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Thunderstorm | Moïra

Dim 5 Fév 2017 - 15:43
Moïra

Moïra Aleïev

feat Yohra - 2b | Nier

Caractère

Mais qui est cette femme à qui les prunelles sont inconnues de tous ? Qui est cette femme à qui les jambes élancées et la poitrine généreuse laisse rarement la gente masculine, et féminine un souvenir amer ? Moïra est une femme discrète, et aimerai le rester le plus longtemps possible. Personne ne sait depuis combien de temps elle joue à ce petit jeu qui a coûté la vie à plus d’un curieux. Elle entretient un profond mystère sur la couleur de ses iris, et les quelques clients qui ont pu entrevoir ses dernières ne sont plus de ce monde pour en discutailler. Moïra reste tout de même une femme dont la présence fait plaisir et réchauffe les cœurs, avec son franc parler et ses anecdotes tout droit sorti du cul d’un âne, il est dit qu’elle arriverai à faire sourire un mort. Mais ça ne reste que des « on dit » et vous savez bien quelle valeur ils ont. Son visage est doux, malgré un bandeau qui cache la moitié de son visage, elle reste agréable à regarder, et le sourire malicieux qui se dessine lorsque ses lèvres rosâtres s’entrouvrent en laisse plus d’un perplexe. Elle aime être agréable aux yeux des autres, c’est une femme qui porte une grande importance à son propre paraître et si un jour vous la voyez sortir de chez elle avec un jogging tâché de sauce tomate, et les cheveux en pagaille c’est que l’apocalypse est proche. Moïra est une jeune femme qui reste globalement sympathique lorsqu’on la connaît bien. C’est-à-dire qu’elle sera là pour vous le jour ou votre musaraigne mourra, ou que votre foutu clébard se fera écraser parce qu’il n’a pas regardé à gauche et à droite avant de traverser. C’est ce genre d’amie là, vous voyez un peu le genre ? A se préparer pendant dix ans dans sa salle de bain, pour juste venir vous chercher pour manger une pizza aux anchois, pour manger des pots de glace devant « Le Journal de Bridget Jones », ou tout simplement parler de la pluie et du beau temps. A n’importe quel moment elle sera là pour vous, si vous l’avez été pour elle. C’est du donnant donnant. Elle n’est pas le genre de demoiselle à rester à votre crochet si vous avez abusez ne serait-ce qu’une seule fois de sa trop grande gentillesse. Elle n’est pas non plus le genre de femme à venir vous chercher parce que vous lui faites la tronche, car elle a oublié de vous identifier sur Facebook lors de la journée spéciale bestfriends. Non, elle n’est pas de ce genre de fille qui reste accrochée à des chimères. Moïra va de l’avant, tout le temps.
Son enfance lui a laissé des séquelles que le temps n’arrange pas, ce dernier lui a juste laissé la possibilité de tout foutre de côté, et d’avancer sans se retourner. Mais les stigmates restent et ne lui facilite pas la vie. Les peurs la rattrape de temps à autre et la font redescendre sur terre l’espace d’une seconde. Elle est une misérable mortelle dont le corps peut se décomposer  à chaque instant, au moindre faux pas. Les cauchemars de son père alcoolique font d’elle une personne qui n’aime pas l’alcool et qui n’aime pas les gens qui boivent. C’est comme un spectre qui ne vous lâche jamais, pas un instant. Les images défilent devant vos yeux et le froid envahis votre corps l’accompagnant de tremblement qui ne se calme jamais.  Moïra se retrouve tétanisée devant les gens alcoolisés qui pourrait s’en prendre à elle, comme si son corps ne répondait plus de ses ordres. Ce n’est pourtant pas le genre de la demoiselle de se laisser taper dessus, au contraire, mais ces blessures là ne guériront jamais et lui laisserons toujours un goût dégueulasse entre les lèvres.

Moïra

Âge: 27 ans
Naissance: 12.06.2138
Départ: Elle ne se souvient plus, elle a l'impression d'avoir toujours été là.
Présence en ville: Plusieurs années, comptable sur ses deux mains.
Nationalité: Américano-russe.
Métier: Ancienne prostituée, elle se consacre à l'économie souterraine maintenant.
Statut civil: Célibataire.

