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Intrigue 3 : Iwasaki-rengô

Lun 10 Avr 2017 - 19:09

Intrigue 3 - Iwasaki-rengô

Participants : Ban Ozawa, Etsuko Abe, Issei Yoshigahara, Namaiki Ikazuchi

Voilà plusieurs mois que l'Iwasaki-rengô est au fond du gouffre - le groupe est officiellement la diaspora la moins puissante, et la tendance a du mal à se renverser. Si les yakuzas ont pu récupérer leur chef, malheureusement, les attaques lancées contre divers quartiers ont augmenté le nombre de leurs ennemis et les échecs subis lors de ces offensives n'a fait que les affaiblir davantage. Aujourd'hui, le groupe va mieux, mais il reste encore fragile, ce qui est dangereux, puisque leurs ennemis jurés, les gangsters, espèrent toujours les détruire.
Mais l'annonce postée sur chronosrep.net est une aubaine pour les yakuzas : l'occasion de revenir sur le devant de la scène s'est enfin présentée ! Tout ce qu'il leur faut, c'est confirmer cette rumeur et ainsi s'imposer (à nouveau) comme une diaspora fiable et solide.
De fait, lorsque certains membres de la confédération sont invités à se rendre au musée de Saint-Juré, ils ne font pas les difficiles, et ils y vont. Ils se retrouvent près d'une sortie de service peu gardée où l'accès au musée semble encore possible - mais pour l'heure, ils n'osent pas encore entrer, car leur mystérieux informateur ne s'est pas encore présenté...

Fonctionnement
• Pour votre premier message dans le sujet, vous devez simplement raconter l'arrivée de votre personnage au lieu de rendez-vous.
• Ensuite, à chaque tour, le PNJ vous donnera trois choix. Trois possibilités d'action. Vous devrez en choisir une et l'illustrer inrp. Lorsque tous les participants auront répondu, les trois propositions suivantes vous seront données, et ainsi de suite.
• Bien entendu, vous êtes libres d'interpréter comme vous le souhaitez les propositions qui vous sont faites.
• Arrangez-vous entre vous si vous voulez un ordre de passage ou pas, nous, on ne s'en occupera pas.
• Si vous n'avez pas beaucoup de temps, afin d'éviter de bloquer le sujet, évitez d'écrire trop, ou prévenez si vous ne pouvez pas répondre.
• Si le sujet reste bloqué trop longtemps à cause de quelqu'un, le PNJ vous redonnera trois questions. Vous pourrez considérer que la personne qui ne répond pas vous suit docilement (mais rien de plus).

Mar 11 Avr 2017 - 22:07
Intrigue #3
ft. Ban & Etsuko & Namaiki
Un léger haussement de sourcil - imperceptible.
Le mépris, le dédain l'envahi. Prend un simple instant pour dévorer ses entrailles. 'Ce sont tes organes que nous prélèverons la prochaine fois'... ? Le ridicule même de cette prétention le ferait rire. Ce n'est pas comme si son occupation était un secret au sein de la diaspora: tente-t-on de l'intimider par ce savoir? Toute cette tentative lui semble absolument ridicule. Oh, et pourtant, il s'y rendra, à ce lieu de rendez-vous. Il le doit. Il en va de la puissance de sa diaspora, du retour sur scène de leur confédération. Il ne saurait souffrir qu'ils ne retrouvent pas leur puissance d'antan. Et ce n'est pas parce qu'il suivra les informations de cette source anonyme qu'il abandonne pour autant la prudence: c'est dans cet optique qu'il s'arme d'un couteau aiguisé et - surtout - qu'il se procure une arme un peu plus utile.

Rangé dans un coffre-fort, dans son appartement, Issei possède - et ce, depuis avant même d'arriver à Pallatine - un Smith & Wesson Model 60. Entretenue avec tout le perfectionnisme et l'application dont il fait preuve en toute chose, l'arme est toujours en excellente condition, et, face à des tests réguliers, fonctionne encore parfaitement. C'est pourquoi Issei s'assure qu'elle est chargée, avant de la glisser à sa ceinture. Il emmène également un surplus de quinze balles, soit trois chargements supplémentaires, avant de se diriger vers le lieu de rendez-vous fixé par l'inconnu.

Le lieu de rendez-vous est totalement calme, voire isolé. Y plane une étrange ambiance, une lourdeur, un silence qui semble presque anormal. Comme si l'appréhension générale couvrait les murs, dégoulinante. Issei contente de se tenir droit, dos au mur, les bras croisés sur sa poitrine. Ce fameux informateur finira bien par montrer son visage.
Mer 12 Avr 2017 - 12:14
Tu as toujours détestée les surprises. ne pas savoir à quelle sauce tu allais être mangés te faisait peur, et la peur te rendait prompte à la violence. Mécanisme archaïque de défense primaire, tu préférais attaquer la premier, viser la jugulaire et éliminer la menace avant qu'elle n'attente à tes jours.

