so come over now and talk me down - daiki

Ven 2 Sep 2016 - 0:03
Daiki

Daiki Koyanagi

feat Zhan Zheng Xi | 19 days

Caractère

Daiki c’est la tête de dure à cuire que l’on n’ose pas trop approcher. La gueule du garçon qui s’en bat complètement les couilles de ce qu’il se passe autour de lui et qui vit sa propre vie sans se soucier des autres. Il ne sourit pas ou plutôt il sourit mais aussi fréquemment que se montre les éclipses. C’est ce genre de personne qui arrive dans les classes avec une bitch face saccadé à perte de vue. On lui attribue comme meilleurs amis l’orgueil et l’égo en se disant qu’ils doivent faire quelques centimètres de plus que lui.

Ça, c’est un Daiki qu’on voit, qu’on analyse et qu’on observe. La tête du parfait intimidateur qui demande au garçon à lunettes de lui donner son repas. Mais Daiki au fond il n’a rien de mauvais, il n’y a même pas une once de méchanceté ou de mauvaise foi. Un justicier dans l’ombre à sa propre manière. Il n’a ni peur de mettre de l’avant ses émotions, ni peur de se mettre en avant du vrai mec qui s’apprête à taper l’autre à lunettes pour avoir son repas. Du genre à dire qu’il a peur, du genre à dire qu’il est triste, du genre à dire ce qu’il se passe dans sa tête, mais peut-être moins dans son cœur. Aussi monotone qu’il puisse le dire, il le dit et s’en fiche à perpette de ce qu’autrui puisse en dire.

Il n’est pas le genre de personne à prendre par pitié, mais par la main ses amis qui tombent pas. Il les relèvera et leur donnera une bonne tape dans le dos en signe de message et en signe d’encouragement. Daiki tu l’appelles à 3h du matin pour qu’il vienne te chercher parce que tu as dégueulé partout à une soirée et il viendra et te tiendra même les cheveux pour que tu vomisses. Même sans auto il prendra ses deux jambes et son hoodie et te ramènera en taxi sain et sauf chez toi. Le bon ami qui tiens aux liens qu’il a soudé et qui tiens aussi bien parole sur ce qu’il dit et promet.

Il a ce côté attentionné et tendre qui pousse encore plus loin de la traque ceux qui le perçoive comme un simple garçon qui se fou de tout et de rien. Toujours avec quelques plantes qui se ramassent dans sa chambre ou son appartement, il en prend le plus grand soin. Il prend la peine de les arroser, de changer la terre, de les mettre au soleil et les rentrer lorsqu’il y a du mauvais temps. Il y a aussi ses affaires qui sont toujours aussi bien classées et rangées, prenant soin de tout ce qu’il lui appartient.

Daiki il ne faut pas le juger trop vite. Daiki il ne faut pas le chercher. Daiki il faut tout simplement prendre le temps de le connaitre.

Daiki

Âge: 19 ans
Naissance: 07/06/1996
Départ: 2012
Présence en ville: trois ans
Nationalité: japonaise
Métier: barman
Statut civil: me, myself & I

Groupe: Indépendants
Section: nada
Rang: nada
Nom de code: Ōku

Taille: 1.78
Corpulence: svelte & athlétique
Cheveux: châtain clair
Yeux: dorés
Autres: nada

Histoire

« De toute manière il était qu’un connard qui ne faisait que m’embêter et foutre le bordel quand il en avait l’occasion ! En plus…En plus il était juste un imbécile de la vie et…et il est tellement égoïste en plus et il se fou des autres, de ce qu’ils peuvent ressentir. Je le déteste Nao. BIEN FAIT POUR LUI. »

« Daiki… »


Ta mère prit ta tête et l’appuya au creux de son épaule en glissant sa main contre ta nuque. Elle avait toujours les mots justes te disais-tu, elle les trouvait toujours te répétais-tu.

« Je sais que tu tenais à lui. Ce n’est pas en disant toutes ces bêtises qu’il reviendra tu sais. »

Mais pas cette fois-ci. Pour la première fois, tu la repoussas. Pour la première fois, tu fis la sourde oreille en abandonnant les seules paroles qui pouvaient te rassurer. Il était parti, sans rien dire, sans rien te laisser en guise d’avertissement. Il était parti lui, et une partie de toi.

Ta respiration s’acharnait sur tes muscles, sur ton cœur qui battait irrégulièrement, sur ta tête qui ne savait plus trop quoi penser. Tu courrais sans réaliser que l’oxygène s’effrita dans tes poumons. Tu tombas. Tu tombas au pied de cette colline, au pied de ce chêne immense qui avait été votre lieu de rencontre, votre lieu de confidence. À toi et à lui.

