César. Duncan.
Caractère
César est un personnage toujours avenant, sourire éternel fiché sur ses lèvres, l'oeil sympathique et le minois agréable. Tout le monde s'accorde à dire que c'est d'apparence un jeune homme tout à fait adorable ; les vieilles femmes le complimentent de "gentil garçon" parce qu'il n'hésite pas à leur donner un coup de main s'il le faut. A vrai dire ce n'est pas tout à fait faux, César est quelqu'un de très charmant du moment que vous n'empiétez pas sur ses plates bandes et dieu sait à quel point que c'est aisé. Pourquoi ? Car le blond ne supporte absolument pas les contacts physiques à moins que ce soit lui qui les initie ou qu'une personne qu'il aime et estime le fasse. Sinon, cela l'horripile et repousser brutalement autrui ne le gênera pas. Considérant que les autres sont "sales" il en vient à être plutôt dédaigneux envers eux sans forcément le montrer, plutôt discret dans ses jugements et ses mimiques dégoûtées (à moins qu'il ne soit en présence d'un proche voyant les choses comme lui, dans ce cas il se fera un plaisir de descendre les autres).. A vrai dire si d'apparence il paraît très sympathique, intérieurement il juge affreusement quiconque l'approche.
Doté de sens de l'humour, César apprécie les blagues, devinettes et tout ce qui touche à ce domaine. Cependant il ne sait pas faire preuve d'autodérision et n'hésitera pas à se faire entendre s'il juge que vous y allez trop fort. Une petite preuve de cet humour ? Le nom de code de César est Dorothée pour la simple et bonne raison qu'il n'avait aucune idée de quoi se donner et en demandant à Ozo ce qu'était son nom de code, en découvrant que ce-dernier était surnommé Oz, il a décidé de s'y affilier en se surnommant Dorothée. Vraiment, ça n'en jette pas beaucoup mais en général le nom de code Dorothée n'est pas affilié à une demoiselle adorable mais bien à un géant du genre à laisser parler ses armes s'il le faut.
César est détendu et pas vraiment du genre à s'en faire pour grand-chose, il est sérieux et possède un certain sang-froid lui permettant de ne pas s'emballer même dans des situations délicates. Il sait parler. Négocier plutôt que de frapper est bien dans ses habitudes, voir parler pour faire diversion et permettre à ses hommes de frapper. S'il sait combattre lui-même (bien qu'il préfère user d'armes pour dissuader autrui), il n'aime pas bien se blesser, s'abîmer ou se salir en se battant, il préfère clairement ordonner à ses hommes d'attaquer directement.
A propos de ses hommes ou de tout ce qui l'entoure, César est dur. Il aime la perfection et s'il est coutume de dire qu'elle n'est pas atteignable, il souhaite que chacun s'en rapproche au maximum. César est connu pour avoir un ton enjoué, malgré sa voix grave, en toute circonstance mais quand il se retrouve en colère, sa voix sera incroyablement glaciale et d'un calme terrifiant ; tout le monde (ou presque) craint cette colère sourde qui est, pour un homme comme César, une véritable fureur.
Travailleur, César aime donc le travail bien fait et ne lâchera pas ceux qui travaillent avec lui tant qu'ils ne lui ont pas rendu quelque chose qu'il juge bon. Il serait bien capable de les appeler sans relâche ou de les débusquer dans un coin pour les forcer à terminer une tâche ! Vraiment, il ne lâche rien. On peut lui donner ça : le goût du travail bien fait et une détermination assez incroyable ! Acharné grand blondinet qu'il est.
Pas spécialement curieux à moins que cela concerne son travail, César n'est pas quelqu'un qui s'immisce beaucoup dans la vie d'autrui ou qui pose beaucoup de questions. S'il a besoin de trouver quelque chose sur quelqu'un, il sera plutôt du genre à aller chercher dans des dossiers ou sur internet, tout simplement. A contrario, César aime parler de lui mais plutôt en surface, disons qu'il ne divulguera jamais au premier venu des informations importantes sur lui. Il reste une personne méfiante avec les autres mais étrangement, avec ses très proches il sera plutôt naïf et du genre à leur donner le bon dieu sans concessions.