Groupe: Gangsters
Section: Hirondelle
Rang: Spécialisée dans l'économie souterraine
Nom de code: Lotus

Taille: 1.7
Corpulence: Svelte
Cheveux: Blanc
Yeux: Ahah.
Autres: Cicatrices sur l'ensemble du corps.

Histoire

« Maman, ça ne peut plus durer. » Elle n’avait même pas encore la majorité de discuter les ordres de sa figure paternelle, qu’elle s’opposait déjà à la petite dictature qu’il avait lui-même instauré entre ses quatre murs.  « Arrête ça tu veux Moïra ? » La demoiselle jouait frénétiquement d’un couteau entre ses doigts, un jeu complètement stupide que les amis alcooliques de son père lui avait apprit au détour d’une conversation. Elle était très agile pour son âge, si bien qu’elle arrivait à glisser la lame entre ses doigts sans effleurer sa fine peau. « MOÏRA ! » Le bruit sourd de la lame rentrant dans le bois de la table s’arrêta d’un coup, et on entendit alors une brise traverser la pièce, accompagner d’une légère odeur de sang. La lame avait transpercer sa main. Mais elle cria pas, Moïra ne se plaint jamais, elle n’a pas le droit de se plaindre face aux atrocités que les gens qu’elle aime subisse. Sa mère se précipité vers elle, manqua de trébucher sur les morceaux d’un vase éparpillés au sol, et prit sa main entre ses doigts froid.  « Je n’aurais pas dû crier excuse-moi, mais tu comprends .. je n’aime pas ces jeux là .. et .. » Moïra tira sa main vers elle tête baissée. Elle savait. Le visage de sa mère et le reste de son corps était comme d’habitude marqué de multiples hématomes, contusions. C’était lui la cause de tous leurs maux. Lui et sa vodka adorée. Un russe qui ne tient pas une bouteille de vodka, vous y croyez vous ? « Ne t’excuse pas maman. Bientôt ça ira mieux, je te le promet. » Moïra esquissa un sourire doux, qui aurait pu réchauffer le cœur de n’importe qui, mais pas celui de sa mère. Ce dernier était froid, presque vide de toutes émotions. Il l’avait réduit à néant, sa pauvre petite mère n’était plus qu’un pantin bon à faire à manger, écartez les cuisses et simuler de l’amour envers sa seule enfant. Moïra ne lui en voulait pas, mais à lui si. Elle lui vouait une haine incommensurable, sans limite. Leurs vies n’était pas déjà très aisé, et il avait décidé en tête à tête avec sa bouteille de réduire à néant leurs chances de s’en sortir. La jeune mère se redressa et s’en alla panser ses multiples plaies une fois de plus, pour que dans quelques heures elles se rouvrent.