Ou à ceux de Yuuta.

Car c'était bien pour lui que tu étais venue. Pour lui, tu t'es équipée de pied en cape comme à l'ancien temps, celui des débuts balbutiant de l'Iwasaki tel qu'on le connait aujourd'hui, période où tout était instable et la mort si facile à donner ou recevoir, comme un souffle de vent, tempête en approche. Le gilet pare-balle te rappelle ces souvenirs, collant à ton corps comme une seconde peau. Vêtue de noir des pieds à la tête, chaussée de tes fidèles rangers, tu es prête à en découdre avec ton ennemi.

Prête à la guerre.

Deux pistolets semi-automatiques, un couteau de chasse cranté, un set de lames à lancer, une grenade flash et une bombe lacrymogène. Sobre, efficace, facile à transporter. En te jetant un dernier regard dans la glace avant de partir de chez toi, tu avais été étonnée de te trouver presque joyeuse. Le rouge aux joues montrait ton excitation, tout comme l'éclat de tes yeux noirs (pas de lentilles de couleur ce soir, ni les jours d'opérations) ne mentaient pas quant à ton envie d'enfin passer à l'action. Rendre le coup fait à ton clan lorsque les Opportunistes avaient capturé l'Oyabun.

Tu te déplaces rapidement jusqu'au point de rendez-vous, te fondant dans les ténèbres de Pallatine. Tu savoures la liberté de tes mouvements, ta foulée silencieuse lorsque tu décides de courir juste pour le plaisir, le vent fouettant ton visage. Ca t'avait manqué. Tu avais réclamé à chacun de limiter vos opérations en cours, ainsi que le moindre déplacement superflu. Tu avais préféré à la tactique de l'attaque frontale la prudence et le profil bas, afin d'avoir suffisamment de temps pour réfléchir à un meilleur plan.

Sauf qu'on t'avait pris de court.

Encore une fois.

Fait chier.

Tu entends le bruit d'un pas alors que tu débarques à l'entrée du musée. Tu hésites, une main prête à dégainer ton pistolet. Heureusement, les nuages décident enfin de se lever, le clair de lune découvrant le profil bien connu d'Issei Yoshigahara.

Tu t'approches de lui, prenant soin de ne faire aucun geste agressif pouvant porter à confusion. Qui sait? Si toi tu es armées jusqu'aux dents - ou peu s'en faut - il ne doit pas être en reste.

"Bonsoir, Issei-san. Je ne pensais pas te trouver ici."

Tu te permets de le tutoyer, vous savant pour l'instant seuls. Nul doute que la donne changera si votre mystérieux corbeau fait son apparition. Qu'il se hâte. Tu n'as qu'une envie : lui plomber les ailes.
Jeu 13 Avr 2017 - 1:45
INTRIGUE

Savoir... Finalement beaucoup savent, devinent... J'ai baissé ma garde, car je connais chacun de ceux qui se doutent. Je surveillais de loin leurs lèvres et les voir se taire me donnait l'impression que le danger n'existait pas. Pourtant la preuve en est : je suis encore trop naïf. Ce moment devait arriver, mais pas si vite. Je n'ai encore rien fait, à qui cela pourrait importer que je sois un vrai petit con ? Je n'ai pas trahit. Pas encore...

Alors la menace résonne un peu dans le vide, mais me crispe malgré tout. Voudrait-on m'acheter ? Cette histoire sent le caprice, le chantage bien ficelé. Il faut se méfier, même si cela peut paraître ridicule... Heureusement que j'ai passé un coup d'œil sur ce compte que je délaisse complètement.  Je découvre ce rendez-vous un jour avant la date choisie... C'est juste. Juste pour se préparer... Se préparer à quoi ? "Tu ne sais pas qui je suis" ? Pourtant je pourrais facilement m'en faire une idée... Les surprises ne sont pas ce que je préfère.

La nuit, je ne dors pas, je pense, je me demande : lequel d'entre eux ? Et que devrais-je faire ? Riposter par la force ?... Non, ce secret est important, mais pas vital : il devait se révéler un jour ou l'autre. Si l'offre qu'on me fait me déplaît, je sacrifie cette partie de moi. Tant pis. Mais peut-être que le deal sera intéressant ?... A moins qu'on ne veuille me tuer ? Ce serait marrant, mais je ne suis pas si important que ça.

Il n'empêche que le lendemain, les yeux cernés par le manque de sommeil, je me prépare consciencieusement, avec la ferme intention de ne pas être à l'heure. Y allé, c'est déjà avouer. C'est risqué, mais l'excitation prend les devant, me guide, ou plutôt me donne l'élan suffisant pour que je me rue jusqu'au lieu de rendez-vous avec un entrain si particulier... léger de pouvoir être ce que je cache. Libéré du jeu... Le sourire des accusations, de connaitre le visage de celui qui se croit le plus malin... Mais déjà je vois son regard se dessiner dans mon esprit. C'est si clair que je ne doute pas de son identité. Ça me fait crisper les mâchoires, briller les yeux et hurler à l'intérieur. C'est rageant et grisant à la fois. J'arrive.

