Ven 12 Aoû 2016 - 12:26
tu chancelles et tangues le corps euphorique et pourtant dévasté ; il y a sur ta peau opaline maintes et maintes bandages il y a des pansements encore teintés de sang il y a ta silhouette si frêle qui n'est plus aussi habile il y a pourtant sur tes lèvres ce si joli
((sourire))
cette joie qui fait battre ton coeur à l'idée de le revoir de découvrir et de savoir il y a il y a
((cameron))
ces quelques petites lettres qui rendent depuis quelques mois ta vie plus belle et palpitante - cameron cameron cameron tu pourrais chanter son nom au creux de son oreille tu voudrais lui montrer lui faire partager à quel point tu trouves le monde beau à quel point il resplendit de plus belle quand il est à tes côtés quand tu peux l'entendre rire et apercevoir une risette au coin de ses lèvres tu voudrais lui faire entendre ce boom boom boom irrégulier dans ta poitrine et sortir de ton ventre tous ces papillons - le rendre aussi heureux que tu l'es. et cameron ça chante sur ta voix et à chaque fois que tu l'appelles tu te sens un peu flotter quand vous vous échappez du monde et que vous partez tous les deux un peu beaucoup loin pour on ne sait combien de temps et tu as voulu encore mais seule cette fois voir le monde de tes orbes carmines oh seiko si seulement père n'avait pas été là à ton retour // tu te souviens
encore
des ///
l'alcool qui se répand sur le sol
le verre qui ///
et oh son
((poing))
sur ton corps
quand ce n'est pas une lame///
seiko seiko seiko tu pourrais pleurer tu pourrais perdre ton sourire tu pourrais être si si si si malheureuse et t'abaisser sur tes genoux pour pleurer faire vibrer tes cordes vocales en une mélodie désolante mais
jamais seiko ne sourit plus
jamais seiko ne sourit plus
il y a cette obsession de la simplicité chez toi qui te force à toujours voir le bon côté et quand tu te dis qu'aujourd'hui encore tu peux courir marcher vivre et respirer alors oh tous les maux de la veille sont oubliés ton
rire
tintinnabule
en mille éclats
tes pieds nus tout aussi bandés quand tu t'assois en retrait du park, à l'ombre, sifflotant un air aspirant et tu
attends
que ton bonheur
vienne à toi ;
((cameron))
© YAM
((sourire))
cette joie qui fait battre ton coeur à l'idée de le revoir de découvrir et de savoir il y a il y a
((cameron))
ces quelques petites lettres qui rendent depuis quelques mois ta vie plus belle et palpitante - cameron cameron cameron tu pourrais chanter son nom au creux de son oreille tu voudrais lui montrer lui faire partager à quel point tu trouves le monde beau à quel point il resplendit de plus belle quand il est à tes côtés quand tu peux l'entendre rire et apercevoir une risette au coin de ses lèvres tu voudrais lui faire entendre ce boom boom boom irrégulier dans ta poitrine et sortir de ton ventre tous ces papillons - le rendre aussi heureux que tu l'es. et cameron ça chante sur ta voix et à chaque fois que tu l'appelles tu te sens un peu flotter quand vous vous échappez du monde et que vous partez tous les deux un peu beaucoup loin pour on ne sait combien de temps et tu as voulu encore mais seule cette fois voir le monde de tes orbes carmines oh seiko si seulement père n'avait pas été là à ton retour // tu te souviens
encore
des ///
l'alcool qui se répand sur le sol
le verre qui ///
et oh son
((poing))
sur ton corps
quand ce n'est pas une lame///
seiko seiko seiko tu pourrais pleurer tu pourrais perdre ton sourire tu pourrais être si si si si malheureuse et t'abaisser sur tes genoux pour pleurer faire vibrer tes cordes vocales en une mélodie désolante mais
jamais seiko ne sourit plus
jamais seiko ne sourit plus
il y a cette obsession de la simplicité chez toi qui te force à toujours voir le bon côté et quand tu te dis qu'aujourd'hui encore tu peux courir marcher vivre et respirer alors oh tous les maux de la veille sont oubliés ton
rire
tintinnabule
en mille éclats
tes pieds nus tout aussi bandés quand tu t'assois en retrait du park, à l'ombre, sifflotant un air aspirant et tu
attends
que ton bonheur
vienne à toi ;
((cameron))
(( seiko & cameron )) don't worry be happy 420 mots. |