Histoire

Hector Stone est né en 1915 aux États-Unis. Seul fils de Joseph Stone, sa mère est morte en lui donnant naissance. Ce n’était pas si rare à l’époque et Joseph est le genre d’homme qui a su élever son fils par lui-même. Un être très doux, un homme très éduqué, passionné et un bon vivant. Joseph travaillait comme archéologue et à 6 ans, Hector pars habiter en Égypte pour faciliter l’équilibre entre la vie familiale de Joseph et son travail. D’ailleurs, Joseph et son équipe, en 1922, font la découverte du tombeau de Toutankhamon. Alors âgé de 7 ans, Hector ne comprends pas l’hystérie de son père, mais partage son enthousiasme. Mais c’est à cette occasion qu’il croise Maya, la fille d’un autre archéologue travaillant avec son père. Du même âge, lui et la petite égyptiennes passent leur temps ensemble jusqu’à leurs 12 ans, où Hector fait vœu à la gamine de l’aimer à jamais, et elle de faire le même vœu en retour. Et sur la prononciation de ce vœu, leur séparation imminente alors que Joseph doit retourner aux États-Unis…

Hector ne pensait alors pas ne plus revoir Maya pour les 9 prochaines années. Il ne pensait pas non plus qu’il ne reverrait plus jamais son père. Sur le bateau du retour, un incident se produit en haute mer et leur cabine coule. Bien que Joseph et Hector se fussent sécurisés une place sur un navire de sauvetage, l’archéologue était retourné encore et encore dans les profondeurs du navire pour en extirpés des gens, armé seulement de son souffle. Et après sa troisième plongé, il n’est jamais remonté. Il est mort en héros sous les yeux de son fils, lui gravant une morale jusqu’au plus profond de son petit cerveau d’enfant de 12 ans. Fut-il dévasté? Un peu, mais pas autant qu’un enfant normal aurait dû l’être. Lorsqu’on eut tenté d’encadrer l’enfant et de lui donner un support psychologique, il répondait simplement : « je comprends, j’aurais fait la même chose pour Maya. » Hector fut placé sous la tutelle du frère de Joseph, Joestar Stone, un oncle un peu plus terre à terre et dur que Joseph, mais aussi valeureux et plein de bonne foi.

Le genre d’homme parfait pour faire face aux événements à venir.

1929, la grande dépression s’écrase sur les États-Unis. Trouver un emploi et de l’argent devient extrêmement difficile. Joestar avait un travail assez sécuritaire comme pêcheur, mais de peur de créer un traumatisme chez l’enfant, il refusa qu’Hector l’accompagne, malgré les demandes de ce dernier. Joestar ne compris que bien plus tard pourquoi le gamin désirait à ce point l’accompagné sur la mer : Hector voulait affronter ses démons et des peurs de pleine face. Pour avoir perdu son père à la mer, il voulait confronter celle-ci et chasser ses cauchemars.

Mais ce n’était pas la seule raison qui poussait Hector, âgé de 14 ans, à chercher à travailler dans cette société bordélique. Il voulait se payer un voyage vers l’Égypte et revoir Maya. Et on avait beau se moquer de lui et lui dire : « Que vas-tu foutre en Égypte, tu ne parles même pas leur langue! » Rien ne pouvait lui enlever ce but de la tête.

Les gens n’allait plus beaucoup à l’école pendant cette période, qu’ils soient jeunes ou âgés, mais Joestar tâchait de convaincre Hector d’y aller chaque jour. Ce dernier n’y voyait pas d’intérêt. Étudier ne lui donnait pas d’argent, il n’était pas très doué, et il détestait les agressions des autres enfants dans les périodes de récréation.