Je coure et le lieu est si proche. Si sombre...
J'arrive et distingue deux silhouettes... Déjà je ralentis le pas, réellement surpris. Hésitant à présent. Mais assez proche, je les reconnais et ne m'en trouve que davantage ébranlé. Le cœur saute dans ma poitrine quand je la vois. Car c'est évidemment elle qui attire le regard la première. Je m'arrête, je souffle court. Le regard effaré. Elle sait ? Ce n'est pas possible ! C'est vers lui que se tourne ensuite mon attention. Évidemment. Je le savais. Je le savais ! Il n'y avait que lui. Mes poings se crispent. Alors il lui a dit ? Comme sa gronde vite et fort en moi... C'est incontrôlable, pourtant je me retiens. Peut-être n'a-t-il encore rien dit... Je dois rester prudent, mais maintenant je sais.

Je reprends ma course vers eux et leur faisant de grands signes pour ne pas apparaitre menaçant ou être confondu avec quelconque ennemi.

« ETUSKO-SAMA ! ISSEI-SAN ! »

C'est ma voix cristalline qui les appelle, même si je ne sais pas si cela vaut encore la peine de jouer...

« Que faites-vous ici ? Tout va bien ? »

Car malgré la pénombre, je vois clairement le sérieux, la tension qui les noue tout les deux. Pourtant ils semblent presque surpris de me trouver là...

© ASHLING POUR EPICODE + KOLL


Jeu 13 Avr 2017 - 13:32
Les muscles de son visage étaient fatigués d'être en rogne, fatigués de maintenir ce pli de mécontantement entre ses yeux, fatigués de serrer les dents à se les éclater, fatigués de ces méninges bruyant juste à côté qui brassaient un mélange déplaisant de rélexion et d'inquiétude. Mais l'Inugami ne fit rien contre, pas pour l'instant, et garda le regard baissé sur son écran.

La menace était aussi hideuse qu'incertaine pourtant, un grognement de son esprit lui intimait un sous-entendu macabre et Ban n'aimait pas ça. Mettre sa vie en jeu s'était son job et pas celui de ses supérieurs, la diaspora avancait déjà clopin-clopant alors il n'était pas question qu'on lui en brise un membre.

Alors elle joua la carte de la sureté, joignant à son habituel holster d'épaule un tantõ à sa ceinture et une lame en backup au mollet. Une veste pour cacher à autruit ses atouts et elle était partie.

En ce rendant à Saint-Juré, l'impassibilité avait prit place confortablement sur son visage, virant d'un coup de pied sa colère qui n'avait plus que les yeux glacés de la dame pour s'exprimer. Elle était passé par les petites rues, privilégiant la discrétion jusqu'à l'arrière du musée, une notion visiblement inconnue au gamin Ikazuchi.
Il lui était passé sous le nez alors même qu'elle s'engageait dans la fameuse rue, courant et parlant un poil trop fort, pour ne par dire beugler. Elle avait levé les yeux en soupirant, premier réflexe avant de réellement assimiler ce qu'elle avait sous les yeux.

Et ça ne lui plut pas du tout, la menance se faisant plus distincte maintenant qu'elle découvrait Etsuko Abe et Issei Yoshigahara, sa Wakagashira et l'un de ses-

Son patron. Elle jura.

Ce rendez-vous avec Monsieur Anonyme prenait une toute autre tournure, avaient-ils tous reçu une charmente invitation du même genre ? Plus alerte, elle rejoignit lentement le petit groupe tout en scutant les enrivons. Juste derrière Namaiki, elle glissa un « Ils sont la pour admirer l'oeuvre d'art que sera ton cadavre si tu continues à être aussi buyant. » pour lui annoncer sa présence, puis salua les plus âgés comme il se devait. Elle évita cependant le regard de Issei.

