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Artyom ▬ I'm not a good man

Lun 7 Mar 2016 - 3:08
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Artyom  MIKHAÏLOVITCH

feat original character | Kyrie

Caractère

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Histoire

10 Juillet 1983, jour de ma naissance.

- C'est un garçon ! Madame Mikhaïlovitch ! S'exclama la sage femme.
- Je suis … heureuse mais très fatiguée.
- Nous allons encore procéder à quelques petits détails puis nous vous transférerons dans votre chambre. Votre mari ne devrait pas tarder à arriver.
- Comment voulez-vous l'appelez ? Dit une autre femme.
- Nous avions décidé, mon mari et moi-même, de l'appeler Artyom.
- Artyom Mikhaïlovitch, bienvenue dans notre monde ! Déclara une voix d'homme qui venait de faire irruption dans la salle.

1995, Période de l'adolescence

Les années passèrent, j'étais un garçon avec un énorme potentiel. Mes principales qualités étaient ma curiosité et mon dévouement envers ma famille. Je passais énormément de temps à leurs côtés, du moins, quand je le pouvais. Mon père était un homme très occupé et son poste lui demandait d'être régulièrement en déplacement. Mon père, Roman MIKHAÏLOVITCH, est un homme puissant. Ministre des Affaires étrangères dans l'Empire russe. Il crée d'importants traités et négociations, voyageant énormément et ayant appris les belles langues comme l'Anglais. Il a connu l'époque de l'URSS aux côtés du premier ministre Ivan Silaïev, qui est également vice président du conseil des ministres URSS. Roman a été un homme ayant vu la chute de l'URSS. Quant à ma mère Svetlana, celle-ci est née dans une famille de militaires. Elle connaît la rigueur et le code d'honneur, une femme d'un fort caractère mais aussi d'un grand charisme. Cependant, bien qu'elle ait vécu dans un milieu strict, cela ne l'a pas empêché de me montrer tout son amour et de faire de moi quelqu'un de brillant. Elle souhaitait avoir un fils qui devienne un homme bon, sachant faire preuve d'indépendance, de bravoure, d'intelligence. Mes parents m'ont permis de travailler dans les meilleures écoles. Toute mon enfance n'était pas celle d'un gamin normal car je passais la plupart du temps le nez dans les livres, connaissant déjà l'anxiété et la peur de l'échec. Il était rare que j'invite des amis et encore moins jouer dehors avec d'autres enfants. On m'assignait des tâches plus importantes, digne du fils d'un ministre et d'une femme militaire. Ma mère me racontait souvent des histoires sur les vieilles histoires de mon arrière-grand-père qui était devenu colonel dans l'armée russe. Je buvais chaque parole, écoutant chaque détail sur ses missions et un soir, plutôt que de plancher sur des livres socio politico, j'ai cherché des informations sur les guerres que la Russie a connues. Celle de 14-18 où mon grand-père avait fait ses preuves, la Première Guerre mondiale était d'une violence inouïe. Puis il y eut la Seconde Guerre mondiale, la guerre froide et quelques autres guerres moins incroyables mais tout aussi féroces. J'amassais des tonnes de recherches, de journaux, de vidéos sur l'armée russe et tous les métiers qui s'y raccordaient. Je voulais faire partie de l'armée, j'étais décidé à suivre la voie de mon arrière-grand-père. Un jour, je serai plus haut gradé que colonel, je dirigerai une armée et irais conquérir des territoires, ferait régner l'ordre et la discipline sous un seul et même drapeau : La Russie.

