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[kovalevski]

Sam 3 Déc 2016 - 11:59
Dimitri Antonovitch

Dimitri Antonovitch Kovalevski

feat Kirishima Ayato | Tokyo Ghoul

Caractère

On dit parfois que les rêves n'ont pas de couleurs, qu'il ne s'agit que d'images en noir et blanc que l'on imagine en couleurs. On dit souvent que l'on ne peut pas se souvenir parfaitement de ses rêves, qu'ils s'estompent à mesure qu'on se réveille, qu'on ne peut pas faire confiance à ce que l'on a rêvé.
Dimitri ne croit pas à ces théories. Où que ses rêves se portent, ils se teintent de rouge. Rouge sang, rouge carmin, rouge écarlate, rouge pourpre, rouge cerise, rouge pâle. Il en oublie de regarder toutes les autres couleurs. Le ciel se déteint dès qu'il porte le regard sur lui. Les arbres n'ont plus la moindre substance. Rien ne compte plus que ce rouge qui tâche ses rêves. Dimitri s'est lancé dans la quête infinie de ce rouge omniprésent.

Tel un patchwork prenant forme à mesure que l'on coud les morceaux entre eux, Dimitri n'offre pas une image lisse et unifiée de lui-même. Il est fait de morceaux que l'on n'aperçoit que furtivement.
Un sourire sincère qui se teinte rapidement d'ironie. Un rictus moqueur qui se transforme en parole de réconfort. Une générosité qui se cache sous les noms d'indifférence et de brutalité.
Un puzzle, oui, peut-être.
Le rire, chez Dimitri, se fait sarcastique, agressif, décapant. Il picote, démange, dérange même : il ne se préoccupe pas de heurter la sensibilité des autres, il y va franchement. Dévastateur, il balaie sur son passage les préjugés, les idées préconçues et l'hypocrisie en même temps que l'ego. Rien n'arrête son rire, il est trop puissant. Parce que taquiner les autres fait partie de la nature de Dimitri, et qu'il n'y a rien de plus doux que de le voir s'en prendre à l'une de ces personnes âgées avec une tendresse insoupçonnée.
Le rire de Dimitri est tendre, il est le reflet de tout ce que son cœur est engorgé. Dimitri veut calmer, consoler, réconforter, secourir, aider, réparer, soigner. Son rire est le pansement qui apaise la chair à vif et qui aide à cicatriser. Il déborde de chaleur et de sentiments jamais exprimés. Pudique, mais sincère, juste ce qu'il faut de distance et de proximité. Au point presque d'oublier que l'acide de ses paroles ravage tout devant lui...

La modestie est une qualité dont Dimitri n'est pas totalement dépourvu.
Simplicité de la vie qu'il mène, malgré quelques excès.
sortir avec ses potes / faire de la pâtisserie en rentrant du boulot / aller faire ses courses chez le commerçant du coin / regarder parfois un film sur un écran de télévision / se chamailler avec son colocataire / rester en pyjama toute la journée le dimanche / boire du chocolat chaud quand il fait froid / envoyer des cartes de vœux à ses papis et mamies pour leur anniversaire / discuter avec un inconnu dans la rue / partager avec les autres ses passions / passer du temps sur chronosrep / changer de pseudonyme à tout bout de champ / se balader en forêt quand les feuilles tombent / rire d'une bonne blague et compatir aux malheurs des autres.
Modestie du caractère qui, à défaut d'être complète, l'aide à revenir sur le droit chemin.
Dimitri n'aime pas les égoïstes, les égocentriques, les pleurnichards, ceux qui se plaignent pour rien, ceux qui croient tout savoir, ceux qui s'excusent pour un rien, ceux qui pensent ne rien savoir, ceux qui font volontairement du mal aux autres, ceux qui ignorent pourquoi ils agissent, ceux qui veulent trouver un sens à leur vie.
N'est-ce donc pas logique qu'il essaie de ne pas être tout cela ?

Et bien sûr, ce soupçon de pêché qui vient recouvre tel un vernis son âme.
Dimitri a tué, et il ne parvient pas vraiment à le regretter.
Il a l'impression d'avoir agi par devoir.
Dimitri se moque de ce que les autres pensent de lui. Il ne se laisse pas influencer par les critiques très dures qui peuvent lui être adressées, parce que ça n'a aucun sens pour lui. On ne peut se remettre en question pour si peu. Dimitri est un idéaliste, un homme qui a la foi. S'il ne trouve pas la force d'agir selon ses convictions, agir ne sert à rien, il préfère renoncer. Il sait qu'il se trompe parfois, mais c'est une faiblesse pardonnable. Fidèle à lui-même, lorsque Dimitri s'engage dans un projet, il y va jusqu'au bout. Quitte à sombrer dans l'excessivité et creuser les abîmes qui plongent au fond de lui...