Lui, Nao.

Tu avais l’impression d’entendre sa voix, d’entendre encore cette voix enjouée et incertaine. Et pourtant, tes yeux se posèrent et ton esprit lui, t’amena il y a treize ans de cela, à ce même endroit.

Tu te souviens de sa tête d’œuf, de ses yeux gigantesques à observer dans ta direction, au loin près de l’arbre qui n’était pas autrefois aussi colossale. Toi qui ne venait qu’ici pour découvrir les environs à côté de ta nouvelle maison, tu le vis s’avancer dans ta direction. Tu ne bronchas pas. Tu n’avais pas peur, tu étais tout simplement curieux de ses gestes, de son visage, de son regard. Mais il ne te voyait pas. Comme un vrai gamin il courrait tout simplement après un insecte aussi lambda que sa conscience. Il se planta. Il pleura. Toi, en guise de première impression, tu souris. Depuis le déménagement dans cette nouvelle ville, c’était la première fois que tu montras tes dents. Lui, incrédule continua de pleurer. Tu t’approchas finalement de lui et tendis ta main vers la sienne.

« Désolé, j’aurais pas dû rigoler. Je m’appelle Daiki Koyanagi et toi ? »

Il essuya les larmes qui faisaient deux fois la taille de ses yeux et te prêta finalement le bout de ses doigts pour que tu l’aides à se relever.

« Nao…Nao Akiya. »

Il ne prit pas la peine de te regarder plus longtemps et continua de pourchasser le papillon qu’il avait vu il y a de ça quelques minutes.

« Hey attend moi Nao ! »

Nul besoin de le dire, il retomba. Cette fois-ci il ne pleura pas. Il ria.

Maintenant, tu te retrouvais à l’âge de treize ans et toutes tes dents devant le bureau du directeur trempé jusqu’à l’os. Nao, à tes côtés était complètement sec, riant dans son col d’uniforme, les joues complètement gonflées. Le directeur vous regarda à tour de rôle en soupirant.

« Nao et Daiki. Si cela ne faisait pas longtemps que je n’avais pas vu votre visage. Alors, qu’est-ce qui vous amène devant mon bureau ? »

Nao éclata de rire, ne pouvant plus se contenir plus longtemps. Tu ouvris la bouche le premier.

« On jouait à un jeu pendant la récréation, cap ou pas cap et puis, il s’est avéré que le défi que j’ai reçu m’a ramassé dans cette situation. »

Le directeur regarda Nao qui reprit son sérieux et te regarda par la suite.

« Bon, je vois. J’imagine que ce n’est pas plus grave que cela, vous pouvez disposer. Et…Daiki ? S’il te plait, va changer tes vêtements avant de retourner en classe. »

« Oui Monsieur… »

En sortant du bureau, tu assommas Nao d’un énorme coup de poing, mais tu ne pus contenir ta propre joie mélanger avec la peur de te faire châtier par le proviseur.

« Alors ça fait maintenant 37 à 34 pour moi ! »


Nao se releva aussitôt.

« L’eau t'a vraiment nettoyer les neurones, t’es seulement à 30 ! »

« Endurer ta tête de pioche ça fait plus six et puisque j’ai tout de même réussi à voler les cerises du jardin du voisin, ça me fait plus un donc 37 ! »


Tu pris les cerises dans ta poche et les mis d’un seul coup dans la bouche de Nao. Tu pris tes jambes à ton coup et…en extra la porte. Tout ce que tu te souviens de cette journée, c’est Nao qui riait au-dessus de ta tête, avec le jus des cerises qui se renversa partout. Lorsque les élèves arrivèrent dans les couloirs, il croyait que Nao était devenu une brute et t’avais tapé à mort.

16 ans.
Tu savais que Nao n’avait pas d’entourage ou du moins, un entourage qui ne se souciait ni de sa présence, ni de son absence et encore moins de son anniversaire. Chaque année, tu avais l’habitude de l’amener dans un restaurant avec quelques autres amis. Cette fois-ci, tu avais envie d’y mettre encore plus du tiens, de le remercier d’être ton ami depuis si longtemps d’une manière aussi mémorable que sa personne. 16 ans, ce n’était pas rien. Tu te doutais qu’une foule de personnes n’allaient pas totalement lui plaire. Tu préparas donc méticuleusement la soirée. Avec l’aide de ta propre famille, tu décoras le fameux chêne avec des lumières blanchâtre. Tu y installas une table avec tes parents, un petit coin pour faire un feu et quelques matelas avec des draps pour observer les étoiles.

