupe de gangsters, mais de révolutionnaires qui cherche à faire tomber l'autorité, en quête de liberté, loin de Pallatine et de ce temps qui n'est pas le leur.

Vox est une femme qui n'a plus rien à perdre. Une mère sans encrage, loin de son enfant. Un démon qui gronde de colère, charismatique, brutal et intelligent. Son nom résonne comme un écho depuis plus d'un an, mais elle existe depuis bien longtemps, innommée. Elle est capable de faire verser le sang et de mener une guerre pour retrouver son fils. Ou mourir en essayant....

vox

Âge: 31 ans
Naissance: 08/11/1866
Arrivée: 1891
Présence en ville: six longues et interminables années
Nationalité: anglaise
Métier: la financière d'Al Capone • leader de la Vox Populis
Statut civil: mariée et mère, sans époux et sans enfants

Groupe: Gangsters
Section: femme de main • Vox Populis
Rang occupé: la financière • leader cachée du groupe de révolutionnaires la Vox Populis
Nom de code: Dollmaker • Vox

Taille: 1.62
Corpulence: malingre comme un oiseau chétif
Cheveux: de lourdes boucles aile de corbeau qui semblent prendre fin le long de ses jambes, toujours retenu en chignon
Yeux: marron avec des paillettes d'or
Autres: un teint blanc comme de la craie et des veines violines comme une belle malade, accompagnés d'une posture irréprochable

Histoire

• Iosefka Wheeler est née d'une immigrée catholique polonaise et d'un père protestant, convertie à la foi de son épouse par amour. Une mère qui n'a jamais fait partie du tableau, partie trop tôt et silencieusement. Son père se tait, il aime sa fille plus que tout au monde. Il a le cœur qui se serre en voyant le portrait de sa bien-aimée grandir à ses côtés. Iosefka, née chanceuse, grandit sans mère mais entourée de grands esprits, de poupée et de drôle d'animaux sans vie.

• Le British Museum est sa seconde maison, les collègues de travail, de son père, deviennent des membres de sa famille et leurs enfants ses amis. Comme tout enfant, Iosefka fouille et se cache partout où elle le peut. Elle n'a pas peur de ce qu'elle voit et elle est attirée par ce qu'elle ne devrait pas. Il lui arrive à plusieurs reprises d'observer par le trou de la serrure des discussions privées que peut avoir son père.

• Iosefka est attirée par la danse et les poupées, elle aime créer des histoires et l'harmonie des tirades des pièces de théâtre. Souvent, il lui arrive de monter une comédie ou une tragédie issu d'un ouvrage de la bibliothèque. Lillibeth, alias Elizabeth, avait la manie de faire en sorte que son grand frère se rapproche d'Iosefka. Lillibeth avait l'idée que plus tard Iosefka épouserait son frère, et qu'elles deviendraient sœurs en plus d'être meilleures amies. Elle ne se réjouit pas à cette idée, elle rêve d'autre chose.

• Quand les formes deviennent davantage proéminentes au travers de ses robes, la jeune fille s'enferme dans un corset et soulève ses cheveux à l'aide de jolis rubans. Le monde est cruel face aux femmes sans époux, mais il l'est davantage aux sales femmes qui mènent les hommes au péché. Iosefka se complaît dans le cocon créé par son père mais, de plus en plus, son teint de craie et ses courbes féminines attirent l’œil. Elle échange davantage de conversations avec les hommes et cherche à connaître ce qui les rend si particuliers.

• Sa curiosité ne c'est pas amoindrie avec le temps. Un jour où elle furetait dans les jardins, elle découvrit en cachette deux amants au détour d'un jardin. Leurs baisers et leurs caresses avaient éveillé quelque chose de profondément enfoui. Un appétit qu'elle n'arrivait pas à assouvir, un démon qui mène au péché. Iosefka redoublait de prières pour le faire taire.

• Tandis que, Lillibeth se pavane au bras d'un jeune officier, qui ressemble au grand jeune homme avec l'imposante moustache dont elle rêvait plus jeune. Iosefka est jalouse, elle qui était l'intrépide se retrouvait à la traîne dans les histoires d'amour. Bien que mise en garde par son prêtre en confession, Iosefka cède à son démon. Et attire dans son lit le bel officier qui était promis à son amie.