Au sein de l'Institut, César est généralement apprécié car il exécute les ordres sans avoir à en redire, il fait ce qu'on lui dit de faire et surtout, il le fait bien. Sans avoir à en redire ? A vrai dire, pas tout le temps. S'il juge un plan ou une idée mauvaise, il n'hésitera pas à le signaler ou à modifier un peu certains aspects pour assurer la réussite. Du genre ambitieux et désireux que sa diaspora soit la meilleure, il désire ardemment que l'Institut retrouve sa splendeur d'antan.
Le sale travail ne lui fait pas peur, patrouiller des heures et agir férocement non plus. Tant qu'il garde une place confortable et une certaine richesse, il ferait bien tout et n'importe quoi. A vrai dire, le blond n'a pas beaucoup d'empathie pour les autres et se trouve être même carrément apathique vis-à-vis des sentiments d'autrui. Bien entendu, toujours dans quand cela concerne des inconnus. Car, vraiment, César n'est pas de ces empathiques se mettant à la place des autres. Il s'en fiche complètement et vous ne l'intéressez pas si vous n'avez pas de liens profonds avec lui.
De toute manière César est droit dans ses bottes et c'est le parfait militaire, il exécute comme une machine et les dommages collatéraux ne lui font ni chaud ni froid. Cruel ? Sûrement mais cela fait parti des valeurs de la diaspora n'est-ce pas ? D'être très rigoureux et efficace.
Mais ces derniers points concernent surtout le travail et quand le travail est terminé, César ne veut plus en parler. Quand il sort profiter de la vie, quand il va faire ses courses ou passe au bar, il évite de parler travail au maximum et sera très ennuyé si un collègue vient lui demander des informations sur un dossier. Le jeune homme n'aime pas mêler vie privée à vie professionnelle et c'est sûrement pour cela que jamais encore il n'a eu de relations avec un ou une collègue. Relations, oui car ce n'est pas parce qu'il est asexuel qu'il n'a jamais eu personne, n'est-ce pas ? A vrai dire il n'en a pas eu beaucoup, César est plutôt loup solitaire et trouver un être qui s'accorde avec lui n'est pas aisé. Malgré cela le blond reste quelqu'un d'assez charmeur qui aime plaire.
Âge: 34 ans.
Naissance: 02/11/1982.
Arrivée: Natif.
Présence en ville: 34 ans.
Nationalité: Américain (origines espagnoles).
Métier: /
Statut civil: Célibataire.
Groupe: Institut Svensson.
Section: Département de Sécurité.
Rang occupé: Chef d'équipe de surveillance.
Nom de code: Dorothée.
Taille: 190 cm.
Corpulence: César arbore un corps élancé et taillé dans une certaine finesse. Faisant d'ailleurs un peu penser à un félin, musclé délicatement à leur instar et doué d'une élégance particulière.
Cheveux: Une chevelure dorée, mi-longue et parfaitement entretenue, les cheveux de monsieur Duncan ne sauraient être gras ou fourchus !
Yeux: Des prunelles rubescentes et dénuées d'animosité, un regard tranquille et un peu apathique qui lui correspond si bien. Pourtant, parfois, ses orbes rougeoyantes s'allument d'une lueur tantôt amusée tantôt charmeuse.
Autres: César apprécie les bijoux, trouvant qu'ils le mettent en valeur. Il ne possède cependant pas de tatouages ou de piercings en dehors de boucles d'oreilles en or. L'or, il adore ça et n'hésite pas à s'en parer.
- César est asexuel.
Histoire
Fils d'un général d'armée de la seconde guerre mondiale et d'une guerrière renommée pour sa dangerosité dans son propre futur, Aleksander était un homme taillé pour la guerre. Né au sein même de Pallatine, il vécut auprès de ses parents une vie paisible, rythmée par l'apprentissage et les exercices. Il fut tôt introduit dans la sécurité de l'Institut en tant que simple membre, tout de même apprécié pour son efficacité. C'est au sein de l'Institut, alors qu'il cherchait un dossier dans les archives, qu'il croisa la route d'une séduisante jeune femme, scientifique brillante appelée Rosalyne. Cette première rencontre se termina par une merveilleuse engueulade : au vu de leurs deux forts caractères, Aleksander et Rosalyne ne se supportaient tout simplement pas.