Dimitri Antonovitch

Âge: 23 ans
Naissance: 05/12/1898
Départ: 28/01/1918
Présence en ville: Trois ans
Nationalité: Né Russe, devenue apatride, quelle importance désormais ?
Métier: Infirmier en gériatrie, il faut bien que quelqu'un s'occupe des vieux
Statut civil: Célibataire et désintéressé, trop jeune pour se caser

Groupe: Indépendant, futur geek, peut-être
Section: Aucun
Rang: Aucun
Nom de code: Indécis qui en change tous les mois

Taille: 179.5cm
Corpulence: Une silhouette masculine, ni trop fine ni trop musclée
Cheveux: Une tignasse de cheveux sombres, pourquoi les coiffer ?
Yeux: Deux pupilles brunes pour vous toiser
Autres: N'aime pas qu'on oublie son demi-centimètre qui le rapproche du mètre quatre-vingt

Histoire

Récemment, je me suis mis à la pâtisserie. Je ne sais pas vraiment pourquoi il a fallu que j'attende plusieurs années pour enfin oser essayer. Peut-être parce que j'ai trop longtemps eu conscience que c'était incongru chez moi, la pâtisserie. Puis un jour j'ai décidé de tenter, comme ça, sur un coup de tête. J'ai pris ma farine et mon sucre et j'ai voulu faire un gâteau au chocolat. Le gâteau était trop cuit et s'effritait entre mes mains. Il n'était pas très bon, mais au moins, j'ai essayé.
Hier matin, Mme Winderburg a glissé dans sa salle de bain. C'est moi qui l'ai trouvée, elle n'arrivait plus à se relever et elle n'avait pas de téléphone sur elle pour appeler à l'aide. J'ai vérifié qu'elle avait toute sa tête avant d'appeler les secours. Le soir-même, elle me faisait remercier en m'envoyant une bonne bouteille. Je n'aime pas le vin mais l'intention était louable.
Aujourd'hui, M. Slinsky est mort. Je me suis senti triste pour lui ; je l'aimais bien, ce brave homme. Il est parti sans douleurs ; la vieillesse. Hier encore, il me parlait avec enthousiasme de la visite de son petit-fils la semaine prochaine. Son petit-fils habite à Ocane, à ce que j'ai compris. Il ne viendra pas voir papy la semaine prochaine. La fille de M. Slinsky m'a prévenu que l'enterrement aurait lieu ce samedi, et elle m'a remercié pour tous les soins que j'ai accordés à son père. Semble-t-il, il m'aimait beaucoup. J'ai esquivé ses remerciements habilement. Le pauvre Slinsky, sourd comme un pot, n'entendait jamais quand je lui demandais de bouger son gros cul pour changer. Ça m'embête qu'on croit que j'ai été aussi gentil avec lui.
Évidemment, je passe trop de temps sur chronosrep ; je me suis couché trop tard hier soir, une fois de plus. J'avais des cernes si profondes ce matin que je me suis arrêté devant le miroir pour les observer. Magnifiques spécimens, je me demande si beaucoup de gens en ont de plus visibles que moi. Ça m'a fait sourire de le penser : j'aime l'idée que je ressemble à un zombie qui vient de se réveiller, et que peut-être j'effraie les enfants qui ont le malheur de croiser ma route. Enfin, ça, c'est le côté positif ; j'ai tellement envie de dormir que je me demande comment je peux tenir debout. Cela fait trop longtemps que j'ai jeté mon humanité aux orties.
Ce soir, mes potes viennent me chercher, et nous allons au cinéma. Je ne dis jamais non à une sortie lorsqu'on m'en propose une : j'aime passer du temps avec des gens que j'apprécie, et il se trouve que j'ai rencontré à Pallatine quelques personnes qui ne me donnent pas envie de leur exploser la gueule dès que je les vois - si vous voyez ce que je veux dire. Je suis bon public : je vais partout. On ne peut pas dire que je suis particulièrement chiant sur ce point-là...
Je crois bien que c'est mon frère que j'ai croisé dans la rue la semaine dernière. Je suis persuadé de l'avoir revu aujourd'hui. Il traversait la rue d'un air distrait, comme si le monde qui l'entoure n'avait aucune importance pour lui, et pourtant, je crois que nos regards se sont croisés. Si c'est le cas, j'ai échangé une grimace avec lui avant de m'éloigner. Je l'aime beaucoup, mon frère. Mais je n'ai pas envie de lui faire face aujourd'hui. Ni demain. Ni jamais, en fait. S'il pouvait disparaître de ma vie, ce serait tout aussi bien. Mais je crois que je n'ai pas le choix et que je vais devoir me le coltiner un jour.
Ça me fait chier.