« Aleksa, mon bain et une bierre. » On ne lui avait pas non plus appris les bonnes manières, jamais de bonjour, jamais de s’il te plaît, jamais de merci, toujours des « dépêche toi mon chien ». C’était comme ça qu’il voyait sa famille, des petits sbires à son crochet, obéissant aux moindres de ses ordres. Aleksa, sa mère n’avait même pas eu le temps de souffler qu’il était déjà en train de râler à cause du temps, du chien qui hurle la nuit à la mort parce qu’il lui a cassé deux côtes, des bouteilles qui se vident trop vite. Un véritable connard en puissance. Et Moïra ne pouvait rien dire, sous peine d’être elle aussi la cible de ses crises d’hystérie. Son œil gauche avait déjà été marqué par un morceau de verre jeté en sa direction, une magnifique cicatrice tout en verticale de son sourcils jusqu’au bas de sa paupière. Une marque de fabrique chez les Aleïev, les cicatrices. « Moïra, descend. » Plus la journée passée et plus les phrases semblait se raccourcir en même temps que sa patience. « Oui papa ? » Moïra était très souvent tétanisé devant lui, un homme robuste, grand très grand même, aux mains faisant toutes deux la taille de son visage. « Tu es grande désormais, tu grandis très vite. » Elle plissa les yeux et baissa sa tête, comme si elle savait déjà ce qu’il allait se passer. Sa mère avait subis la même chose, un mariage forcé, la famille de la femme touchant une belle somme. Pour de la vodka évidemment, pas de la nourriture des habits ou une maison. « Le fils d’un proche ami a atteint un âge mature et il fera un mari parfait. » Elle leva légèrement les yeux vers sa mère, celle-ci encore une fois silencieuse. Aleksa ne pouvait rien dire, elle non plus ne voulais pas mourir. « Non. » Moïra respira un grand coup et n’eut pas le temps de lever sa tête vers son paternel qu’il était déjà face à elle, la giflant. « Je ne t’ai pas demandé ton avis. Moïra Selèna Aleïev. » Elle porta sa main entaillée à sa joue et se retint de pleurer. Ne jamais pleurer. « Monte et repose toi, tu le rencontreras demain. » L’adolescente monta, sans rien un mot, suivi de près par sa mère. Pendant qu’Aleksa allait prendre soin de sa fille pour le rendez-vous de demain, il rejoignit la salle de bain là ou sa femme le rejoindrait pour un devoir conjugal forcé. « Mh. Je n’ai jamais été une bonne mère Moïra, et je ne le serai jamais. Cependant je ne peux pas te laisser subir quelque chose que tu n’as pas choisi, et où je n’ai pas été en mesure de te protéger, comme lui aussi devrais le faire. Alors nous allons couper ses cheveux, les teindre aussi, cacher cette vilaine cicatrice et tu partiras dès qu’il sera occupé. Est-ce que je me suis bien faite comprendre ? » Moïra n’eut pas vraiment compris un traitre mot de ce qu’elle avait pu dire, mais elle avait au moins compris qu’elle s’enfuirait, dans la nuit noire, seule dans la neige. Aleksa ferma à clef la porte, et s’approcha de sa jeune fille avec une paire de ciseau, une brosse et le nécessaire pour que sa chevelure ébène devienne neige. Les coups de ciseau raisonnèrent dans la pièce vide, entre deux reniflement de Moïra. Elle en rêvait d’être éloigné de lui, mais pas de cette manière. Sa mère lui coupa les cheveux jusqu’aux dessus de ses épaules, et les teint d’un blanc immaculé. Aleksa banda sa main après l’avoir soigné du mieux qu’elle le pouvait, et la laissa préparer ses affaires. Un maigre sac avec le peu d’affaire personnel qu’elle avait. Et une photo d’elle et de sa mère à sa naissance. Le seul bon souvenir d’entre ses murs. « Grandis bien, ma fille. » Aleksa ferma la porte à clef derrière elle et rejoignit son mari le visage crispé. Tandis que Moïra, sans réfléchir ouvrit la fenêtre de sa chambre et sauta à pied joint dans la neige et couru. Sans jamais s’arrêter, jusqu’à ce que ses pieds soient en sang. Et n’entendit plus jamais parler de ses parents. Plus jamais.

Les années passèrent et semblèrent se ressembler un peu trop. Pallatine était une ville tout à fait particulière, très mouvementée pour ne pas lui changer de son enfance active. Entre les tueries de gang, les maisons closes, les assassinats à répétition Moïra avait ici, à porter de main de quoi faire fortune parmi les plus grands. Elle avait toujours eu le sens des affaires et ce continua même ici entre deux passes, elle arrivait à récolter des informations pour telles ou telles personnes elle finir par se faire un petit pactole bien garder au chaud. L’argent est quelque chose d’important elle, devoir gérer des finances ou quoique ce soit ne l’effraie pas, loin de là. C’est ainsi qu’un grand monsieur vient à sa rencontre, ou a fait en sorte que leurs chemins se croisent et ne se quitte plus jamais. Un des hommes de mains vint un jour chercher Moïra pour on ne sait plus quelle information, et, cette dernière n’ayans pas pu trouver l’information fût mené au grand patron lui-même, monsieur Capone. Un grand homme, aussi bien physiquement que par sa prestance. «Bien le bonsoir, mademoiselle Aleïv Moïra.» Elle était si petite et si frêle devant lui, une femme d’affaire face à l’un des plus grands bandits, LE plus grand bandit qui soit en ces terres. Il était la gangrène de cette ville, et elle n’allait pas être le remède, elle allait être la bactérie qui propage le virus et qui le fait perdurer par tous les moyens qui soit.