À vers la fin de ses 15 ans, malgré sa taille assez imposante, un gang de jeunes l’attaque et lui vole ses biens. Il retourne chez lui complètement nu. Joestar est révolté et se décide à apprendre à Hector à se défendre et se battre, comme n’importe quel américain se doit d’enseigner à son fils un jour. Hector n’avait pas nécessairement envie de faire du mal aux gamins qui lui avait volé ses biens : ils étaient pauvres et dans le besoin. Mais il dut bien avouer que le combat lui vint naturellement et qu’il adorait les luttes musculaires avec son oncle.

À 17 ans, le garçon est sérieusement plus imposant que les autres de son âge. Mieux nourrit de pas sa situation sécuritaire, et mieux entraîné, il découvre qu’il est possible de se faire de l’argent dans un merveilleux monde nommé « la boxe », où il peut récolter une certaine somme en pariant sur ses combats. Lorsqu’on lui apprends qu’il peut faire plus d’argent en affrontant des gens plus forts et plus musclés que lui, et en allant donc contre la tendance populaire des gageures, il se lance tête baisser dans une carrière de boxe poids lourd, du haut de ses 18 ans. Et par on ne sait que miracle, gagne presque tous ses combats, sans ne jamais être mit K.O. et réussit à sauver assez d’argent pour partir, finalement, à 21 ans, en Égypte.

Trouver Maya est une tâche compliquer, mais lorsqu’il la revoit, ils se reconnaissent instantanément. À ce moment précis, du haut de ses 20 ans, Maya commençait à se sentir idiote de tenir encore dans son cœur le souvenir du gamin que fut Hector et commençait à penser à la possibilité de rencontrer d’autres hommes et à se marier… Mais lorsqu’elle le vu de nouveau, ces idées s’évanouir. Il est difficile d’expliquer l’attraction entre Maya et Hector. Certes, Hector avait besoin d’elle, elle était un baume pour son âme, la plus belle chose d l’univers, mais pour Maya, on aurait pu se demander ce qu’elle trouvait en lui. Un homme devenu bien virile certes, mais qui ne partageait rien en commun avec Maya du point de vue culturel et philosophique. Elle savait simplement, d’une profonde certitude, qu’en aimant cet homme, elle  vivrait la meilleure vie qu’elle puisse vivre.

Mais bien que passionnée, leur réunion fut brève. Il se voit forcer de retourner aux États-Unis sous un appel de son oncle, extrêmement malade. Il restera à veillez sur lui et à travailler pour gagner son pain jusqu’en 1941.

Ce fut alors que les États-Unis rejoignirent la seconde guerre mondiale. Tout homme capable fut enrôlé dans l’armée. Ce fut le cas d’Hector, qui se retrouva pour la première fois avec une arme dans les mains, à 26 ans, alors que lui pensait pouvoir retourner en Égypte et vivre le reste de sa vie avec Maya.

Comme on le sait tous, la guerre finie en 1945, lorsqu’Hector eut 30 ans. Durant ses 4 années de service, son monde se retrouva bouleversé. Il découvrit toute la noirceur dont était capable l’homme, mais vu aussi le sacrifice et la bonté d’autrui sur le champ de bataille. Ses années furent dures pour lui, même si beaucoup pensaient en le voyant qu’il n’avait peur de rien.

Mais nous ne sommes pas ici pour parler encore et encore de la seconde guerre mondiale, alors passons les détails historiques et combats décisifs pour simplement dire qu’Hector survécu. Et grâce à lui, beaucoup d’alliés et même des soldats de l’axe eurent l’occasion de rester en vie. Il fut décorer de plusieurs médailles pour sa bravoure au combat, mais ses décorations ne sont pas du genre à toucher ou caresser l’ego d’Hector. Car de retour au pays, il ne pense qu’à une chose : retrouver Maya.