Et avant...
Ma famille était bizarre. Comme si elle était marquée par une malédiction terrifiante qui l'empêchait de profiter de la vie. Il y avait toujours une lueur triste dans le regard de mes parents, même lorsqu'ils riaient ou s'amusaient avec moi. Présents de moi, mais toujours absents par l'esprit. Même mon frère était bizarre parfois, comme s'il se remémorait un souvenir particulièrement désagréable qu'il avait pourtant oublié. Mais cela ne durait pas longtemps : il retrouvait rapidement sa jovialité habituelle. J'étais le seul être normal dans cette famille. Quoique je ne tourne pas les choses de la bonne façon : c'était moi, le seul qui tranchait dans cette famille si fade.
Mais je ne suis jamais demandé pourquoi je n'allais pas avec eux. Je sais très bien pourquoi. C'est à cause de ma sœur, Maria. Elle est morte un mois avant ma naissance. Je ne l'ai pas connue, mais eux la connaissaient tous, même mon frère, qui avait cinq ans à l'époque et qui l'adorait. Je n'en sais pas plus sur cette affaire, je n'ai pas jugé bon de me renseigner davantage. J'aurais voulu prendre la place de cette petite fille, mais j'ai toujours échoué à le faire. Mais est-ce vraiment grave ? On m'a toujours aimé.
Je ne pouvais pas me plaindre du manque. Famille aisée de l'aristocratie russe, nous habitions les beaux quartiers de St Pétersbourg et disposions d'une maison de vacances au bord de la mer. Je n'ai jamais vraiment aimé la mer, donc, dès que j'ai pu opposer un refus à mon départ, je l'ai fait. Quel bonheur de passer les chauds mois d'été dans les rues polluées de St Pétersbourg plutôt que de profiter de la fraîcheur marine qui me perdait. Je crois que c'est la première fois que ma famille ne me comprenait pas. En revanche, c'était loin d'être la dernière.
Je ne peux pas non plus me plaindre de l'éducation que j'ai reçue. Mes parents s'étaient mis en tête que mon frère et moi devions avoir l'esprit bien fait. Cela signifiait maîtriser les sciences, la musique, les lettres, l'histoire et la métaphysique. J'ai oublié beaucoup de ce que j'ai appris depuis, mais à l'époque, j'étais une petite encyclopédie sur pattes. Cela dit, je ne suis pas sûr de comprendre tout ce que je récitais par cœur. Mais quelle importance : je devais être bien mignon, à l'époque. J'en éprouverais presque de la nostalgie...

J'étais brillant élève, mais très rapidement, j'ai compris que je n'étais pas fait pour les études scientifiques. Je suis loin d'avoir les talents mathématiques de ma tante Sofia. Je n'ai pas connu tante Sofia : elle était morte avant ma naissance, et même avant celle d'Ilya, c'est dire. Mais à ce qu'il paraît, c'était une sacrée bonne femme, celle-là. Je suis déçu de ne pas l'avoir connue.
C'est presque un hasard, si vous voulez, que je me suis retrouvé à m'engager dans des études de médecine. Un hasard nommé père, évidemment, qui pensait que j'étais fait pour ce métier parce que j'adorais recevoir la visite du médecin quand j'étais gamin. Ce n'est pas ma faute : il avait une énorme moustache qui me faisait rire. En tout cas, père n'a rien compris à mes désirs.
Il est vrai que depuis peu, la guerre s'était déclenchée et, finaud, père avait senti que le moment était idéal pour se lancer dans la chirurgie, que l'on aurait bien assez de plaies à soigner pour que je puisse faire carrière, et que c'était pour moi la manière idéale de servir ma patrie. Il ne me voyait pas militaire, il pensait que je me briserais au premier assaut - et peut-être même me voyait-il fusillé pour désertion. Il faut dire qu'il était déjà assez occupé à prier pour la survie de son fils aîné et ne pensait pas pouvoir convaincre Dieu d'en protéger un deuxième. Je n'opposai pas vraiment de résistance : je me doutais bien que je ne pouvais pas suivre les traces d'Ilya.
Qu'il était beau, Ilya, dans cet uniforme de l'armée impériale. Mère en avait versé une larme d'admiration - sans doute le voyait-elle déjà mort, faible comme l'était son cœur de femme.  Père s'était contenu, mais sa dignité parvenait à peine à contenir son émotion. Quant à moi, j'étais là, du haut de mes quinze ans et demi, au début de cet automne 1914, à contempler cet aîné qui partait à la guerre, sans parvenir tout à fait à le reconnaître. Un fossé s'était dessiné entre nous, entre moi, l'adolescent, et lui, l'homme fait qui défendrait nous. Il n'était plus mon frère et je n'étais plus le sien, je le sentais déjà. Au moment de lui dire au revoir, je lui faisais déjà mes adieux.
Mais Ilya avait survécu, avec brio en plus. Il avait la guerre dans le sang, nous avait-on fait la remarque. Ça ne m'étonnait pas trop, en fait, Ilya a toujours été parfait dans tout ce qu'il fait - et ça m'agace. Mais les autres étaient toujours soulagés lorsqu'ils recevaient de ses nouvelles. M'est avis qu'ils ne lui faisaient pas assez confiance, à ce type. Il a survécu à la guerre, que voulez-vous qu'il fasse de plus ?