De fil en aiguille, leur relation s'améliora et ils finirent par se côtoyer de plus en plus jusqu'à officialiser leur relation. Ils ne comptaient cependant pas avoir d'enfants, chacun trop prit par son travail pour donner du temps à une progéniture, puis de toute manière ils étaient bien à deux. Malheureusement, César décida tout de même de montrer le bout de son nez. Pourquoi ne pas avorter ? Rosalyne ne saurait le dire exactement, peut-être qu'entendre son mari lui rabattre les oreilles de le faire, presque l'y obliger, cela réveilla à nouveau son esprit de contradiction et elle s'y refusa. Dans tous les cas, quelques mois plus tard un petit blondinet fut là.
Si Rosalyne prit quelques temps pour se reposer un peu et s'occuper de César, elle s'en désintéressa bien vite et le confia à Hector et Natasha, les parents d'Aleksander. S'ils n'appréciaient pas l'attitude de leur fils et de leur belle-fille, ils acceptèrent de prendre soin de l'enfant, peinés pour ce petit-être qui n'avait rien demandé.
Ainsi César vivait à sharsfort avec ses grands-parents paternels, choyé et aimé par eux à défaut que ce soit par ses parents. Il ne manquait de rien et s'épanouissait relativement en dépit du fait qu'il se posait beaucoup de questions à propos de ses parents ; pourquoi donc ses petits camarades avaient mère et père ou au moins l'un ou l'autre qui venait le chercher ? On lui répondit que ses parents travaillaient beaucoup alors César décida d'être fier d'eux. Ils travaillaient beaucoup, ils devaient être très occupés et très appréciés pour ce qu'ils faisaient, non ? Parfois, le week-end, l'un de ses parents ou les deux venaient le chercher pour monter vers sundlaw et passer un moment avec eux. C'était assez rare mais très précieux pour le blondinet.
Si ses grands-parents comptaient plus que tout pour lui, c'était aussi parce qu'il n'avait pas beaucoup d'amis. Son caractère fort pour son âge faisait que les autres enfants préféraient jouer entre eux, entre gamins moins difficiles. Il y avait pourtant un gamin sociable, souriant et lumineux qui attira César. Ce-dernier avait du mal à aller vers les autres, peut-être était-ce pour cela qu'il s'attacha autant à forcer le lien avec ce gamin, ShaoZu ? Il ne cessait de lui courir après, niant le fait d'être un "bébé" comme le brun aimait le lui dire.
Passant de la maternelle à l'école primaire, César restait un bon élève, voire très bon puisqu'il désirait montrer à ses parents qu'il était tout à fait à la hauteur d'être leur fils. Lui aussi était performant et ferait leur fierté ! Ne lésinant donc pas sur le travail, il ne se retenait cependant pas de se montrer terriblement insolent, profitant de son bon travail pour que la plupart des choses lui soient passées. Un sale gamin, ça, oui.
Puis vint le collège. Rien de bien compliqué, seulement c'est aussi à cet âge que les deux gosses commencèrent leurs bêtises mineures, rien de bien fou, des trucs d'adolescents testant les limites. César se sentait un peu invincible aux côtés de ShaoZu et plusieurs fois cela lui arriva de provoquer des gars plus âgés, pourquoi ? Des envies de défi, de montrer qu'il était le meilleur sur tous les plans, de vivre des choses puissantes. A côté de ça, il y avait évidemment des moments plus tranquilles, des balades au parc, des soirées à regarder les étoiles et s'imaginer tout un tas de choses dans l'espace. Des rêveries qui faisaient un bien fou. Surtout que ce n'était pas forcément facile dans les foyers, oh, ils n'étaient pas les plus à plaindre mais César se sentait toujours gêné chez ShaoZu. La mère de ce-dernier était adorable mais ce tabou régnant autour du père de son ami lui faisait toujours étrange.