« J'imagine qu'il ne s'est pas encore pointé ? » une question déguisée, histoire de vérifié le pourquoi de la présence de tout le monde, même si elle préférerait qu'on lui dise qu'elle se gourre, que ce n'était qu'un rendez-vous secret entre Issei et Etsuko, amant de l'ombre et que Namaiki est en réalité leur fils caché. Urg, trop bizarre.
Jeu 13 Avr 2017 - 19:46

Intrigue 3 - Iwasaki-rengô

Participants : Ban Ozawa, Etsuko Abe, Issei Yoshigahara, Namaiki Ikazuchi

Les personnes que l'informateur avaient invitées s'étaient rendues au lieu de rendez-vous comme prévu - et bien entendu lourdement armées. Est-ce pour cette raison que l'informateur préféra ne pas se montrer ? Sans doute.
L'un des yakuzas (le premier qui postera) repéra alors une enveloppe, disposée sous la porte de service. Il la récupéra et lut ce qui était inscrit :

Mes chers invités,
je vous remercie d'avoir répondu à mon appel. Comme vous le savez, c'est dans ce bâtiment que votre oyabun a été retenu prisonnier par la diaspora opportuniste. Mais il n'était pas le seul à être retenu par eux. Vous voyez où je veux en venir...
Si vous voulez comprendre ce qui s'est passé, comprendre pourquoi votre oyabun et les autres ont été enlevés, il va vous falloir entrer dans le musée.
Attention, les raisons ne seront pas forcément celles que vous croyez.
Je vous aiderai à entrer dans le bâtiment, mais je ne peux pas vous guider. Je vous ai laissé en revanche une série d'instructions, cachées un peu partout sur votre chemin. Attention à ne pas en manquer une, vous risqueriez de vous perdre en route.
En vous souhaitant bonne chance.
Les yakuzas comprirent alors que pour avancer dans le musée, il leur faudrait trouver les instructions que leur informateur avait laissées pour eux.
Mais au fait... comment allaient-ils entrer ?

Vous pouvez :
A. Forcer la porte pour tenter d'entrer.
B. Regarder autour de vous pour voir si votre informateur n'a pas caché une clé quelque part.
C. Vérifier si les caméras de vidéo-surveillance sont actives.
D. Partir.
Les choix sont individuels, chacun est donc libre de faire différemment des autres. Si vous choisissez l'option C, sachez que les caméras extérieures sont désactivées.

Ven 14 Avr 2017 - 1:50
Intrigue #3
ft. Ban & Etsuko & Namaiki
Il observe la silhouette s'approchant lentement de lui, le clair de lune révélant à ses pupilles le visage de Abe Etsuko. Il délie ses muscles et relaxe légèrement ses épaules face à sa présence: il est clair, de par son intelligence et sa compétence générale, qu'elle ne pourrait pas être celle qui a créé une menace si risible à son encontre, et de toute manière, s'il y a bien quelqu'un à qui faire une confiance totale chez les Iwasaki, c'est bien elle. Wakagashira, elle a beaucoup plus à perdre en allant à l'encontre de la diaspora qu'en y restant loyale - loyauté qui, de toute manière, n'est absolument pas à remettre en doute.
« Bonsoir. De même pour moi, Etsuko-sama. »
Il incline légèrement la tête. Pourtant ne tente pas de continuer quelconque conversation - clairement, ils sont tous les deux ici pour la même chose. A-t-elle reçu une menace mieux construite, ou fait-elle ici simplement un excès de zèle tel est son cas? La question demeurera sans réponse, du moins pour l'instant, alors que débarque dans son insolence la plus bruyante Ikazuchi Namaiki, s'écriant à pleins poumons, découvrant ici sa propre présence, mais aussi celle de ses supérieurs. Est-il stupide, en plus d'être déloyal, ou est-il de mèche avec cet informateur? Il lui faudrait des ressources auxquelles il n'a certainement pas accès, pour amener ici la Wakagashira. Plus le temps passe, plus les questions se multiplient, sans jamais qu'on y apporte quelconque réponse.

Cela a le don d'irriter Issei. Il conserve, néanmoins, cet air totalement neutre; se place, range son langage corporel de façon à être aux côtés de Abe Etsuko, s'offrant, silencieusement, comme personne sur qui elle peut compter, en cet instant comme en tout autre. La pointe de Ozawa Ban lui arrache, intérieurement, un léger sourire, mais il se contente de sa froideur habituelle. Oh, peut-être saura-t-elle se prouver utile, cette fois-ci. Il n'a pas nécessairement confiance en elle, mais ne rejette pas totalement ses capacités non plus. À sa question, il se contente de secouer la tête lentement. Ainsi, elle est ici pour la même raison que lui - qu'eux, à priori.

Observant les alentours, Issei remarque, du coin de l’œil, une tache blanche sur ce fond d'asphalte. Lentement, il se dirige vers la porte et ramasse l'enveloppe. Il l'ouvre, puis en lit le contenu à voix haute.

La colère bouillonne, doucement, au fond de son estomac - il conserve, pourtant, cet air, cette position calme, posée. Il ne saurait montrer quelconque faiblesse - quelconque sentiment - en cet instant. Une chasse au trésor? Mais pour qui cet informateur les prend-t-il? Est-ce une sorte de blague d'un mauvais goût flagrant, de laquelle le responsable, une fois trouvé, paiera son insolence? Sont-ils surveillés? Issei s'applique, par soucis de prudence, par dédain, par colère, à vérifier si les caméras de surveillance sont en marche. Leur immobilité et leur noirceur indique que non.
« Les caméras sont éteintes. »
Est-ce qu'on se fout de leur gueule? C'est cela, ou leur informateur est beaucoup plus puissant qu'anticipé. La question plane dans l'air.