Blblblb j'suis revenue pour vous jouer un mauvais tour ! /slap Non mais j'étais déjà là pis j'sais plus pourquoi j'ai du partir, pis me vlà encore une fois. Ca veut dire que j'vous aime bien du  haut de mes presque 21 ans dans ma campagne normande. Sinon moi c'est Fanny.

Dim 5 Fév 2017 - 17:56
Rebienvenue Malicieux
♥️
BON CHOIX BON CHOIX
Dim 5 Fév 2017 - 21:24
Moh merci à toi Cœur Cœur
Dim 5 Fév 2017 - 21:29
Rebienvenue du coup Malicieux

J'aime beaucoup ton personnage pour l'instant. J'ai hâte de lire la fin de l'histoire o/
En tout cas bonne chance pour finir ta fiche ♥️
Dim 5 Fév 2017 - 22:02
Ca motive, merci! Youpi Cœur
Dim 5 Fév 2017 - 22:54
Bon, on a déjà eu l'occasion de faire connaissance Thunderstorm |  Moïra 3416388633 , mais officiellement (re)bienvenue. I love you

Il y a juste un petit détail qu'on doit voir avant la validation. Je me doutais que je n'avais pas été claire dans mes explications et locke non plus apparemment je t'aime quand même lockette, mais il va falloir revoir cette histoire de section. Malicieux

Chez les gangsters, il existe des sous-gangs spécialisées, qui sont souvent d'anciens gangs indépendants qui désormais sont sous le contrôle de Capone. À moins d'appartenir à ces gangs, il n'y a pas de section à remplir.
Ensuite, si j'ai bien compris, elle est à la fois tueuse à gages, prostituée et spécialiste de l'économie ? Ça fait un peu beaucoup, en fait, surtout qu'en principe, les hommes de main le sont à plein temps. Il faudrait donc que tu choisisses maximum deux métiers, un principal et à la rigueur un qu'elle fait à côté, sinon, ça risque d'être difficile à gérer.
Du coup, pour en revenir à la section, je pense que le Leviathan est une erreur puisqu'il s'agit du club de combats souterrain de la diaspora. Tueur à gages ne fait pas partie d'une section, les hommes de main sont à part, par contre, les prostituées appartenant à l'Hirondelle si. Du coup, il n'y a de section à remplir que si prostituée est son métier principal.

Je ne sais pas si c'est plus clair, sinon, tu me le dis. Malicieux Enfin, pour simplifier, il faut juste que tu décides sur un métier principal, et à la rigueur, je modifierai la section en conséquence s'il le faut, étant donné que ce n'est qu'un détail administratif.

Voilà, fais-moi savoir quand tu auras modifié. Héros
Dim 5 Fév 2017 - 23:24
C'est ma faute je veux être sur tous les fronts /bam. J'ai modifiée donc j'suis chez Hirondelle puisque ancienne prostituée et maintenant je me consacre à mon rôle homme de main. :3 Cœur Donc normalement c'est ok ee Pleure
Lun 6 Fév 2017 - 9:50
rebienvenue à toi, tu peux taper Naga, y'a pas de soucis. Malicieux
Lun 6 Fév 2017 - 12:22
Moh merci Cœur
Je n'hésiterai pas, une fois qu'il m'aura validé Timbré
Mar 7 Fév 2017 - 19:35
Mais faut pas taper Naga. :o
Plus sérieusement, pardon pour le délai d'attente, je n'avais plus internet depuis hier, mais du coup tout est en ordre et je peux officiellement te valider. (: Amuse-toi bien chez les rouges.  I love you

Moïra Aleïev

a reçu son permis de séjour à Pallatine

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Ce permis de séjour vous donne le droit de résider à Pallatine, de trouver un emploi et d'appartenir à une diaspora. Il atteste que vous êtes apte à vivre par vos propres moyens en ville. Nous vous rappelons que ce permis est obligatoire pour toutes vos démarches administratives auprès de l'Institut.

Si vous trouvez cette carte, merci de la déposer à l'Institut.

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