1996, prise de conscience

Mon père et moi avions eu quelques querelles suite à ma prise de décision d'arrêter l'école. Ma mère n’interagissait jamais lorsque ce genre de conversation avait lieu. Cependant, j'avais pris une décision et elle était irrévocable. Je décidai de mon avenir, de mon destin et la politique, bien qu'incroyablement intéressante, manquaient d'action. Il fallait que je bouge et fasse changer les choses à ma manière. Roman, fout de rage, allait décider de me mettre à la porte. « Après tout ce que j'ai fait pour toi, ton éducation, tout l'amour que je te porte, voilà comment tu me remercies ? », des mots bien durs pour un adolescent de seize ans. Seulement, je savais ce que je voulais devenir, j'étais prêt à devenir un homme de guerre, un de ceux qui défendraient son pays avec honneur et fierté. Ma mère me regardait froidement mais je sentais qu'elle était soucieuse de mon bien-être. Elle me laissa partir suite à mon inscription à l'armée en tant que simple recrue.

J'ai suivi un entraînement pendant plusieurs années, devenant un homme musclé, apprenant à manier les armes et les techniques d'affrontement. Je prenais en grade, arrivais à avoir quasiment les meilleurs résultats aux différents tests. Mon rêve allait s'accomplir et je continuerai d'avancer tant que je ne serai pas satisfait de mon potentiel et de mes actions. Malheureusement, nous n'avions pas encore connu de véritables guerres à part quelques escarmouches en Ukraine. Je devins sergent-chef vers l'âge de mes vingt-trois ans, ce qui fit de moi un homme comblé. Je n'avais pas de femme, pas d'enfants. Tout ce dont je disposais était mon arme, mes munitions et des habits sentant le fauve et la sueur. Depuis ces années à l'armée, j'ai dû me raser le crâne et avoir un air dur et sévère. Trouvant une vieille photo dans mais quelques effets personnels qui se trouvaient dans un casier, j'eus un malaise en revoyant mon père, ma mère et moi. Cela faisait une éternité que je ne les avais pas vu car mon père était rarement chez lui, ma mère s'occupait en tant que femme de ministre. Elle aussi avait sa vie. J'avais l'intention de lui écrire quelques lettres et de lui prouver que j'étais un fils digne.

2004, la Spetsnaz

J'avais cette sensation que l'armée russe était trop faible. Il me fallait du challenge, quelque chose de plus adéquat pour mon physique et mon mental. Même en tant que sergent-chef, l'armée manquait cruellement de missions. C'est alors que j'ai postulé au corps d'armée des Spetsnaz après ces quelques années au sein de l'armée de la Russie. On m'interpelle quelques semaines plus tard, suivant un entretien psychologique et physique assez rigoureux. La réponse ne se fit pas attendre et j'allais suivre une formation de deux années au sein de l'armée d'élite russe. Lors de ma première année, je sentais la différence de niveau entre les hommes que j'ai côtoyés pendant plusieurs années dans l'armée et la Spetsnaz. Lors de mes pauses, quand j'avais le droit à rentrer dans mon vieil appartement certains week-ends, j'eus le droit à la visite de deux hommes vêtus de noir en costards. Ils avaient le crâne rasé et des tatouages sur le cou et certainement le reste du corps. Ils s'intéressaient de près à ce que je faisais ici, les conditions dans lesquels je vivais et tout un tintouin digne d'un film policier. Ils savaient qui j'étais, ce que faisait mon père et où est-ce qu'il travaillait. Ils m'expliquèrent que je devais coopérer avec eux s'ils ne voulaient pas se salir les mains. Dans mon appartement, je disposais de quelques armes (cachées évidemment) mais dans les conditions actuelles, j'aurai déjà reçu une balle dans la tête. Je devais leur fournir des informations sur mes agissements, pourquoi je travaillais au sein de la Spetsnaz... ils étaient louches. Je finis ma formation de deux années consécutives et devins un homme des forces de la Spetsnaz. Chaque jour il y avait un lot de parcours harassant, des missions d'infiltrations, des épreuves de sauvetage  etc …

