Irenna Hynouilh
Caractère
Histoire
Le récit que je vais commencer, ici et maintenant, sans attendre et sans faire de pause, un récit qui va vous tenir en haleine, est celui d’une petite chose verte et gluante nommé Falit. Un nom correspondant à sa race, une race ou toute les personnes présente, si l’on peut appeler cela des personnes, se prénomme Falit. Imaginez ce bordel. Et maintenant, on en revient à Irenna.
Maintenant que je vous aie bien perdu et que votre intérêt est totalement parti devant ma stupidité sans fin. Je vais commencer le récit concernant non pas les Falit, parce que sans mentir, on s’en tamponne totalement. Mais bien entendue, celui concernant la petite Irenna. Un récit qui nous intéresse tous un peu plus.
Je vais commencer par vous dire le début, non ? Bah si quand même, faut pas exagérer sur la façon de raconter une histoire. Il y a des règles, et il faut les suivre. Donc je reviens à Irenna, née dans un coin très froid, qui ne va rien vous dire du tout. Nanortalik ! Oui, ça vous avance beaucoup, et pourtant, il s’agit là d’une des plus grandes villes du Groenland. Enfin la 10 éme plus grande ville. Ce qui pour vous ressemblerez plus à un village ou il ne ferait pas bon de vivre, cela représente pour Irenna, une vie entière de bonheur et de bonne humeur. Ou presque. Elle est donc née las bas en 2004 et n’a jamais été scolarisée. Histoire de bien commencer sa vie dans une étude approfondie des mœurs des autres pays, ces parents ont choisi de tous lui enseigner eux même. Une pratique qui n’était pas véritablement rare. Elle a appris la langue locale, L’inuktitut, une langue uniquement orale et à travailler les peaux. Un travail fastidieux et difficile bien qu’essentiel à la vie locale. Que dire d’autre sur son apprentissage ? Il n’y eut pas grand-chose, elle sortait régulièrement dehors, participer à des batailles de boule-de-neige en compagnie des cinq enfants de son âge présents dans la ville et se balader sans but. Enfin sans but, si elle avait toujours un but.
En effet, cette gamine un peu chiante et possédante des parents plutôt laxiste sur les sorties possibles de la maison dans un environnement plutôt hostile. Cette gamine donc, c’était introduit dans la tête une idée totalement stupide et irresponsable, comme toutes les idées des gamins, de s’éloigner afin de trouver des objets intéressants. De donner tout et n’importe quoi afin de faire plaisir aux autres. Un hobbies qui, dans un pays calme comme la France aurait pu être acceptable. Mais, dans ce pays, transporter les affaires des autres, s’éloigner de la ville, et farfouiller un peu partout, n’était pas toujours une bonne idée, surtout un jour de tempête.
L’histoire que je vais donc vous raconter, concerne l’unique passage actif de sa vie, un passage un peu long, qui dure approximativement un an. Mais un passage essentiel afin de comprendre pourquoi elle est comme cela aujourd’hui.
C’est un de ces fameux jours de tempête, le jour où il ne faut surtout pas sortir et où les pauvres malheureux présents à l’extérieur doivent rapidement trouver un endroit où se cacher. Un jour ou Irenna était dehors, munit de son sac à objet, elle marchait sur la glace lorsque la tempête se leva, d’abord doucement, et de plus en plus fort. Elle pressait le pas pour rentrer et c’est au moment d’arriver dans la ville, que le vent la fit tomber brutalement sur le sol. Un cri parvint à traverser le vent et elle leva la tête. Ses yeux à moitié cacher par sa capuche parvinrent à distinguer une silhouette ressemblant à celle de son père. Un grand homme barbu, lourdement habillé et armé d’un harpon. Lui aussi était dehors, et il était parfaitement au courant de la localisation de sa fille. Celui-ci se précipita sur sa fille afin de l’aider à se relever. Le vent soufflé de plus en plus fort, voir n’était plus une option. Se protégeant les yeux avec sa main, il releva sa fille qui s’accrocha à lui avec l’énergie du désespoir.
Une forme massive se dessina. Deux options, un bloc de glace, ou autre chose. Ouais, autre chose, c’est une option vague. Mais, cela pouvait être un ours, un morse, ou n’importe quoi qui pouvait être en mouvement, voir même une planche. Le crie qui s’ensuivit les informa que malheureusement, il s’agissait bien d’un être vivant. Qui, malgré la puissance du vent, se précipita sur eux. Une fourrure blanche et une masse énorme s’écrasa sur eux, Irenna fut projeter à plusieurs mètres tandis que le père s’écarter précipitamment pour esquiver un coup de griffe. Un ours blanc. Ce n’était pas rare que ceux-ci rodent près de la ville, mais, par beau temps, il était assez facile de les éviter et en général, il s’agissait plus d’un stock de viande gratuit. Pour le moment, il s’agissait d’un danger de mort plus que potentielle.
Irenna s’écrasa dans la neige et glissa. Elle n’eut pas le temps de se relever, que déjà, l’ours, ignorant le père se précipiter sur elle. Elle hurla de peur, s’agrippant à son sac. La patte se leva. Et elle disparut. Elle hurlait toujours lorsqu’elle réapparut. Dans une salle à côté d'une grosse machine. Je vous dis pas, le bon qu’à fait le mec d’à coter, qui était justement en train d'activé le mécanisme.
La prise en charge fut rapide, rapidement, se rendant compte qu’il n’y avait plus de danger, elle arrêta de hurler et demanda son père. Devant l’absence totale de réponse et d’information, elle commença à se convaincre que de toute façon, il avait survécu. Pour elle, son père était si fort qu’il était impossible qu’il ne meure contre un pauvre petit ours blanc de 3 mètres. Elle se convainquit rapidement que son père était vivant et qu’il la cherchait. Mais surtout, qu'un jour, il la retrouverait. Oui, elle était sûre que son père viendrait la chercher, même si cela prendrait du temps. Mais pour cela, elle devait se faire remarquer. Faire en sorte que son père puisse la reconnaitre. Oui, pour elle, il fallait qu’elle reste la même personne. Elle adapta donc ses vêtements afin qu’ils ne soient pas trop chauds, mais tout en gardant un minimum la touche principale de son peuple. Elle refusa tout apprentissage qui allait en dehors de la culture de son peuple, mais s’adapta juste assez afin de pouvoir sortir de l’institut et de rester indépendante. Oui, elle allait continuer comme avant, donner des choses aux genres, en transporter d’autre. Peu importe le contenu. Et accumuler les informations. Et un jour, son père viendrait la chercher, elle en était sûre. Et ce qu’elle voulait, c’est que son père la retrouve dans la joie, et non avec un visage si triste qu’il n’ait même plus envie de la récupérer.
Voilà donc l’histoire de Irenna, une histoire plutôt simple, mais qui vous montre pourquoi elle est comme ça. La suite, je vous la raconterai plus tard, quand j’aurais la motivation. Là, j’ai la flemme.
Salut ! Moi s'est Zian, oui, c'est mon vrai nom !
22 ans, je vieillis et perds mon âme au fur et à mesure, je fais du rp depuis.... Je sais plus ! Je suis un peu lent à écrire et puis voilà....
Le générateur de code est trop cool *_*