Issei choisi l'option C
Ven 14 Avr 2017 - 23:20
Te retrouver entourée d'autant de personnes ne faisait certainement pas partie de tes plans. Tu t'attendais à un face-à-face, un jeu à deux ou à plusieurs, mais où tu aurais été la seule participante de ton côté. Tu ne te plains pas pour autant de la compagnie d'Issei, Namaiki, ni de celle de Ban. De tous, c'est celle que tu es la plus surprise de retrouver en ces lieux. Tu ne crois pas qu'aucun d'entre eux soit le mystérieux corbeau t'ayant adressé ce curieux message sur ton profil. Aucun n'aurait eu le culot ni l'audace nécessaire pour oser pareille manoeuvre. Pourtant, des doutes s'imposent. Tu détestes cette méfiance naissant dans ton coeur, l'empoisonnant. Tu te dépêches de la chasser avant qu'elle ne gagne plus de terrain.

"Tu es toujours en forme à ce que je vois, Namaiki-kun."

Tu souris à la bonne humeur feinte, peut-être, de la pile électrique qu'est le jeune homme. Votre lien de longue durée et sa relative jeunesse te permet une telle familiarité sans pour autant tomber dans le vulgaire. En revanche, aucun mot pour Ban. A peine la salues-tu d'un discret signe de tête. Elle est sous les ordres directs d'Issei après tout, et tu ne veux pas empiéter sur le terrain de ton ami et confident, ni spoiler son autorité en traitant l'adolescente comme l'élève attentive qu'elle était lorsque vous étiez seules.

En repensant à la composition de votre groupe, tu te dis que tu n'aurais pas pu mieux tomber : ton confident et tes deux poulains. Tu ne peux vraiment pas te plaindre.

La voix d'Issei indique qu'il semble prendre les commandes. Tu es encore pensive quant à la seconde missive de votre corbeau, pesant le poids de chacun de ses mots dans le creux de ta paume. Il semble attendre autre chose de vous qu'un simple jeu de pouvoir. Qu'avez-vous découvert de si important pour qu'il prenne le risque d'organiser tout cela? Au vu de ses méthodes, tu supposes qu'il est quelqu'un d'extrêmement bien placé et/ou informé. Quelqu'un qui est ligoté, aussi, et qui attend que vous révéliez une vérité cachée, à moins qu'il souhaiterait prendre connaissance de votre savoir supposé et juger ensuite si oui ou non vous représentiez une menace;

"Et si nous faisions le tour du bâtiment pour voir si d'autres missives ne seraient pas dissimuler quelque part?"

Tu ne veux pas dévoiler ta peur viscérale d'entrer dans ce lieux, prison de l'Oyabun, et revivre une fois de plus les tristes évènements se rattachant à ce souvenir. Tu crains que l'histoire ne se répète, que les portes du musée, une fois ouvertes, se referment à tout jamais, scellant votre destin en même temps que l'espoir de revoir un jour le soleil.
Sam 15 Avr 2017 - 0:19
INTRIGUE

L'arrivée de BAN dans mon dos et sa voix sèche me laissa des sueurs froides.

Je sais bien que j'ai agis comme un imbécile, comme l'être naïf que je dois être, trop stressé pour penser calmement. Ses premières paroles me firent croire que le masque était tombé, définitivement, mais la suite me rassura, décoinçant mes membres du trouble et de la nervosité qui s'emparait de moi. Alors ils ne savent pas... Alors tout va bien.

Ce n'est pas une coïncidence qui ne rassemble, mais pas les mêmes motifs pour autant. Le maître corbeau serait le même pour chacun d'entre nous ? J'en viens à me demander ce qui peut pousser ISSEI à se montrer à ce genre de rendez-vous... Aurait-il un point faible ? Mon œil brille, ce serait l'occasion de scruter ses failles, de me mettre à sa hauteur... Découvrir ce qu'il cache, lui aussi. Pourtant il reste calme, fidèle à lui même.

« Tu es toujours en forme à ce que je vois, NAMAIKI-KUN. »

C'est la voix d'ETSUKO qui me sors de mes pensées. Alors le doute disparait : elle ne sait pas. J'imaginerai presque un petit sourire sur ses lèvres, mais la pénombre voile son visage et ses craintes. Je me demande alors quel sombre secret provoque sa présence, tout autant que pour BAN. Nous avons tous des faiblesses...

