Mar 9 Aoû 2016 - 21:55
Seung Joo
#bromance n°2Que peut bien faire un petit Seung Joo quand il s’ennuie ?
La réponse est simple : se tourner vers celui qui saura toujours le divertir, quelques soient les circonstances.
Ce n’est pas souvent que le Coréen se rend sur le lieu de travail de son renard préféré. Ils ont tendance à se rencontrer à l’extérieur, dans un endroit libre de toutes entraves où ils pourront se battre tranquillement. Knut n’accepterait jamais de se battre dans son bazar, et Seung Joo le respecte assez pour ne pas aller à l’encontre de ce désir. Aussi parce que cela l’arrange : il ne voudrait pas se battre dans son casino, après tout. Par conséquent, il évite toujours les confrontations physiques. Ce qui ne l’empêche nullement de l’attaquer verbalement, notez-le bien.
Et une idée traverse l’esprit de Seung Joo alors qu’il pénètre dans la boutique. Il sait exactement que faire pour embêter Knut. Alors, il le fait, profitant du fait qu’il n’y ait client ni vendeur.
Au bout de quelques minutes, Seung Joo s’assoit sur le comptoir, avec des allures de propriétaire – d’une certaine manière, ce qui est à sa princesse est à lui, et inversement (à part la fameuse peluche rose que lui disputait Naga, n’exagérons pas). Aujourd’hui, il est habillé de façon très sobre, mais élégante : chemise blanche, pantalon noir, et un délicat bandage blanc lui recouvrant l’œil. Il pourrait presque passer inaperçu, et la première personne à rentrer dans le bazar sursaute en le voyant. Le croupier lui adresse un sourire doux, avant de dire :
« On devrait peut-être appeler le gérant. »
Knut finit par débarquer, et Seung Joo le regarde avec insistance, l’air de dire méfie-toi, j’ai quelque mauvais plan dans la manche. Le norvégien doit cependant s’occuper du client, ce qui laisse tout le temps à Seung Joo de vérifier discrètement, une dernière fois, que tout est en place. Quelques regards du coin de l’œil l’assurent de l’impossibilité de deviner quoique ce soit rien qu’en regardant. Et, une fois que le client sort, Seung Joo lance d’un ton malicieux à son ami :
« Allez, devine. »
La réponse est simple : se tourner vers celui qui saura toujours le divertir, quelques soient les circonstances.
Ce n’est pas souvent que le Coréen se rend sur le lieu de travail de son renard préféré. Ils ont tendance à se rencontrer à l’extérieur, dans un endroit libre de toutes entraves où ils pourront se battre tranquillement. Knut n’accepterait jamais de se battre dans son bazar, et Seung Joo le respecte assez pour ne pas aller à l’encontre de ce désir. Aussi parce que cela l’arrange : il ne voudrait pas se battre dans son casino, après tout. Par conséquent, il évite toujours les confrontations physiques. Ce qui ne l’empêche nullement de l’attaquer verbalement, notez-le bien.
Et une idée traverse l’esprit de Seung Joo alors qu’il pénètre dans la boutique. Il sait exactement que faire pour embêter Knut. Alors, il le fait, profitant du fait qu’il n’y ait client ni vendeur.
Au bout de quelques minutes, Seung Joo s’assoit sur le comptoir, avec des allures de propriétaire – d’une certaine manière, ce qui est à sa princesse est à lui, et inversement (à part la fameuse peluche rose que lui disputait Naga, n’exagérons pas). Aujourd’hui, il est habillé de façon très sobre, mais élégante : chemise blanche, pantalon noir, et un délicat bandage blanc lui recouvrant l’œil. Il pourrait presque passer inaperçu, et la première personne à rentrer dans le bazar sursaute en le voyant. Le croupier lui adresse un sourire doux, avant de dire :
« On devrait peut-être appeler le gérant. »
Knut finit par débarquer, et Seung Joo le regarde avec insistance, l’air de dire méfie-toi, j’ai quelque mauvais plan dans la manche. Le norvégien doit cependant s’occuper du client, ce qui laisse tout le temps à Seung Joo de vérifier discrètement, une dernière fois, que tout est en place. Quelques regards du coin de l’œil l’assurent de l’impossibilité de deviner quoique ce soit rien qu’en regardant. Et, une fois que le client sort, Seung Joo lance d’un ton malicieux à son ami :
« Allez, devine. »