6 Août 2009, le départ

Je soupçonnais ces hommes de faire partie de la Bratva, armés jusqu'aux dents et doués dans le crime organisé. Ma famille ne risquait rien tant que je leur transmettais certains papiers. Je ne savais pas s'ils me considéraient comme l'un dès leurs maïs en aucun cas je ne leur donnais toute ma confiance. Malgré tout, ils me le rendaient bien financièrement et je n'avais aucun souci de ce côté-là. Étant dans l'élite de l'armée Russe, je ne risquais pas de me faire emmerder par d'autres groupuscules, du moins, c'est ce que je croyais. Il m'arrivait très souvent de ne pas être en Russie et de faire des missions où je risquais d'y perdre la vie. J'ai déjà été torturé, d'ailleurs mon dos a subit quelques violences. Néanmoins, j'ai réussit à m'en sortir et à détaler en vitesse, cherchant un refuge et retrouver mes effets afin d'alerter mon escouade. Il y a eu aussi l'affaire Al-Qaida, pointilleuse où nous avions une mission d'infiltration à haut risque. On nous informa que c'était en fait la CIA qui avait tout organisé pour éradiquer la menace Russe.

Lorsque je revins en Russie, je fus accosté une nouvelle fois par ces hommes de la Bratva qui me parlèrent d'un « autre monde » du nom de Palatine. Il me demandait si j'étais intéressé et si je serai prêt à tout laisser pour mener une nouvelle vie encore plus trépidante. D'un côté, j'étais frustré de manquer d'un certain niveau et de l'autre, je cherchais quelque chose de nouveau. Après tout, pourquoi pas ? Alors j'acceptai et dans les semaines qui suivirent, du jour au lendemain, je me suis retrouvé dans un endroit inconnu. J'étais à Palatine. J'eus une formation durant une semaine où j'ai subi quelques tests mentaux et physiques. Tout semblait en ordre, j'étais dans une pièce avec un simple lit, une commode avec des pyjamas et un coin sanitaire. Ce n'était pas une prison mais c'était comme si. S'ensuivit une année où, avec d'autres pensionnaires, nous apprenions la vie à Palatine. C'était nouveau, c'était beau et nous avions des règles à suivre. Au fond de moi, je regrettai d'avoir dit « oui » pour ce changement. Cette année était longue, douloureuse et je n'avais qu'une idée en tête, détaler.

Septembre 2010, renaissance

Mes papiers au sein de l'Institut étaient rédigés. J'étais officiellement un habitant de Palatine mais je n'avais pas encore fait le choix d'une diaspora. Les après-midi je partais faire de la musculation au sein de l'Institut, m'occupait à lire et discutait rarement avec les autres. Je me terrais dans ma solitude jusqu'à ce qu'un jour, une voix grave m'interpellât par mon prénom. Un des agents de l'Institut, du moins, vêtu comment il était c'est ce que je pensais, vint à moi et me parla brièvement d'une diaspora où un homme de ma trempe aiderait grandement. L'écoutant attentivement, je suis toutes les indications qui me mèneront jusqu'à cet homme que je recherche, de son nom de code, Scarface. Sortant de l'Institut, je me dirige dans un endroit assez mal famé sans connaître réellement la personne que je vais rencontrer. Néanmoins, l'agent m'avait assuré que je serai entre de bonnes mains et que mes compétences physiques et mes nombreuses connaissances dans le domaine politique feront l'affaire. Je restai sur mes gardes. C'est alors que je vis un bâtiment qui correspondait en tout point à ce que m'avait confié l'agent. Donnant le nom de code devant la porte, je parvins à entrer et c'est un homme qui vint m'ouvrir. Il m'escorta jusqu'à un bureau et referma la porte derrière moi. J'avais l'impression d'être dans un vieux film des années 1930. Je faisais une fixation sur ce bureau et cette chaise qui me tournait le dos, l'odeur du cigare me chatouillait le nez. Puis une expiration et la chaise se tournèrent. Mes yeux fixèrent l'homme avec sévérité puis, comme une secousse, je reconnaissais le célèbre Al'Capone.