• Iosefka réside dans un appartement étroit, mais propre. Au chaud, plus joli une fois décoré. L'endroit lui plaît, suffisamment grand pour lui permettre de vivre confortablement, mais toujours aux frais de son père. Elle calcule, économise. La jeune femme s'accoquine, à la popularité grandissante, reçoit des cadeaux et déjà elle pèse leur valeur, non pas par vanité, mais par précaution. Iosefka désire se relever si son père venait à la laisser tomber, l'abandonner, car elle a un démon qui la dévore de l'intérieur. Sa pénitence est sans failles, chaque baiser, dix prières en latin, chaque caresse elle finit les genoux endolorie et arcs de lune sur ses paumes de mains à force de prier et quand cède, elle jeun pour expier ses fautes.

• Une nuit la douleur la réveilla et les draps ensanglantés l'accueillaient. Ces escapades allaient trop loin. Son dieu la punissait pour son âme qui embrassait un peu plus le diable chaque jour. Iosefka retournait chez son père, dans l'espoir de se racheter une réputation. L'histoire avait été étouffée, il était dit qu'elle était partie à la mer pour se soigner. Son teint blafard et sa gêne corroboré l'histoire sans aucun souci.

• Son père l'amenait à des dîners et bals, les décorums l'ennuyaient. Pourtant Iosefka se forçait, afin de se racheter une réputation et une conscience. Elle n'a pas de réel espoir, jusqu'à ce que qu'elle rencontre Sir Rosebury, un explorateur qui est obsédé par trouver l'origine du fleuve du Nil. Iosefka écoute ses récits avec avidité, les animaux qu'il a rencontrés sont les mêmes qu'elle a pris plaisir à empailler avec son père. D'une certaine façon ils se ressemblent. A la différence qu'elle n'était pas née dans la bonne condition.

• Il est marié, même si sa femme se meurt de consomption. Son fils est plus jeune que Iosefka, mais la différence d'âge est minime. La jeune femme pourrait s'amouracher du fils de monsieur Rosebury, mais son dévolue se porte sur le père, elle attend les obsèques et se contente des rendez-vous avec son futur époux. C'est une relation sans amour, tout du moins elle ne ressent pas ce qui était inscrit dans les livres qu'elle lisait. Il y avait de la passion et du respect. Iosefka aurait aimé qu'il l’amène avec lui dans ses voyages en Afrique, en vain, elle ne voyagerait jamais plus loin que l'horizon.

• La période de deuil s'en était fini en même temps qu'il était rentré de son voyage. Iosefka Wheeler allait devenir Miss Iosefka Roseburry. La future mariée devait taire son culte pour celui de son époux, pendant un temps ses démons se taisent. Elle semble être une épouse discrète qui avait pour passe-temps d'empailler les trophées de chasse de son époux et de tenir les comptes du foyer.

• Sir Rosebury n'a jamais a chercher à avoir d'enfants avec Iosefka, c'était une tâche qui la soulageait. Elle qui s'imaginait incapable de devenir mère depuis cette fameuse nuit où la colère de son dieu s'était abattue sur elle. Pour son dernier voyage, son beau-fils accompagna sir Rosebury en Afrique, sans savoir qu'un seul reviendrait dans la demeure Londonienne.

• La mauvaise nouvelle était parvenue par télégramme. Iosefka ne savait pas si c'était son époux ou si son beau-fils qui avait succombé à la dysenterie. La mort avait amené avec elle une invitée surprise, la sœur de Sir Rosebury. Une femme dure comme l'acier, qui semble venir d'un temps antérieur à la vapeur et au charbon qui noircit la ville. Chaque jour est un calvaire dans l'attente de découvrir qui est le survivant... La crainte d'être veuve n'est rien en comparaison à supporter sa belle-sœur.

• Sir Rosebury fut celui qui traversa le seuil de la porte. Seul. Le corps de son fils était resté en Afrique, avec une simple croix en guise de pierre tombale. Ce voyage avait changé son époux qui écoutait beaucoup trop les paroles venimeuses de sa sœur. Une nouvelle obsession s'était inscrite dans l'esprit de son époux. Avoir une descendance, pour transmettre son patrimoine. Iosefka était la femme qui allait lui donner cet enfant, peu importe le prix.