Lui, il ne voyait pas davantage ses parents et quand ceux-ci venaient le voir ou l'emmenaient faire un tour à sundlaw, c'était pour lui donner de l'argent à défaut de marques d'affections autres. Ils n'étaient pas capables de lui dire ce qu'il aurait simplement désiré entendre ou sentir. Lui-même n'avait pas bien conscience que c'est ce dont il avait envie, aimant cet argent et ces cadeaux luxueux qui ne le rassasiaient jamais. Puis ce qui l'agaçait par contre, c'était entendre ses parents lui rabattre les oreilles de conseils et de morales inutiles à ses yeux : il n'en avait que faire de ce qu'ils pouvaient bien dire, il n'était pas proche d'eux et ne les aimait pas comme il aimait ses grands-parents. Ses parents lui offraient une certaine richesse, richesse qu'il gardait précieusement pour aller ensuite tout griller avec ShaoZu, évidemment.
Vint le lycée. ShaoZu dans sa phase de pseudo emo (qui amuse aujourd'hui beaucoup César quand il y repense) et lui, éternel petit insolent qui s'amusait à répondre à ses professeurs. Souvent, ses grands-parents étaient convoqués, ils réprimandaient leur petit-fils qui se calmait un temps. Mais les vieilles habitudes ont la dent dure et il recommençait sans cesse. C'était certainement ses notes plus que bonnes qui lui permirent de rester au sein du même lycée pendant les trois ans qu'il fallait.
A côté de la vie à la maison et de celle du lycée, il y avait la vie avec ShaoZu, il y avait les tentatives d'entrer dans les boîtes de nuit, les bordels, les bars alors qu'ils n'avaient pas l'âge. Parfois ça fonctionnait et ils profitaient du monde nocturne, César n'éprouvait pas grand-chose dans ces clubs de strip-tease, s'amusant plutôt de voir ShaoZu s'amuser autant. De bons souvenirs.
Des souvenirs que César décida de chérir plus que tout quand ShaoZu, à ses dix-huit ans, décida de partir découvrir le monde. Comme ça, sur un coup de tête. Le blond sentit comme un petit morceau de lui partir avec ShaoZu. Il avait toujours été là après tout, il était son seul véritable ami, celui avec qui il avait apprit la vie, avec qui il avait prit des coups et tenté ses premières expériences, les premières conneries, les premiers déboires. César ne fit pas mine de le retenir, il lui souhaita bon courage et bonne chance. Oui, il espérait qu'il trouverait ce qui, peut-être, lui manquait.
De son côté la vie reprit son cours et César sentait un désagréable goût morne sur sa langue. Un peu vide, c'est comme ça qu'il ressentit les premières semaines, l'absence de ShaoZu lui causa beaucoup de tort, il était comme son frère. Non, il était son frère. Ils avaient tous fait ensemble.
Il tâcha de rebondir plus ou moins proprement, puisqu'il n'était pas le moins populaire au sein du lycée. Il décida de s'abandonner aux mains de la vie de populaire du lycée, jouant les jeux terribles des jeunes de son âge. S'il causa du tort à beaucoup, il s'en ficha complètement, désireux d'évacuer ses mauvais sentiments et sa tristesse qu'avait apporté le départ de ShaoZu.
Après le lycée, César s'engagea dans des formations spéciales au sein de l'Institut durant un temps, il forma son corps, appris les ficelles du métier en tant que membre de la sécurité. Sculptant davantage son corps qu'auparavant malgré les sports qu'il pratiquait, il apprit à manier des armes et s'en servir efficacement. Ainsi, il suivait les traces de ses parents. Les deux s'y trouvaient et ce fut tout naturel pour César de les rejoindre.
Intégrant plus tard une équipe de surveillance, il fut un membre exemplaire bien que son côté perfectionniste le poussait à toujours tenter de récolter les lauriers, pour cela il travaillait ardemment. Pas à se pourrir la santé, il prenait soin de lui.