Mais de retour aux États-Unis, le monde lui semble différent. Après avoir vécu l’adrénaline et la terreur du combat, il a de la difficulté à trouver un rythme de vie normal, ou tout simplement, à se trouver un emploi. Il se bat souvent, pour de petites raisons. Un homme qui gifle une femme, un homme qui fait des commentaires racistes. Un rien suffit à la mettre en rage. Le combat est entré en lui après la guerre et des démons s’y sont retrouvés prisonniers. Ce fut aussi son début de l’amour de l’alcool, la prohibition étant alors levée aux États-Unis. À cause de ses actions violentes fréquentes, il se retrouve sans trop comprendre à faire partie d’un gang de New York et à protéger des gens de son quartier contre d’autres gangs. Une période étrange de sa vie, mais où, il se sentait à l’aise. Les problèmes lui semblaient plus faciles à gérer dans un gang. Il aimait le sens de fraternité, tel qu’il l’avait connu dans l’armée. Mais toute chose doit avoir une fin, et après 2 ans, alors que le nom de H. Stone commençait à être craint à travers tout l’Underground de New York et le Bronx, l’homme de 32 ans quitta pour l’Égypte, avec tous ses papiers et ses affaires personnelles.



1947-1948 marque non seulement son départ, mais un autre fait historique important : la fondation d’Israël par l’ONU. Ainsi donc, de retour en Égypte, notre ancien boxeur et militaire se met à chercher Maya, tout en trainant avec lui ses biens personnels. Par contre, après des semaines de recherche, il se rend compte que la femme de ses rêves est une fois de plus loin de lui. En effet, là où Hector ne s’intéresse pas du tout à la politique et se concentre sur le bien qu’il peut accomplir de ses gestes physiques, Maya est à l’antipode, désirant se servir de ses mots sur la scène politique. Et de par la position qu’elle avait réussi à se tailler avec beaucoup d’effort (les femmes n’eut eu le droit d vote en Égypte qu’en 1955), elle s’était vu à côtoyer des hommes influant, en particulier des princes arabes des contrés voisines. Ainsi lorsqu’Hector posa pied en Égypte, elle était déjà au Moyen-Orient pour assister à la fondation d’Israël.

Évidemment, encore une fois, l’histoire allait les empêcher de se réunir.

Hector prit donc sur lui-même de partir à la recherche de « sa femme », disparue en direction de Jérusalem. Hector n’était pas particulièrement croyant, plus dans son jeune âge, mais avait perdu la foi pendant les horreurs de la guerre. Par contre, en voyageant à travers les plaines désertiques en direction de la ville sainte, parfois en véhicule, à dos de chameau ou en trainant des pieds dans les sables infinis, il eut beaucoup de temps pour penser à sa vie et à la mort, et appris à faire la paix avec le monde cruel qu’il habitait. Il prit de nombreuses décisions, une d’entre elle fut de quitter boisson. Son corps était un temple qu’il se devait de mieux traiter. Il passa tout le trajet a réfléchir, comme il ne l’avait jamais fait avant. Hector se savait ne pas être très brillant et il n’aimait pas beaucoup les débats ou les questions inutiles. Mais au moment où il posa pied au Moyen-Orient, il venait de réfléchir en quelques semaines plus qu’il ne l’avait fait de toute sa vie. Suffisamment de réflexion pour ne jamais avoir à se servir de nouveau de cortex cérébrale pour le restant de ses jours.

Il faut dire que son chemin lui prit plus de temps que prévu car il s’arrêta souvent au passage pour aider des gens en route. Il est comme ça Hector : il avait beau courir après le temps, il trouvait toujours le temps d’aider son prochain. Lorsqu’il arriva finalement à Jérusalem, il avait fraternisés avec différents groupes armées et fut accueilli dans la ville, pourtant déchirée par le conflit, avec respect. Par contre, simplement être à Jérusalem ne lui permit pas de retrouver Maya, surtout que cette dernière n’était pas stationnaire, se déplaçant parfois à Gaya et en d’autres lieux.