« Pardonnez-moi... Cette histoire de rendez-vous me rend nerveux, je ne réfléchis pas bien... Vous avez été menacés aussi... »


Sur quels motifs ? Je ne demande pas, car je sais qu'on ne me répondra pas autant que je tairais moi-même mes raisons... Mais mes lèvres se crispent pour retenir ma langue. NAMAIKI est un gamin qui a la langue qui coure, mais sait où l'arrêter malgré tout. Je baisse les tête, honteux, pour reprendre mon sérieux, désolé pour sa bienfaitrice, mais aussi agacé, car s'en prendre à ETSUKO n'est pas acceptable. Je lui fais comprendre sans rien dire, en ne regardant qu'elle. Car à mes yeux ISSEI n'existe pas et BAN n'a pas besoin de moi. Je peux sentir un léger trouble émanant de cette merveilleuse femme... Je voudrais la réconforter, mais garde une distance respectueuse, ne disant rien, dévoilant à peine ma bienveillance.

ISSEI prend les rennes en se déplaçant le premier, dévoilant finalement le second message de notre corbeau... Bien différent du premier, au point que je doute qu'il s'agisse de la même personne... Des menaces pour nous attirer et nous aider ? Ça n'a pas de sens... Le nom de l'OYABUN et la volonté de nous "aider" suffisent pour lever les troupes d'IWASAKI-RENGO, cela aurait même été plus efficace... Que veux faire ce messager de nos secrets ? N'était-ce qu'un artifice pour nous élancer dans le jeu avec la méfiance nécessaire ?... "Les raisons ne sont pas forcément ce que vous croyez..." ?

« Il se fiche complètement de nous... »



Je murmure entre mes dents. En moi l'idée germe qu'on ne les aurait pas forcément kidnapper.... N'importe quoi.

« Les caméras sont éteintes. »

Quoi ? Je lâcherais presque un gloussement, épaté par la tournure des évènements. C'est n'importe quoi... Mais en même temps, ça prouve que notre hôte a les moyens... Et qu'il existe réellement. Je soupire en m'approchant de l'entrée, faite de vitre en verre, fermée. Je plaque doucement ma main sur la vitre en essayant de discerner l'intérieur, s'il y a des gardes...?

« Et si nous faisions le tour du bâtiment pour voir si d'autres missives ne seraient pas dissimuler quelque part ? »

Je m'écarte de l'entrée en hochant la tête. Je suis concentré, dévoilant le sérieux que je peux offrir lorsque je suis en "mission". Ce genre d'attitude que je n'offre pas à voir tout le temps.

« Je suis d'accord avec vous, ETSUKO-SAMA. Prenons cette chasse au trésor au sérieux... »


Dis-je en levant le pas dans l'idée de faire le tour de l'établissement vers la droite en jetant des coups d'œil dans chaque recoin.

« Je vais par-là, l'un d'entre nous devrait aller de l'autre côté, non ? Même si se séparer n'est jamais une très bonne idée... »

© ASHLING POUR EPICODE + KOLL


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Ven 28 Avr 2017 - 19:29

Intrigue 3 - Iwasaki-rengô

Participants : Ban Ozawa, Etsuko Abe, Issei Yoshigahara, Namaiki Ikazuchi

Les yakuzas, après avoir constaté que les caméras étaient éteintes, décidèrent d'explorer les environs, à la recherche d'une missive, ou d'un indice quelconque pour entrer. Leur prudence devrait être récompensée, puisqu'à même pas dix pas d'Etsuko, pendu à un doigt d'une statue moderne, se trouvait un trousseau de clés. Les clés pour entrer dans le musée ? Peut-être bien.
Attendez une minute... du côté de Namaiki, une carte d'accès plastifiée est pincée par les doigts d'une statue de style antique. Il est évident que les deux objets doivent être utilisés pour ouvrir la porte, mais dans quel sens ?

Vous pouvez
A. Utiliser d'abord les clés, puis la carte d'accès.
B. Utiliser d'abord la carte d'accès, puis les clés.
C. Forcer la porte.
Pour ce tour ici, une fois que l'un d'entre vous a choisi la réponse A ou B, le PNJ interviendra pour vous dire si vous avez choisi le bon ordre... ou non.

Sam 6 Mai 2017 - 1:48
Intrigue #3
ft. Ban & Etsuko & Namaiki
Les clés pendent comme la carotte au bout du bâton. On les mène par le bout du nez.
Quiconque a planifié tout ceci l'a planifié. S'est attendu à ce qu'ils explorent les environ, clairement, et qu'ils ne se précipitent pas tête baissée dans le musée. Il les connaît, donc, un minimum - ou tout du moins porte en eux des attentes qui s'étendent plus loin que les plus minimales. Issei n'aime pas cela. La sensation qu'on le prend pour un con, son manque total de contrôle lui glisse sous la peau, courant et laissant derrière sa chair les griffures de la colère. L'inconfort. Le doute, la méfiance, sans jamais atteindre la peur. Pas encore. Pas tout de suite. Il n'as pas de raison d'avoir peur, après tout; simplement il affirme silencieusement sa méfiance habituelle, plutôt sa prudence.