Pour un temps. Ses grands-parents finirent par mourir, d'abord son grand-père puis, peu longtemps après, le cœur brisé par la perte de son mari, Natasha s'envola dans son sommeil. Si endurer la perte de son grand-père fut déjà difficile pour César, celle de sa mère finit de l'anéantir. Rendu fragile par la non-présence de son frère de cœur, il fut déboussolé quand les deux piliers de sa vie ne furent plus que poussière.
Pour oublier sa peine, le blond se tua à la tâche. Sa santé finit par en pâtir terriblement, il travaillait jour et nuit jusqu'à ce qu'il finisse par se blesser si sérieusement qu'il fut arrêté un temps. Son supérieur lui expliqua que ce n'était pas le moment de perdre la tête : il travaillait très bien, était un membre efficace et doté d'un charisme faisant que ses camarades étaient bien du genre à aller dans son sens. Pour ses qualités et son dévouement, il serait nommé à sa suite chef d'équipe. Encore fallait-il qu'il se reprenne : il venait de perdre pas mal de crédibilité.
Rétablit, César prit sur lui et apaisa la peine, deuil fait, il reprit le travail. Il mit un frein au rythme effréné qu'il avait entamé avant de finir nommé chef d'équipe à l'âge de vingt-six ans. Pour ses longues années de bons et loyaux services et puisque son chef partait à la retraite, ce fut lui qui devait reprendre le flambeau. Personne ne fut bien déçu, il était un membre qui exécutait les ordres sans piper mot et les faisait exécuter sans attendre. Un pion de choix, en somme.
Si beaucoup n'apprécie pas Ozo en le traitant de pistonné, César n'a pas vraiment une opinion négative de lui, au contraire le gamin l'amuse pas mal et puis c'est grâce à lui qu'il a trouvé son nom de code. Dorothée. Ça avait bien fait rire tout le monde et César trouvait cela amusant que personne ne prenne au sérieux celui qui se retrouvait affublé d'un tel nom de code... Ah, les fous, qu'ils se trompaient ! Dans tous les cas, César n'hésite pas à proposer un coup de main à Ozo pour gérer les effectifs puisqu'il y avait apparemment tant de mal.
Participant activement à chercher la cause des disparitions des personnes présentes en ville, il se souvient de cette période comme d’une grande frustration dans son esprit. Détestant que les choses lui échappent, César n’en dormit pas, travaillant d’arrache-pied sans arriver à trouver grand-chose et cela le bouffa de l’intérieur. Même quand les disparitions cessèrent, il ne se permit pas de se reposer, désireux de trouver. La suite des événements n’apporta rien de bon et il se mit à cordialement détester les Opportunistes. Se promettant de les écraser tous sous ses bottes et de les détruire, il s’en faisait une promesse. Ils paraissaient bien trop puissants et dangereux, après tout, ils devaient disparaître et ne pas faire d’ombre à l’Institut. Il fut heureux de voir Clay Griffith arrêté et enfermé, un peu apaisé de voir que les choses s’apaisaient malgré cette rumeur de personne retournant sur terre.
Bien décidé à trouver des moyens de régler toutes ces affaires, éradiquer les Opportunistes et offrir à l’Institut l’arsenal nécessaire pour redorer son blason et redevenir le maître suprême de Pallatine, César ne laissera personne se mettre en travers de son chemin.
Prendre autant d’importance lui faisait par ailleurs un autre bien : surpasser ses parents restés simples membres sans grande importance. S’élevant au-dessus d’eux et les toisant de son petit trône, il se prélassait dans sa force et les dénigra amplement.
Seul ne travail ne comptait pourtant pas, il y avait ShaoZu. ShaoZu revenu en ville depuis un petit moment, son frère qui lui avait tant manqué. Comme au bon vieux temps, se voir régulièrement est évidemment de mise après le travail et comme au bon vieux temps, pas de blabla à propos du travail. Que de l’amusement.
Si seulement ils savaient…
Bonjour ! Moi c'est Blue_Jackal, je suis venue ici par partenariat et parce que ce forum m'intéresse depuis un bon bout de temps ! J'espère me plaire parmi vous \o/