Hector perdit deux ans en Palestine/Israël, cherchant pour sa femme, utilisant aussi de son temps pour aider les gens autour de lui. À Jérusalem, on l’appelait L’Étranger, et c’était lui qu’on devait aller voir lorsqu’un problème survenait entre un juif et un arabe. Il agissait comme intermédiaire dans le conflit, comme un tiers-parti qui n’hésitait pas à remettre les gens à leur place lorsqu’ils étaient dans l’erreur, parfois d’un bon coup de poing au visage. Mais malgré tout, Hector ne comprenait pas grand-chose à la politique, et lorsque l’on réussit à le convaincre de joindre le front de libération palestinien, il le fit sans hésiter. Facile de convaincre un américain en lui parlant de « liberté ».

Maya pour sa part, ayant fait de nombreux voyages entre les pays arabes et l’Égypte, retourna finalement à Jérusalem où la rumeur de « L’Étranger qui cherche sa femme » vint à ses oreilles. Malheureusement pour elle, Hector fut alors inatteignable pour la petite femme de politique qu’elle était… Hector Stone était devenu un activiste de la guerre Israélo-arabe de 1950, à l’âge de 35 ans.

Mais une tierce personne réussie, en 1951, à rapprocher Maya et Hector. Son nom est Mohammed Naguib [Vrai personnage historique]. Alors que la révolution semblait aussi aux portes de l’Égypte, dans le but de renverser le roi Farouk, Maya est de retour dans son pays natal pour en apprendre plus sur la population. Elle rencontre Mohammed Naguib, leader de la révolution, qui tombe légèrement amoureux d’elle. Elle le rejette en lui parlant d’Hector. Touché par son histoire, il lui explique qu’il a entendu parler de « L’Étranger de Jérusalem », et qu’il pense être capable de les réunir. Rassemblant une petite troupe, il partit en direction de la Palestine (Un territoire allié, car arabe aussi) dans le but de trouver Hector.

Ce qu’il réussit sans trop de difficulté, Stone étant assez populaire dans la fraternité musulmane. Par contre, en le rencontrant, Mohammed se rend compte qu’il est exactement le genre d’homme dont il a besoin. En Égypte, les idéaux de Naguib étaient écouter, mais la population refusait de se lever massivement pour démontrer leur appui. Un être qui sait toucher le cœur des hommes comme Hector était exactement ce qu’il lui fallait. Non pas pour faire des discours ou de la politique, mais pour rassembler les gens. Il lui offre donc de le rejoindre pour la liberté Égyptienne. Il n’est d’abord pas très content de partir alors qu’il n’a pas encore régler le problème Israélo-arabe, mais à la mention de Maya, il accepte finalement sans problème.

Ainsi donc, à l’âge de 37 ans, ses efforts mènent finalement à la révolution égyptienne de 1952, et à son retour dans les bras de Maya.

Finalement, ils étaient ensembles.


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Hector Stone reprit place sur le haut banc du bar, qui semblait fait pour un enfant face à la taille sidérante du boxeur. Il se recommanda un verre d’eau. Le barman le regarda, sidéré par son calme et sa demande. Non pas parce qu’il est étrange que de commander de l’eau dans un bar d’une ville où la moitié des habitant ne boives pas d’alcool, mais parce qu’Hector vient tout juste de mettre un autre homme knock-out d’un seul revers de sa main droite, renversant aussi par accident son verre d’eau au même moment. Voyant que son acte violent vient de briser l’ambiance du pub, Hector se retourne vers le reste de la salle et grogne :

-Que quelqu’un l’aide, sinon il va s’étouffer avec son sang.

À ses paroles, deux jeunes arabes, nerveux, viennent soulever l’homme du sol, le sang coulant de son nez, et le transporte à l’extérieur. Alors que leurs silhouettes disparaissent à l’encadrement de la porte, et dans la lumière du soleil couchant, une autre plus imposante passe par l’ouverture. Le nouveau venu avance lentement, un sourire au visage. Il est vieux et son visage cicatrisé crie la fatigue, et pourtant, il va s’asseoir à côté d’Hector, se commandant une bière du même moment.

-Et bien Hector, tu n’es pas heureux de me voir? Quelques salutations pour ton oncle Joestar qui vient de traverser la moitié de la planète pour voir son neveu?