Il croise ses bras sur sa poitrine, observant les clés, puis la carte d'accès qu'on porte à son attention. Il semblerait qu'Ikazuchi aie décidé de se rendre utile. Ce n'est pas plus mal. Un détail attire cependant l'attention d'Issei: une statue antique tient l'objet moderne, et une statue moderne tient l'objet plus vieux.
« Hm. »
Sans aucun doute ces objets devront être utilisés - tous les deux - pour ouvrir la porte. En jugeant par la propension de leur mystérieux informateur à se jouer d'eux, sans aucun doute les statues sur lesquelles l'on a accrochés les clés et la carte sont un indice. Une chose est certaine, en tout cas, clairement, forcer la porte est une mauvaise idée. Quelle conséquence y aura-t-il dans le cas d'un choix erroné de l'ordre d'utilisation des objets? Il n'y a pas réellement de moyen de le savoir; les environs, tout du moins, ne semblent pas offrir la réponse à cette question selon l'étude d'Issei.

« Je crois que nous devrions utiliser la carte d'accès, puis les clés. »
L'ordre, la vieillesse apparente des statues semble indiquer cela. Le passé vient avant le futur, après tout. Et il ne semble pas y avoir quelconque autre solution pour passer cette porte que d'essayer de la déverrouiller ainsi. Cela est, réellement, le chemin le plus prudent à prendre. Malgré le fait qu'il ne soit bien pas assez prudent pour Issei. Mais ce n'est pas comme s'il pouvait tourner les talons et s'en aller; il en doit de sa loyauté à sa diaspora, et à sa supérieure. Il ne va pas non plus laisser Abe Etsuko et deux de leurs subordonnés se démerder. Cela paraîtrait très mal pour son image, et pour la confiance qu'il a finit par établir.

Ainsi, les deux objets en main, il retourne vers la porte et s'exécute. La carte d'accès, puis les clés.


B, du coup. Rip.
Lun 8 Mai 2017 - 19:51

Intrigue 3 - Iwasaki-rengô

Participants : Ban Ozawa, Etsuko Abe, Issei Yoshigahara, Namaiki Ikazuchi

Ce fut Issei Yoshigahara qui se porta volontaire pour tenter d'entrer dans le bâtiment. Jugeant qu'il y avait une énigme derrière le choix des statues, le Japonais décida d'utiliser la carte d'accès avant les clés et présenta la carte vers le lecteur.
Shiro Nagasaki, accès autorisé.
Mais immédiatement après le bip confirmant l'ouverture de la porte, une alarme d'erreur retentit.
Erreur : porte bloquée manuellement, ouverture impossible.
Voilà pourquoi le mystérieux informateur leur avait donné des clés : elles permettaient de bloquer l'accès au site en cas d'erreur du système informatique. Or, ces mêmes portes étaient justement bloquées, comme si quelque chose d'anormal était en train de se dérouler à l'intérieur. Mais quoi ?

En raison de votre choix, vous avez désormais la possibilité de vous faire repérer par les Opportunistes.

Une fois l'ouverture de la porte effectuée dans le bon ordre, les quatre yakuzas pénétrèrent dans le couloir de service. Un interrupteur situé à côté de la porte permettait d'apporter de la lumière. Le couloir se poursuivait sur leur droite et donnait sur une sorte de vestiaire, du moins c'était ce que l'on voyait depuis l'entrée. Cette première impression se confirma lorsque les participants s'avancèrent jusqu'à la pièce : une série de casiers et deux bancs constituaient l'essentiel du mobilier de la pièce.

Vous pouvez
A. Fouiller la pièce à la recherche d'indices
B. Retourner dans le couloir à la recherche d'indices
C. Tenter de briser le cadenas d'un casier
D. Continuer d'avance
Les choix sont une nouvelle fois individuels.

Jeu 11 Mai 2017 - 10:31
Intrigue #3
ft. Ban & Etsuko & Namaiki
L'alarme retentit, griffe et déchire les tympans de Issei. Il serre les dents, serre sa mâchoire dans le silence. Il s'affaire, rapidement, à faire de quoi éteindre ce son qui lui vrille les tympans, à gestes précis et calculés. La colère vibre le long de ses côtes et pourtant il s'assure de garder son masque intact - ses yeux froids et ses lèvres pliées droitement. La porte dévoile un couloir sombre qui se plie vers la droite, menant apparemment (il plisse les yeux pour le discerner dans la noirceur) vers un vestiaire. Issei remarque l'interrupteur placé à côté de la porte. La lumière indiquerait clairement qu'ils sont entrés - il est imprudent de l'allumer. De toute manière, la visibilité, bien que réduite, n'est pas absolument épouvantable; ils se contenteront de ceci, du moins en ce qui concerne Issei.

Il s'avance lentement à travers le couloir, à l'affût. Le Smith & Wesson sous sa veste est un poids duquel il reste toujours conscient. La tension se fait plus réelle alors qu'ils pénètrent dans le bâtiment - comme la connaissance, la conscience que cet endroit est la marque d'une blessure saillante au flanc de leur diaspora. La prison de l'oyabun, comme la marque d'une faiblesse qu'ils n'auraient jamais dû subir, encore moins exhiber. La symbolique durcit les os de Issei, empierre les muscles de sa mâchoire, fait brûler comme les braises de cendres que l'on aurait cru éteintes l'amertume, la rancune au fond de son estomac.

Il atteint le bout du couloir et le vestiaire sans plus de cérémonies, balayant rapidement l'endroit du regard. Il semblerait que les prochains indices laissés par leur informateur insolent ne soient pas aussi évidents que les précédents. Cela ne l'empêchera pas de les trouver - silencieusement, s'il vous plaît. Prudemment, il se met à fouiller la pièce, premièrement des yeux, puis, lorsque cela ne donne aucun résultats, physiquement. Ils ne semblent pas être sous une limite de temps, et pourtant Issei sent l'urgence remonter le long de ses veines. Il garde, pourtant, son calme.


A.
Sam 13 Mai 2017 - 11:10
La porte s’ouvre dans un bruit résonnant bien trop fort à tes propres oreilles. Tu ne t’en étais pas rendue compte mais tu relâches le souffle que jusqu’alors tu retenais prisonnier de tes poumons. Ce n’est pas pour autant que tu n’es pas crispée, mains serrées en deux poings compacts n’attendant qu’un visage ennemi pour venir s’y écraser, sans finesse.

L’espace d’un instant, tu es lasse de devoir à chaque fois te tenir sur tes gardes. D’interagir avec les autres diasporas à coups de matraques dans la gueule et de messes basses. Tes armes pèsent trop lourd à ta conscience agitée de mille et une pensées, oiseaux effrayés. Tu essaies de faire le vide, mais redoutes de te retrouver alors entre les griffes de Hachiman, dieu de la guerre, et les appels des morts à la vengeance. Tu n’as pas encore fait assez de bien autour de toi pour pouvoir te permettre pareil acte. Céder aux cris assoiffés de sang n’est pas la solution. Tu pries les Kamis de bien vouloir t’épargner un carnage, même si tu sais qu’il te sera impossible de ne pas y participer si tes hommes se retrouvaient en danger.

Vous pénétrez à l’intérieur du musée, ce lieu si nostalgique pour toi. Déjà le goût du sang envahit ton palais, alourdissant ta langue. Tu ne trouves plus aucun charme à ce bâtiment qu’auparavant tu aimais, ne serait-ce que pour l’immensité des connaissances et des objets d’Art qu’il présentait. Cependant, rien de tel dans la rangée de casiers blancs impersonnels, vous toisant de leur regard métallique. Tu es tentée de faire céder les cadenas de quelques-uns d’entre eux mais tu as bien trop peur d’un piège, une bombe à retardement ou quelque chose dans ce genre-là. Vous étiez certes là pour répondre à vos questions restées sans réponses, mais pas sans réfléchir un peu avant de passer à l’action.

« Avançons. »

Tu ne veux pas perdre de temps à fouiller systématiquement chaque pièce qui s’offriront à vous ; trop d’effort dépensé pour rien. De plus, ça t’étonnerait que votre mystérieux guide se manifeste si tôt dans l’étrange jeu de piste qu’il avait manigancé. Tu espères lui arracher l’échec et mat alors que tu dépasses le vestibule, ouvrant la marche à votre petit groupe.

Spoiler:
Dim 14 Mai 2017 - 21:48
L'impression moite d'être surveillé me colle à la peau.

Désagréable sensation alors que je reste à l'arrière du groupe, le dos courbé et hérissé par l'apréhension. L'alarme qui a retenti m'a fait sursauté, m'a soulevé le cœur faisant naître en moi une crainte qui je ne soupçonnais pas. Les opportunistes sont visibles aux aguets et ont toutes les raisons de l'être...

Je lance un regard à ISSEI qui avance, embêté évidemment d'être peut-être repéré, mais satisfait de voir une erreur provoquée par ses mains pourtant si précises. Aucun de nous ne fait pourtant de remarque, nous continuons d'avancer, visiblement les autres sont pressés... Mais je ralenti le pas. Je tiens à resté calme, à montrer mon sang-froid en examinant, à la recherche d'autres indices. Le système de sécurité, bien que certaines caméras soient éteintes, est toujours bien fonctionnel. Il se pourrait bien que nous tombions dans d'autres pièges... Autant jouer le jeu de la chasse aux indices pour l'instant...

H.R.P:
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