• Il y eut de nombreuses tentatives, qui se finissaient toujours de la même façon. Le sang et la douleur. Iosefka finissait par s'enfermer dans un mutisme, sous les reproches de sa belle-sœur, tandis que son époux ne disait mot, s'appliquant à la tâche. Son corps s'affaiblissait, jusqu'à laisser l'enfant pleine de vie être le semblable d'une belle malade, comme l'étaient les héroïnes de romans. Sa marâtre lui prodiguait des remèdes, infusions au goût exécrable et solution à base de mercure.

• Une des tentatives fonctionna, alité la majorité du temps de sa grossesse. Iosefka dépérissait, corps et esprit, se rattachant à l'enfant qui grandissait dans son ventre. Jour après jour, elle lui parlait et racontait des histoires. Elle imaginait l'avenir qui se dessinait devant elle, seule avec ce bébé. La délivrance arriva au bout de ses neufs mois, exténuée, la jeune femme donna naissance à un garçon, Archibald.

• Sans qu'elle puisse dire un mot, l'enfant était confié à sa tante et une nourrice. Sous l'ordre du médecin Iosefka devait garder le lit. Elle restait des mois durant dans cette chambre sombre et humide, dépérissant. Les jours où sa santé s'améliorer, elle pouvait voir Archibald, et son cœur s'illuminait, avant que son esprit sombre dans les ténèbres de cette chambre aux rideaux fermés. Se sentant coupable, son époux venait lui déposer à chacune de ses visites une poupée de porcelaine.

• Plus souvent seule qu'accompagnée, Iosefka commençait à parler à ses poupées et à pleurer. La nuit elle errait dans sa chambre, faisant les cent pas sur un parquet grinçant. Un soir, elle quitta la maison, marchant dans les rues enneigées jusqu'à la maison de sa belle-sœur. Elle n'avait qu'un seul désire prendre son fils dans ses bras. Cette escapade nocturne signa la fin de sa liberté.

• Des hommes en blanc conduisaient Iosefka dans un asile sous la demande de son époux, vieux dont l'esprit se fatigue. L'aliéniste l'interne pour des troubles féminins, dont l'hystérie. Les traitements se succèdent pour tenter de la soigner, ou la tuer... Bains glacés, injections de sédatifs, arroser avec des jets d'eau froide. Sans amélioration, bien au contraire, ces poumons se consument. Un sanatorium serait plus indiqué pour la soigner que cet hospice. Pourtant l'aliéniste veut opter pour une trépanation.

• Iosefka n'est pas folle, juste triste. Elle vit dans un corps qui se consume et un esprit qui dépérit. Elle est une mère qui se raccroche à la vie pour revoir son fils et être avec lui. Son temps lui est compté. Demain on viendra raser sa tête pour que le boucher éteigne la dernière flamme qui subsiste en elle. Un manteau rouge sur le dos, et une mèche de son fils dans sa poche, elle s'enfuit en attaquant un garde.

• Son transfert eut lieu cette nuit-là. Ses souvenirs sont flous, elle se souvient d'avoir eu les pieds en sang à marcher dans les rues pieds nus à la recherche d'une maison où elle serait en sécurité. Celle d'un gardien à l’hôpital, lui apportant des douceurs et qui lui lisaient les nouvelles du jour. Un rayon de soleil dans cet enfer. Iosefka n'était pas la personne qui devait être transférée, c'était l'aliéniste. Le pourquoi du comment elle gagna son ticket vers cet eldorado, personne ne le sait.

• Le temps fut long pour soigner cette tuberculose, et cet esprit fragilisé. Iosefka n'a toujours pas réussi à s'acclimater à cette époque qui n'est pas la sienne, faisant semblant que tout va bien. Les yeux furetant à droite et à gauche pour trouver une porte vers son fils qui ne connaît pas sa mère...

luv on u.  Cœur
Les multivers c'est tellement mon dada et puis en plus le fait de pouvoir jouer un perso venant du passé c'est tellement bien !
Sinon c'est Lieutx qui vient passer son quart de siècle avec vous.