- Bienvenue, Artyom.

C'est à cet instant que ma vie bascula. Mon cœur battait la chamade tandis que faisais face au mafieux le plus connu du monde entier. J'allais travailler pour lui et faire mes preuves. Il avait besoin de moi et, sans aucun doute, je pourrais lui venir en aide. Finalement, j'appris que l'homme qui m'avait parlé de Scarface, était un des agents infiltrés au sein de l'Institut pour pouvoir trouver des "profils" intéressants.

Ce forum a été une grosse claque pour moi ! De mon pseudo RP et d'artiste "Fallen swallow", j'apprécie l'art en général et je me spécialise dans le tatouage. J'ai connu les forums RPs il y a dix ans, assurément (mon tout premier forum étant un Naruto). J'aime beaucoup les jeux vidéo (notamment les jeux impliquant des Russes comme Métro 2033 ou Dota 2). En espérant que mon personnage vous plaira ! En attendant, j'ai encore pas mal de choses à peaufiner ...

Lun 7 Mar 2016 - 11:11
Un nouveau gangster, russe de surcroît. Tombe Ton avatar est magnifique au passage. Brille
J'espère juste que la claque n'a pas fait trop mal. Malicieux
Bienvenue. Cœur
Lun 7 Mar 2016 - 11:13
Oyeah, russian gangsta. 8)-vlan-

Bienvenue ! & Je suis sûre que ton personnage va assurer :c Fight pour ta fichette ♥
Lun 7 Mar 2016 - 12:18
Bienvenue. I love you
Je comprends que tu aimes les Russes, c'est une nationalité qui claque. Et je suis tellement heureuse de voir les hommes de main se remplir. Brille

Juste, est-ce que tu pourrais m'envoyer par MP ton idée de personnage pour que je te dise si c'est bon ? Vu que tu tentes un rôle à conditions, j'aimerais bien savoir avant ce que tu comptes faire, même si normalement il ne devrait pas y avoir de souci. x)
Lun 7 Mar 2016 - 15:32
un gangster russe /bave
par contre, j'ai l'impression que tu n'as pas sélectionné le bon groupe en générant ta fiche, ce n'est pas censé être rouge Sceptique ?
bon courage pour ta fiche, hâte de te lire!
Lun 7 Mar 2016 - 18:05
cette fausse joie que j'ai eu en voyant du violet C'EST VIL
L'avatar dégage du charisme & je ne doute pas que ça sera le cas de tout le personnage eheh, met-nous en plein les yeux ! Bienvenue ♥
Lun 7 Mar 2016 - 18:35
Bonjour et merci à toutes / tous,

Je suis en train d'élaborer le tout, en prenant soin de la cohérence de mon personnage avec cet univers. C'est avec une grande minutie que j'inspecte les moindres détails ! Je m’attelle dans la soirée à continuer la fiche :)

Edit : J'ai corrigé la couleur de la fiche !
Jeu 10 Mar 2016 - 19:17
Si tu avais connu la guerre, mon petit. *agite sa canne*
Le caractère va donner inRP, j'ai hâte de voir Artyom à l'œuvre !
Courage pour l'histoire, fight Feu !
Mar 15 Mar 2016 - 23:02
Pas de doute, avec cet homme de main, les gangsters vont gérer. Une très bonne idée de personnage, et une fiche très dense, tu as fait du bon travail camarade. Héros

Artyom Mikhaïlovitch

a reçu son permis de séjour à Pallatine

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Ce permis de séjour vous donne le droit de résider à Pallatine, de trouver un emploi et d'appartenir à une diaspora. Il atteste que vous êtes apte à vivre par vos propres moyens en ville. Nous vous rappelons que ce permis est obligatoire pour toutes vos démarches administratives auprès de l'Institut.

Si vous trouvez cette carte, merci de la déposer à l'Institut.

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