L’ancien boxeur grogna quelque chose et bu son verre d’eau d’une traite.

-Ou bien heureux d’avoir finalement retrouver Maya? De ton mariage dans quelques jours?
-Oui da’, tout à fait heureux…

Le ton sarcastique ne passe pas inaperçu pour le nouveau venu. Il jugea Hector un moment. Que ce passait-il avec lui? Maya était toute sa vie! Il restait là, sa grosse mâchoire fermé en une grimace et le regard froncé, en colère. Pour être honnête, Hector avait ce visage sur la figure 99% du temps, froid et inapprochable. Mais Joestar connaissait son neveu mieux que quiconque. Hector était un homme constamment insatisfait, en colère et d’humeur maussade, possédant en lui une rage meurtrière garder sous un contrôle quasi parfait par son sens des valeurs et de sa morale de fer. Mais malgré tout, Joestar pouvait voir lorsque ses yeux s’embrumaient de tristesse et que les chaines gardant les flammes de sa fureur en laisse s’affaiblissaient.

-Putain, s’passe quoi gamin? Et pourquoi tu traine encore dans les bars si tu ne bois rien?
-J’aime l’ambiance, ça me permet de réfléchir… Enfin, quand y’a pas un type qui vient me gueuler des trucs à l’oreille, mais j’ai gérer la situation.
-Réfléchir à quoi?
-[Silence] Maya. Elle va mourir Joe. Ma Maya va mourir et il n’y a rien que je peux faire.

Joestar eut un moment de recul. Il savait qu’il avait devant ses yeux un moment important, certain diraient, historique. Il se trouvait devant un être tel que tout homme au monde aspirerait à devenir. Un homme incroyablement fort et droit. Et pourtant voilà, l’invincible, le puissant Hector, réduit pour la première fois à l’impuissance. Aucun muscle, aucun mot, aucun geste de sa part ne peut régler le problème, le seul problème qu’il désirerait plus que tout au monde régler. Sa seule demande légèrement égoïste envers Dieu, sans réponse du ciel. Joestar le regarda, alors que ce dernier fuyait son regard, la gorge serrée :

-Tout les médecins sont d’accords. C’est un cancer, et ils ne savent pas quoi faire. Ils ne savent même pas comme retarder l’inévitable. Elle va mourir dans 2 mois Joe. Ils disent qu’ils ne possèdent pas la technologie nécessaire pour l’opérer mais… Merde, ça me trou le cul!
-Quoi, quoi d’autre?
-Ce médecin qui est venu d’Angleterre. Il dit que son équipe travail sur cette maladie en particulier, et qu’ils prévoient avoir un remède d’ici 1 ou 2 ans dans le meilleur des mondes… 1 ou 2 ans Joe… Un ou deux ans!
-J’ai entendu gamin.
-On n’a pas deux ans… Si seulement j’avais plus de temps. Si seulement je pouvais faire quelque chose!

C’est alors que Joestar se releva de son banc. Dans ses yeux brillait une lueur nouvelle. Il regarda avec sérieux son neveu, se rappelant un homme étrange qui était venu le voir alors qu’il était tombé malade, quelque peu avant la seconde guerre mondiale :

-Il existe peut-être… Un moyen.


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En 1954, à 39, Hector fais le saut vers Pallatine.

Il passe un an dans l’Institut, comme tout le monde, mais refusant de rejoindre un camp ou un autre. Il n’est ici que pour retourner dans le passé avec un moyen de sauver sa femme. Il ne comprend presque rien aux cours et encore moins les technologies, mais malgré tout, son assurance, son passé de soldat et de gangster, sa détermination et sa force physique ont de quoi séduire les différentes diasporas.

C’est pourtant en Indépendant qu’il quitte l’Institut.

Et que son histoire commence.
« Je reviendrais Maya, même si je dois y passer toute ma vie, je te sauverais. »