Ta petite sœur alla le chercher avec ses yeux bandés. Il avança et se planta sur cette même roche qui n’avait pas bougée depuis son accident avec le papillon. Tu étouffas le même rire et lorsqu’il l’entendit il enleva son bandeau pour te lancer un juron, mais, il arrêta avant de finir sa phrase. La bouche grande ouverte et les yeux rivés sur ce spectacle, ses yeux se remplirent d’eau.

« Joyeux anniversaire ! »

Toi, ta mère, ton père et ta petite sœur tous ensemble.

Après la fête, après le gâteau et les histoires, ta famille quitta et te laissa avec Nao. Chacun sur votre matelas respectif, vous vous étiez étendus près du chêne, face à la vue sur la ville du haut de la colline. Alors que tu t’apprêtais à te coucher, Nao attira ton attention.

« Mon plus grand souhait tu sais, ça serait pouvoir m’évader parfois, être loin, vivre loin. »

Il lâcha son petit rire innocent et son sourire dans ta direction.

« Avec toi bien sûr. »

Tu lui jetas ton oreiller.

« Endors-toi au lieu de dire des conneries. »


Et le silence fût.

Fin du flash-back

Tu ouvris finalement les yeux.
Au loin devant toi, tu vis une ombre se dessiner dans l’herbe fraîche.

« Daiki Koyanagi ? »

Tu te levas doucement, ne te souciant ni si l’homme allait te faire du mal, ni si l’homme était présent pour te causer.

« Oui ? »

« Si vous désirez rejoindre votre ami Nao Akiya, je vous prie de me suivre. Comprenez qu’il n’y a pas de retour possible. »


Ton esprit se replaça, identifiant dans sa phrase que le nom de Nao. Tu disais oui, tu disais oui sans penser au reste de sa phrase et tu dis oui, tu dis oui tout fort, tu dis oui à voix haute.

« Oui je veux. »


Le noir se fit à nouveau.
Avant-même d’ouvrir tes yeux, tout ce que tu entendis était le son d’une voix qui te murmurait à l’oreille. Une voix masculine, rauque, mais neutre.

« Bienvenue à Pallatine. »

prepare for trouble and make it double to protect the world from devastation to unite all people within our nation to denounce the evils or truth and love to extend our reach to the stars above max la menace prise deux

Ven 2 Sep 2016 - 0:15
J'te juge. so come over now and talk me down - daiki 1866147747
Mais je sais pas encore pourquoi. Cœur
Ven 2 Sep 2016 - 9:04
Vous voulez qu'on vous shippe, c'est ça. so come over now and talk me down - daiki 1866147747
Vous le voulez vraiment. so come over now and talk me down - daiki 1866147747
(mais j'aime beaucoup le nom en vrai)
Cœur Cœur Cœur
Ven 2 Sep 2016 - 19:52
so come over now and talk me down - daiki 3460827806 so come over now and talk me down - daiki 3460827806 so come over now and talk me down - daiki 3460827806 so come over now and talk me down - daiki 3460827806 so come over now and talk me down - daiki 3460827806

t'es trop bg swag but we're are only bro so come over now and talk me down - daiki 3460827806 so come over now and talk me down - daiki 3460827806 so come over now and talk me down - daiki 3460827806 so come over now and talk me down - daiki 3460827806 so come over now and talk me down - daiki 3460827806
bro so come over now and talk me down - daiki 3460827806 so come over now and talk me down - daiki 3460827806
Sam 3 Sep 2016 - 5:34
les jaloux ils sont les best poto ever genre
des BFF (sans dire ce que veut dire l'acronyme ; ))) )

Dim 4 Sep 2016 - 22:14
Entre nous, vous vous discréditez totalement avec le choix d'avatar. Je vous jure que si vous dépassez un peu la limite de l'amitié, vous vous ferez juger à mort. so come over now and talk me down - daiki 1866147747
Non mais il est quand même sympa ton Daiki, avec son caractère on a envie de lui faire des câlins.  Mwahaha

Daiki Koyanagi

a reçu son permis de séjour à Pallatine

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Ce permis de séjour vous donne le droit de résider à Pallatine, de trouver un emploi et d'appartenir à une diaspora. Il atteste que vous êtes apte à vivre par vos propres moyens en ville. Nous vous rappelons que ce permis est obligatoire pour toutes vos démarches administratives auprès de l'Institut.

Si vous trouvez cette carte, merci de la déposer à l'Institut.

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