Quelque part en moi, je porte les germes de la colère et de la rébellion.
Je suis un idéaliste : je vois toujours le mal dans le monde qui m'entoure, et je me persuade qu'un monde meilleur existe ailleurs, ou bien peut-être créé. Je vois les défauts des gens avant leurs qualités, et j'ai d'ailleurs tendance à me focaliser sur ces premiers pour oublier les seconds. Et au fond de moi, je crois que je suis l'une des rares personnes capables de changer tout cela.
Que j'aie raison ou pas, peu importe. On m'a toujours reproché d'être un pessimiste, ce que je conteste ouvertement. Je suis un optimiste de la plus pure espèce, de ceux qui voient l'avenir radieux et n'attendent pas de voir les problèmes arriver pour prendre les devants. La différence n'est pourtant pas bien compliquée à comprendre, mais la plupart des gens ne s'arrêtent qu'à ce qu'ils voient - encore une attitude qui m'agace, si vous saviez. Ils devraient faire confiance à mes paroles, pour changer.
Toujours est-il que... je ne me sentais pas à l'aise dans mon milieu. Je ne me sentais pas non plus mal à l'aise pour autant, mais... j'avais un rêve. Et je l'ai réalisé. La tête de mon père lorsqu'il a su auprès de qui je m'étais engagé. Même pas l'armée. Je ne serai jamais Ilya et je n'essaierai jamais. Je préférais rejoindre ces ouvriers qui se battaient pour la liberté. Ce n'était pas la première révolution, mais ce serait la dernière, je le savais au plus profond de mon être. Tout comme je n'ai jamais douté de ce que je faisais.

Je ne me suis jamais autant amusé.

C'est une certitude : aujourd'hui, j'ai bien croisé Ilya, et je sais avec certitude qu'il m'a reconnu. Son regard était aussi fuyant que le mien, sans doute qu'il avait honte de moi, mais nous n'avons pu nous empêcher de nous voir, même si nous l'aurions voulu. À croire que le destin existe et nous pousse à nous retrouver à cause d'un lien de sang que nous nous efforçons d'oublier.
Quelle plaie : les choses n'étaient pas du tout censées se passer comme ça. Il n'aurait jamais dû venir à Pallatine.
Mais qu'importe, demain, j'irai voir Ilya ; je sais où il habite, et nous allons jouer ensemble à ce jeu formidable où chacun de nous essaie de faire croire à l'autre qu'il est le meilleur frère du monde. Peut-être fera-t-il l'effort de m'accueillir correctement. Peut-être ferai-je l'effort de mon comporter comme un invité digne de ce nom. Nous discuterons de notre passé commun la larme à l'œil, nous évoquerons la raison de notre présence en ville, et nous nous séparerons en bons termes, comme si rien ne s'était passé.
Aucun de nous ne sera dupe, mais au moins aurons-nous réussi à préserver les apparences. Père et mère seraient mécontents de nous si nous nous abandonnions. Je ne sais pas pourquoi je m'accroche à leur avis alors que je suis si loin d'eux et que je me suis opposé à eux, mais je ne contrôle pas les méandres de ma conscience. En tout cas, c'est à eux que je pense, pas à mon frère, soyez-en certains.

Le lendemain, Dimitri resta chez lui.

Voilà, j’ai tenu le délai, ne supprime pas mon compte Sneug-sama.

Sam 3 Déc 2016 - 12:13
Je suis amoureux de ton personnage. De la façon dont tu le rédiges, et dont tu mets en scène ses différentes facettes. Il est encore plus beau que ce que tu m'avais fait miroiter. Et cette classe.
Tu échappes donc à la suppression, mon enfant. ♥

Dimitri Kovalevski

a reçu son permis de séjour à Pallatine

icon 100*100

Ce permis de séjour vous donne le droit de résider à Pallatine, de trouver un emploi et d'appartenir à une diaspora. Il atteste que vous êtes apte à vivre par vos propres moyens en ville. Nous vous rappelons que ce permis est obligatoire pour toutes vos démarches administratives auprès de l'Institut.

Si vous trouvez cette carte, merci de la déposer à l'Institut.

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Sam 3 Déc 2016 - 12:14
J'aime beaucoup l'histoire de ton personnage et la façon dont elle est racontée Brille
Rebienvenue en tout cas Malicieux
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