Ven 7 Sep 2018 - 20:16
Hello et welcome, content de voir quelqu'un d'autre intéressé par les multivers nous rejoindre these violent delights have violent ends 3460827806
Sam 8 Sep 2018 - 20:18
Un personnage de l'ombre, tout en subtilité, même si son apparence en dit beaucoup sur elle-même, ce n'est pas une raison pour la sous-estimer, à mon avis, au contraire ! J'aime beaucoup le nombre de pistes développées, et tout particulièrement le fait qu'elle ait un enfant, c'est toujours trop craquant les parents, je trouve. these violent delights have violent ends 2038183076
Bienvenue officiellement, bon courage pour la suite de la fiche ♥️
Dim 9 Sep 2018 - 0:50
John ; merci beaucoup ! Et oui, me fournir un contexte c'est juste une profusion d'idée qui a dans les sens. Héros

Naga ; merci beaucoup pour l'accueil ! ♥️ J'ai toujours eu un faible pour jouer des mamans et explorer différente piste avec. Bref une grande source d'inspiration ! Agonise
Lun 10 Sep 2018 - 11:49
Quand j'ai vu Wheeler comme nom de naissance, je n'ai pas pu m'empêcher de songer à ygo et à ce brave Joey, merci pour ce petit moment de nostalgie très agréable. ♥️
Tu as une écriture claire et précise, ce qui permet de vraiment bien comprendre ton personnage, et en même temps riche et condensée, qui sait suggérer plutôt qu'expliquer (ce goût pour la danse, en comparaison du rituel du thé, est à ce titre très intéressant pour ce qu'il suppose de dualité chez le personnage).
Iosekfa (j'adore ce nom, vraiment) est vraiment un personnage réaliste, avec ses qualités et ses défauts. J'ai vraiment apprécié le fait qu'elle ne se limite jamais à la séductrice, mais qu'elle se pose aussi en femme pragmatique et pénitente, que c'est une femme de son temps qui est en même temps capable de bousculer les convenances, mais d'y céder finalement. Sa relation avec son fils est vraiment touchante, on ne peut s'empêcher d'espérer qu'un jour, elle soit capable de le serrer dans ses bras, et qu'il la reconnaisse pour de bon. Pleure
C'est donc un très beau personnage, mais aussi une très belle fiche, bien renseignée, aussi bien sur l'époque que sur Pallatine, je ne regrette pas la lecture et j'espère que Iosefka aura le succès qu'elle mérite ! these violent delights have violent ends 2038183076

Je te valide donc, bienvenue chez les gangsters ! Si tu as envie de voir comment on peut connecter Vox Populi et l'intrigue en cours, n'hésite pas à nous faire signe (sur le forum ou le discord), je suis sûre que y'a moyen de faire quelque chose de très intéressant avec !

Iosefka Rosebury

a reçu son permis de séjour à Pallatine

icon 100*100

Ce permis de séjour vous donne le droit de résider à Pallatine, de trouver un emploi et d'appartenir à une diaspora. Il atteste que vous êtes apte à vivre par vos propres moyens en ville. Nous vous rappelons que ce permis est obligatoire pour toutes vos démarches administratives auprès de l'Institut.

Si vous trouvez cette carte, merci de la déposer à l'Institut.

Informations à fournir dans les plus brefs délais.

- Votre adresse
- Votre nom de code
- Votre profil chronosrep.net
Facultatifs :
- Vos textes libres
- Vos recherches de rp

Sachez que :
- Votre avatar est automatiquement ajouté au bottin lorsque vous êtes validé(e), mais pensez à vérifier tout de même que l'ajout a bien été réalisé.
- Vous devez en revanche recenser votre nom de code dans le sujet adéquat.
- Vous n'avez pas de fiche de lien à proprement parler : vous pouvez ajouter tous vos liens dans votre profil, champ relations. Pour faire une demande, c'est par MP, dans les petites annonces ou via les réseaux sociaux.

Mar 11 Sep 2018 - 10:10
Boooonjour ! Et bienvenue parmi nous these violent delights have violent ends 2038183076

Je suis en retard, pardon, excuse de vacances, mais j'accours tout de même ici pour t'avouer que ce choix d'images dénote un goût certain, que la dame est fichtrement belle dans son allure de spectre, dans son rôle d'ombre sonore. Et quelle mère elle incarne ! C'est une beauté avec toutes ses nuances, servie par une plume incisive ; j'aime beaucoup beaucoup Agonise

Avec hâte pour l'entendre donner de la voix ~
Mar 11 Sep 2018 - 11:41
Je n'ai fait que survoler ta fiche mais le personnage a l'air très bien ! Une femme de la trentaine occupant un poste à responsabilité, avec une certaine finesse dans sa conception, cela me plaît beaucoup. these violent delights have violent ends 3416388633
Bienvenue à toi !
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum