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Elijah M. Malloy

Lun 3 Avr 2017 - 23:50
Elijah, Mackenzie.

Elijah Mackenzie Malloy.

feat Shizuo Heiwakima. | Durarara!!

Caractère

Elijah, Mackenzie.

Histoire

« Mon filsclac !n’est pas clac ! - et ne sera jamais clac ! - un looser. »

Dans l’arrière-cours de cette maisonnette aisée de la banlieue de Galway, c’est le bruit de la ceinture de cuir qui claque la peau nue qui retentit. Elijah a douze ans, et il a déjà l’habitude de ce genre de punition. La crainte du coup, le cuir qui lèche sa peau claire et qui en laisse l’effet d’une brûlure saisissante. Il n’a pas le temps de se remettre du premier coup qu’un autre suit, puis un autre, puis un autre. Il plisse les yeux et retient ses larmes. Il refuse que son père les voit apparaître, il sait que cela n’aidera en rien son cas. Cette fois-ci, il a perdu un combat officiel lors de son cours de boxe. Une autre fois, il a eu de mauvais résultats à l’école. Une autre fois encore, il a été pris en flagrant délit de vol sur un stand du marché local. Autant de raisons pour marquer sa peau des corrections de son cher père, Andrew Malloy, directeur commercial pour la filiale agro-alimentaire de la Berry Corporation sur la côte ouest. Dans cette Irlande morose du début des années 80, l’homme est rigide et exigeant, dans tous les aspects de sa vie, son travail et sa famille. Il ne laisse aucune place à l’improvisation, il construit sa réussite et attend la même chose de son entourage.

« Pourquoi je n’ai plus le droit de partir jouer avec Terry et James ?
- Leur père a été licencié.
- Et ?
- Tu ne les fréquenteras plus. »

Une décision qu’il a refusé, plus d’une fois. Il est retourné les voir, Terry et James, deux amis d’enfance et voisins de la même rue… jusqu’à ce qu’ils déménagent et disparaissent de sa vie. Cela lui aura valu de nouveaux coups de ceinture, d’ailleurs. Car chez les Malloy, ou Monsieur Malloy, plutôt, on fait attention à son image, on ne s’entoure pas de n’importe qui. L’idée est de toujours bien présenter. On laisse ses déchets chez soi, à l’intérieur des quatre murs de son foyer, mais en dehors, rien ne doit dépasser. Sa femme le sait. Son fils l’apprend à la dure. De son enfance dans les années 80, Elijah retient quelques airs de musique disco, comme tout le monde, quelques repas occasionnels dans le dinner le plus proche, les cours de boxe toujours plus violents et les parties de rugby improvisées. Cependant, c’est surtout la rigueur de la maison familiale qui lui prend aux tripes. Certains jours, alors qu’il n’a que quatorze ans, il passe des soirées interminables sur le ring du club de boxe à combattre jusqu’au sang, le nez éclaté et les yeux bouffis. Il préfère s’écrouler là que subir l’ambiance exécrable imposée par son père. Sa mère soumise ne dit rien. Grace est secrétaire à la Berry Corporation. Elle fait ce qu’on lui dit au travail. Elle fait ce qu’on lui dit dans son foyer. Et quand on ne lui dit rien, la plupart du temps en présence de son mari, elle se tait.

« Tu as appris tes leçons ?
- … Oui.
- Tu as de bons résultats ?
- … Oui.
- Bien. »

Elijah n’est pas spécialement une tête, mais c’est un bosseur. Tenace. Trop fier pour abandonner ou échouer. Sous le joug de son père qui ne cesse de le comparer à son cousin, déjà promis à un poste à responsabilité, il sait qu’il vaut mieux qu’il travaille et suive ses pas. D’une certaine manière, il sait parfaitement quel objectif il se fixe : faire mieux que son père. Et il sait où : au sein de « La Berry ». Il n’y a aucune hésitation à cela. Son père lui parle déjà sans cesse des stratégies de déploiement sur Galway, des marchés internationaux contractés en Chine et en Allemagne. Il a quinze ans. Sans y être jamais allé, il se représente les pays étrangers par des contrats et des chiffres. Rapidement, au collège, il a également des cours d’économie et aborde le commerce par le biais de son père et d’un tuteur à domicile, qui lui explique déjà la loi du marché, les conditions des appels d’offres, l’ouverture du marché, la macro et la micro économie…

Plus que l’économie, toutefois, il a une véritable sensibilité pour l’histoire et les grandes batailles… c’est pour cela que son groupe d’amis en vient à le surnommer Austerlitz. Parvenir à contrôler les hommes et à ruser à grande échelle pour l’emporter, voilà qui le fascine.

« On va partir.
- Partir ? Où ça ?
- La question est plutôt « quand ». »

Au début, Elijah n’en a rien compris. Cela faisait de nombreux mois que son père était d’autant plus irritable, à faire des messes basses avec sa mère. Et du jour au lendemain, il s’est mis à afficher un sourire satisfait. Puis au détour d’un repas, il a annoncé qu’ils partaient, tous les trois, pour une ville du nom de Pallatine, pour un voyage extraordinaire qui permettrait de prolonger l’œuvre de la Berry Corporation et poursuivre les ambitions de la multinationale « ailleurs ». Lorsque les choses prennent formes, Elijah a seize ans, c’est un adolescent affirmé avec des idées bien arrêtées. Il a une copine et de nombreux amis. Il a la stature d’un leader et ne saisit pas bien dans quoi il se retrouve embarqué.

« J’ai pas envie. » La seule chose qu’il comprend rapidement, c’est qu’il s’agit d’une décision interne à la Berry et qu’ils n’ont pas le choix. « Tu ne décides pas. » Et en effet… bon gré mal gré, un sac à dos avec lui, cerclé par ses deux parents et d’autres cadres de l’entreprise, il se retrouve face à un portail, entourés d’agents du soi-disant Institut Svensson. Un voyage sans retour. Un voyage à jamais, on lui a dit. Le transfert en lui-même, il n’en a aucun souvenir, la seule chose qu’il sait c’est qu’une fois « atterri » (c’est le terme qu’il emploie le plus souvent), il a fallu toute une période d’acclimatation. Un autre espace temps : Pallatine. Un terrain de jeu idéal pour l’adolescent qu’il était. Comme pour tous les transférés du passé, le moins évident c’est de réellement appréhender ne plus être sur Terre et d’avoir fait un saut dans le temps. Mais une fois cela acquis… il s’est senti chanceux et privilégié.

« Pallatine, donc ?
- Oui.
- Ça a l’air génial ! »

Et là, il se met à découvrir un univers tout autre. Semblable et différent à la fois, avec des technologies qu’il n’a jamais vues. Internet lui paraît obscur, mais il s’y fait facilement. Il est encore ado. On s’adapte à tout quand on est jeune. Ce qui n’est pas forcément le cas de son paternel qui semble avoir perdu ses repères et erre comme une âme en peine dans les locaux de la Berry. Car oui, cela faisait déjà de nombreuses années que la multinationale était implantée à Pallatine, en lien avec la diaspora Opportuniste. Avec le bon réseau, les héritiers Berry n’ont pas raté le coche. Se déployer dans un autre espace temps, profiter des nouvelles technologies et des nombreux marchés à conquérir… une aubaine !

Même sa mère paraît plus à son aise, facilement impressionnable, mais satisfaite de son sort. Elijah, comme beaucoup ici, connaît parfois des phases de nostalgie et de regrets, rapidement effacées néanmoins par les possibilités qui s’ouvrent à lui. Les téléphones portables, les ordinateurs et chronosrep le fascinent. Il en devient rapidement un utilisateur avide et insatiable. Il poursuit des cours en accéléré, et ses parents réintègrent progressivement des postes équivalents à ceux qu’ils avaient sur Terre au sein d’une Berry Corporation dont le développement est tout autre, ici. Cela le conforte dans son idée. Lui n’a pas pour vocation d’être économiste, il saisit l’importance des commerciaux, mais plus que la vente, il sait déjà que c’est la persuasion qui l’intéresse. Séduire les potentiels acheteurs par les mots. Les différents canaux exploitables à Pallatine ouvrent le champ des possibles.

« La communication ?
- Oui, il y a un parcours qualifié à l’Institut et Monsieur Leitson a déjà accepté ma candidature de stage. »

Son père est moyennement emballé, mais il sent rapidement que son fils lui glisse entre les mains, déjà aspiré par un engrenage qu’il semble mieux cerner que lui. Andrew Malloy a pourtant su rebondir et s’affirme de mieux en mieux au milieu de cette ville aux milles enjeux. Il a compris le jeu des diasporas et le poids du Conseil d’administration des Opportunistes. Il sait qu’il ne gagnera rien à contraindre son fils. Il fera alors tout pour le placer. Le jeu du réseau et des contacts débute alors. Elijah poursuit ses études et s’épanouit au croisement de la création, de l’administratif et du marketing. Il découvre des aspects qui lui étaient étrangers. Son esprit de gagnant l’aide à se faire reconnaître.

Sans qu’il s’en rende réellement compte alors, la Terre qu’il a connu, celle de ses années 80, est rapidement oubliée. Désormais, il est un jeune homme brillant qui rejoint officiellement la Berry Corporation en tant qu’assistant puis chargé de communication dans la section des télécoms. Il sait charmer et a désormais parfaitement l’appui de son père, dont la fidélité à l’entreprise et l’efficacité ne sont plus à démontrer. Les deux hommes savent s’entourer et faire jouer leur influence. Même Grace Malloy sait très bien incarner son rôle de mère et de femme attentionnée lors des soirées officielles.

Vingt-cinq ans passés, Elijah porte parfaitement le costume, s’applique à entretenir son corps et ses cheveux blonds et lorsqu’il n’est pas à travailler sur un énième plan de communication trans-média, il profite des plaisirs de la vie à Pallatine. Les femmes, les pubs, le casino… il le dit lui-même, c’est une vie qui vaut le coup d’être vécue ! Il sait y faire avec les gens, même si plus d’une fois, cela lui joue des tours. Séduire des femmes mariées n’est pas le bon plan. Il se fait d’ailleurs reprendre à l’ordre dans les hautes instances de la Berry. Il ne faudrait pas qu’il entache la firme avec ses écarts. On tolère beaucoup de choses, mais avec parcimonie. Il finit par le comprendre et on lui glisse à l’oreille qu’un homme rangé peut faire bien plus d’excès, paradoxalement. Le message est passé.

« Je vais me marier. »

Cela fait plusieurs mois qu’il la fréquente. Julia, la fille d’un représentant du comité exécutif d’une entreprise partenaire. Elle est belle, une grande blonde aux allures de mannequin. Elle lui plaît. Elle étudie les langues, dit vouloir être traductrice. Concrètement il s’en fout. Il voit surtout en elle un artifice qui détournera les regards de ses escapades. Il est encore jeune et n’aime pas l’idée de devoir rendre des comptes, mais dans ce monde de technologie et de robotique, qui a l’argent peut avoir les yeux partout. Trois mois plus tard, il se marie dans un mariage fastueux où le gratin est convié. Il appuie son image de jeune homme plein de promesses. Il se place, il a le bon mot pour tous et étoffe sans mal son carnet d’adresses. Son père en fait de même. Un mariage fructueux, par bien des aspects.

Quelques mois plus tard, le directeur de la communication pour la section télécoms fait un AVC. Il propose une candidature parfaite sous tous rapports. Il est retenu. Il a 29 ans. Dans les premiers mois à ce poste, il se démène comme un pauvre diable et marque des points. Il dort peu, prend des cachets pour garder le cap et son mariage en devient rapidement accessoire. L’homme d’affaires en lui est parfaitement satisfait et fier de sa réussite. Il regarde son père dans les yeux et voit un sentiment mêlé dans le regard de ce dernier : de la fierté mais aussi de la jalousie. Peut-être que lui aussi aurait aimé être plus jeune pour mieux appréhender ce saut dans le temps et profiter d’autant plus de toutes les possibilités offertes. Mais c’est son fils, c’est un Malloy.

Une période faste pour Elijah, car c’est là également qu’il est contacté par le Conseil d’administration des Opportunistes, le groupuscule élitiste a déjà des liens importants avec la Berry, et le blond est parfaitement honoré de la confiance qui lui est accordé. La diaspora s’intéresse à ceux qui réussissent.

Et même si les choses ne sont pas toujours parfaites, oui, il réussit.

« Très franchement, au regard des résultats et de l’impact réduit de cette campagne sur les ventes, si on avait pu éviter ce poste budgétaire on s’en serait passé !
- Je vous assure que les études préalables démontraient bien un taux de convergence…
- Je me moque du taux de convergence, Monsieur Malloy. Je regarde les faits. On aurait pu économiser plusieurs milliers d’euros... »

Quelques minutes plus tard, la porte du bureau se ferme, le laissant seul avec le graphisme holographique des résultats de cette campagne insatisfaisante. La preuve incarnée qu’il a tapé à côté, et que son plan de communication a été trop ambitieux. Il fixe la tablette sur la table et d’un poing puissant, frappe dessus et en éclate l’écran. « PUTAIN DE MERDE. » La colère qui l’habite mettra une dizaine de minutes à s’exprimer parfaitement, sur les dossiers papiers, sur les plantes – moches – qui décorent son bureau, sur le presse-papier informe… sur tout. Et lorsqu’il en sort et jette un regard dément sur son équipe, autant vous dire que c’est dans un silence de mort. Sa force, cependant, c’est de savoir rebondir, et un mois plus tard, se sont des louanges qu’on entendra dans son bureau.

Dans le studio qu’il occupe avec sa femme, il y a un sac de boxe qui fait office de défouloir géant et quand ce n’est pas le sac, ce sont des combats clandestins qu’il lui arrive de faire. Il suffit de savoir où. Malheureusement, il arrive que la boxe ne suffise pas…

« Julia, tu m’emmerdes, c’est pas le moment, OK ?
- Mais c’est jamais le moment avec toi !
- Bordel mais ferme-là ! »

Ce n’est pas la première fois. Mais cette fois-là, particulièrement, le premier coup est arrivé tôt. Une gifle violente et la femme tombe à la renverse sur le canapé. La journée a été éreintante et frustrante et même s’il sait que ce n’est pas quelque chose à faire, que ça ne mènera à rien, bien au contraire… Il ne se retient pas. Ce n’est pas avec la ceinture, comme le faisait son père. C’est avec les poings. Sans réfléchir, sans même voir, un voile opaque sous les yeux, les gestes s’enchaînent avec brutalité. C’est quand elle ne bouge plus, le visage tuméfié et le corps inerte, qu’il comprend qu’il a dépassé les bornes. Jusqu’à présent, elle ne disait rien, elle avait le chic pour lui trouver des excuses et maquiller avec brio les marques sur le cou, sur le visage ou les avant-bras quand il la serrait trop fort. Mais là… c’est trop. Et les cachets qu’il a pris juste avant n’aident en rien son cas. Déboussolé, plusieurs minutes plus tard, c’est lui qui appelle l’un de ses meilleurs amis, également employé à la Berry. L’homme est plus lucide que lui car la prise en charge de Julia et d’Elijah se fait dans la plus grande discrétion. La femme se retrouve soignée dans une clinique. Elijah est entouré. Et sans trop de surprise, lorsque la demande de divorce suit, appuyée par la famille de Julia, le Malloy ne dit rien. Il n’a rien à dire. Heureusement, les hautes instances de la Berry, dont son père, œuvrent dans l’ombre pour que son image ne soit pas trop entachée. Il y a une ordonnance de restriction, bien entendu, il ne peut plus approcher Julia ou ses parents et il a pour ordre de quitter le studio qu’ils occupent. Le tout moyennant une grosse somme d’argent, bien entendu.

Un déshonneur pour lui. Le pire, dans l’histoire, c’est certainement le regard presque brillant de son père lorsqu’il se retrouve hébergé chez lui, le temps d’une cure imposée par l’entreprise pour réintégrer ses fonctions par la suite. Andrew le dissimule du mieux qu’il peut, mais Elijah n’est pas dupe. Dans ce regard qui se veut compatissant, il lit aussi parfaitement un message dissimulé « Tu vois, tu ne vaux pas mieux que moi, finalement. »

Par chance, et par fierté, il se remet facilement sur pieds et réintègre son poste en moins de trois semaines. Il retrouve un appartement. Il retrouve son quotidien d’acharné du boulot, sachant qu’il doit en faire deux fois plus pour qu’on oublie cet « incident », dont il ne parle pas, en vérité. A ce rythme là, avec les soirées mondaines et le jeu de la représentation, il retrouve aussi facilement ses travers : les excès d’humeur et les cachets. Particulièrement la codéine, qui devient presque indispensable pour trouver quelques heures de sommeil.

Mais le talent, dans tout ça, c’est de le dissimuler.
Car tout ça, vous ne le saurez pas. De prime abord, vous ne saurez rien. Vous ne verrez rien. Vous vous direz simplement « Quel homme élégant ! Quel homme charmant ! Quel homme bosseur et appliqué. ».

Hello ! Cela fait un moment que ce forum me fait de l'oeil, je m'y suis pas mal appesantie pour une demande de partenariat pour mon forum, et finalement je franchis le cap. On me surnomme souvent Saya, d'autres m'ont peut-être croisé sous les pseudos de Terrence ou Iago par ailleurs. C'est mon premier (et unique, je pense, si je ne veux pas me noyer sous les obligations RP) compte par ici. Ravie de vous rejoindre !

Mar 4 Avr 2017 - 3:30
16 ans et tant de responsabilités ? C'est super jeune quand même ! Sceptique il va devoir avoir de larges épaules dis-donc pour endosser un tel rôle ! Je suis curieux de voir comment tu vas le justifier. Mwahaha

Mais cela me semble tout à fait intéressant ! La suite ?

Bienvenue !
Mar 4 Avr 2017 - 10:31
(ici Toshi sous son premier compte je le précise)

Bah quoi, il est très bien ce début de caractère, il est prometteur Sceptique Sceptique Sceptique Il ne faut pas douter de toi comme ça ! Elijah M. Malloy 2560538792

Bref, j'ai hâte de voir la suite Elijah M. Malloy 2038183076 Elijah M. Malloy 2038183076 Elijah M. Malloy 2038183076
Mar 4 Avr 2017 - 10:43
nama les seize ans c'est la présence en ville
Officiellement la bienvenue. I love you Et j'approuve Wiwi, le caractère est vraiment bien débuté à mon avis, je le trouve très charismatique en tout cas. Elijah M. Malloy 3307074160
Bien du courage à toi ! I love you
Mar 4 Avr 2017 - 12:05
Bienvenue officiellement, Eli. I love you
J'approuve Sneug, rien qu'en te lisant, on sent quelque chose de charismatique chez ton personnage. Et bon choix de diaspora, évidemment. ;) Le début est super bien, on attend la suite. Bave
Jeu 6 Avr 2017 - 0:47
Haaan Shizuo ♥♥♥♥ Bienvenue beau gosse *ç*
Ven 7 Avr 2017 - 11:35
Je savais qu'on allait droit à une bonne fiche, et mes attentes ne sont pas déçues. ♥️
Elijah est vraiment un personnage bien construit, avec beaucoup de précision dans le caractère et dans l'histoire. Cette violence plus ou moins bien contenue est vraiment une bonne idée, dans la mesure où ça casse avec son image d'homme parfait et ajoute une dimension dramatique tout à fait intéressante. On a vraiment envie de le voir à l'œuvre, maintenant.
Amuse-toi bien parmi nous.  Elijah M. Malloy 2038183076

Elijah M. Malloy

a reçu son permis de séjour à Pallatine

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Ce permis de séjour vous donne le droit de résider à Pallatine, de trouver un emploi et d'appartenir à une diaspora. Il atteste que vous êtes apte à vivre par vos propres moyens en ville. Nous vous rappelons que ce permis est obligatoire pour toutes vos démarches administratives auprès de l'Institut.

Si vous trouvez cette carte, merci de la déposer à l'Institut.

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Sam 8 Avr 2017 - 16:51
Merci beaucoup pour la validation ! :)
Par ailleurs, il est indiqué de vérifier si on a bien été ajouté au Bottin des avatars à la validation, et sauf erreur de ma part, ce n'est pas le cas je crois.

Sur ce, je file compléter mon profil et tout ce qui s'en suit !
Lun 10 Avr 2017 - 11:40
Si si, ça a bien été fait, je viens de revérifier. I love you
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