Mer 16 Mar 2016 - 19:48
featuring; tahir le bg uke |
Le soleil s'embrase un peu plus, la peau qui crame, les yeux qui chiale, les cheveux brûlant, l'envie du vent. Où tu te trouves ? Tu sais pas. Comment t'es arrivé là ? Tu sais pas non plus, putain. Y'a des arbres partout, de la boue que t'aimerais bouffer, le soleil qui te cogne comme s'il voulait le tuer. Ta tête te fait mal, ton corps entier te lance, la douleur est intense. T'as l'impression d'un badtrip mais t'es clean depuis un petit bout de temps. Tu désires le zero absolu. De l'eau, de l'eau, de l'eau. Tes jambes sont lourdes, marcher devient complexe, tu redeviens bébés sauf que t'as nulle part où aller.
Lançant des regards haineux dans le vide qui t'entoure t'es tenté d'hurler. T'as l'impression d'être seul au monde entourer de végétation, tu profites de l'ombres du feuillage, t'aurais aimé trouvé ce paysage poétique mais t'as juste l'impression d'avoir atterrit dans un vieux bled starfoullah. Prêt à voir des vaches à qui t'irais squatter du lait, c'est crade bordel, des tétons vaches. En attendant les tiens crament littéralement sous le soleil, t'as envie d'enlever ton t-shirt mais t'as déjà assez pris cher comme ça. Tes joues sont rouges, tes bras sont rouges, t'as des larmes aux yeux, la langue sèches, on dirait tu vas pisser de sang à tout moment. Combustion spontanée.
Tu marches, tu marches, pendant des heures, préparé à te jeter sur la première forme de vie humaine en le louant comme un tyran de l'antiquité. C'est toujours possible ici. Le soleil semble pas vouloir se casser et tu te sens impétueux, tu sens que tu vas tomber dans les pommes ; Et crever de déshydratation. Help, SOS, ayuda, por favor darle la mano. Je sais pas parler espagnol. Il fait chaud, TROP CHAUD et tu te sens muslim en plein milieu du ramadan : au bord de la mort. Non la vérité c'est pas si hardcore, mais toi t'es babtou fragile perdu dans la cambrousse de Pallatine.
Tu veux pleurer, tu veux crever. T'es sur le point d'hurler ta fragilité et le fait que tu sois un peu trop uke ; qu'en secret t'aimes les boysband, non t'écoutes pas de boysband mais la chaleur te fait délirer. T'es sur le point de t'enlacer, mais tes jambes te lâchent subitement te jugeant trop pédé. Nique sa mère, comme on dit quand on est arraché. Alors, tu lâches un cri mais genre ça sonne comme Aoba tu captes pas trop, t'as envie de péter un câble, de dormir, de cramer même si t'es pas trop halal. A ta mort on te nommera seme ultime, je raconte quoi ????? Adieu ta jeunesses et toute ta crédibilité : rampant sur le sol, tu fais drôlement pitié.
Lançant des regards haineux dans le vide qui t'entoure t'es tenté d'hurler. T'as l'impression d'être seul au monde entourer de végétation, tu profites de l'ombres du feuillage, t'aurais aimé trouvé ce paysage poétique mais t'as juste l'impression d'avoir atterrit dans un vieux bled starfoullah. Prêt à voir des vaches à qui t'irais squatter du lait, c'est crade bordel, des tétons vaches. En attendant les tiens crament littéralement sous le soleil, t'as envie d'enlever ton t-shirt mais t'as déjà assez pris cher comme ça. Tes joues sont rouges, tes bras sont rouges, t'as des larmes aux yeux, la langue sèches, on dirait tu vas pisser de sang à tout moment. Combustion spontanée.
Tu marches, tu marches, pendant des heures, préparé à te jeter sur la première forme de vie humaine en le louant comme un tyran de l'antiquité. C'est toujours possible ici. Le soleil semble pas vouloir se casser et tu te sens impétueux, tu sens que tu vas tomber dans les pommes ; Et crever de déshydratation. Help, SOS, ayuda, por favor darle la mano. Je sais pas parler espagnol. Il fait chaud, TROP CHAUD et tu te sens muslim en plein milieu du ramadan : au bord de la mort. Non la vérité c'est pas si hardcore, mais toi t'es babtou fragile perdu dans la cambrousse de Pallatine.
Tu veux pleurer, tu veux crever. T'es sur le point d'hurler ta fragilité et le fait que tu sois un peu trop uke ; qu'en secret t'aimes les boysband, non t'écoutes pas de boysband mais la chaleur te fait délirer. T'es sur le point de t'enlacer, mais tes jambes te lâchent subitement te jugeant trop pédé. Nique sa mère, comme on dit quand on est arraché. Alors, tu lâches un cri mais genre ça sonne comme Aoba tu captes pas trop, t'as envie de péter un câble, de dormir, de cramer même si t'es pas trop halal. A ta mort on te nommera seme ultime, je raconte quoi ????? Adieu ta jeunesses et toute ta crédibilité : rampant sur le sol, tu fais drôlement pitié.