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Avec un peu de chance, j'aurais un réveil qui ne fait pas de bruit pour mon Anniv

Dim 1 Mai 2016 - 23:16
Ikaël

Ikaël Riddle

feat Trafalgar Law  | One piece

Caractère

Ikaël

Histoire

Nota bene : J’aurais jamais dû me lever ce matin en vrai.

Le passé c’est censé être une chaine qui vous plombe le moral, mais si vous êtes comme notre cloque, vous le prendrez et avancerez avec lui comme il le fait. C’est sûr que c’est pas son passé qui va lui plomber le moral. Bien que contrairement à certaines personnes, il n’ait pas non plus un passé des plus heureux au point de sourire, il n’a pas non plus le passé le plus déprimant… Ouais, t’as juste un passé avec un tout petit peu de drame c’est tout.

Il est mort avant de partir à l’école.
C’est ce que tu regardas d’un air las, ce n’était pas ton meilleur ami, mais c’était ton ami la nuit quand tu te sentais seul. Bon c’est clair que de commencer une histoire direct sur un mort c’est pas non plus génial. Le petit regarde avec une petite moue, se saisit du corps délicatement et l’emmène dans les toilettes où il le jette sans vergogne avant de tirer la chasse. Sous les larmes d’un petit frère qui résonnent dans la pièce d’eau.

« Repose en paix… Monsieur Fish. »

Même le ton funéraire était présent. Te grattant l’arrière de la nuque, tu regardes le cadavre de l’ami de la famille partir dans la cuvette des toilettes, bien que maintenant tu te demandes clairement quoi faire du bocal de celui-ci. Bah, c’est une affaire de parents, donc ne cherchons pas plus loin. Tu as toujours été comme ça. Tu saisis ta boite contenant ta nourriture et avance pour aller dans le hall, comme d’habitude dans un grand soupir las de tout, tu enfile s ta veste, reçois un baiser de ta mère sur la tempe gauche et ton frère surexcité à droite. Tu avais une mère assez jeune qui était toujours souriante et bien coiffée. Sa coiffure était toujours parfaite, sa blondeur était souvent jalousée par bien des femmes qui voudraient ses bouclettes parfaites et son sourire toujours dessiné. C’est sûr que ton frère avait de quoi se vanter, il avait ses cheveux, toi t’as hérité des cheveux ébènes de ton père pas du tout originaux. Bon, elle pouvait être jolie ta mère, après tout ce n’était pas elle qui faisait la cuisine, ni le ménage, ni toute autre tâche dite ménagère. Yule, c’était le prénom de la domestique, une femme assez âgée de couleur. Toujours présente malgré la maladie, les problèmes privés et tout autre souci personnel qu’elle devait mettre de côté. Enfin, bref.

« N’oublie pas Ikaël on est motivé, MOTIVE !
-…Ouais
-Sois un peu comme William ! »

Tu roulas des yeux en regardant ton frère courir dans tous le sens dans un grand soupir. Tu avances les mains dans les poches, en suivant ton frère plutôt motivé pour aller prendre le bus dans la rue plus loin. Bien que plus le temps passe, plus la rue change, des manifestations, des mouvements bien étranges, tu ne comprenais clairement pas comment le monde pouvait changer comme ça, bien que tu ne cherchais pas longtemps, tu te laissais porter par la vie comme une feuille par le vent.

Comme d’habitude, ton frère court vers ses amis, et toi tes amis viennent à toi. Etrangement, tu avais un petit groupe, ce qui t’étonne encore quand tu y penses en vrai. Chaque matin l’un racontait ce qu’il a fait de génial, suivit d’un autre qui raconte sa soirée, puis l’un ses devoirs, et toi tu terminais ta nuit. Tu te souviens que souvent l’un te trainait derrière lui pour aller rejoindre la classe. La magie de s’endormir quelque part et arriver ailleurs, c’était presque un talent de téléportation à ce niveau là.

Puis quand vous rentriez dans votre maison, après avoir esquivé le chien qui te saute dessus, tu t’étales sur la table devant ton goûter. Yule comme d’habitude rit de ta façon d’être. Comme d’habitude, cela te faisait sourire de l’entendre rire. Ta mère était souvent à son club avec ses copines à faire des choses de « bourge ». Ton père, lui tu le voyais tellement peu que tu te demandais ce qu’il pouvait bien faire toute la journée. Comme d’habitude, tu entends la porte s’ouvrir, ton père qui rentre, posant son chapeau et soulève le petit William qui lui saute dans les bras. Ikaël leva juste un peu la tête, un hochement de tête presque discret et voilà. Bien qu’il retourne vite dans son bureau pour fumer et aussi continuer son boulot.

« Pourquoi les adultes ils travaillent tout le temps ?
-Oh tu sais, ton père travaille plus que certains.
-C’est nul.
-A force, il ne pourra plus se lever tellement il reste assis dans son siège. Il deviendra l’homme du siège. »

Tu pouffas de rire tout seul sur cette blague pas drôle. Yule avait beaucoup d’humour et avait bien comprit que le petit était friand de cet humour. Lui frottant les cheveux encore une fois, ce qui explique sa coupe de cheveux totalement désordonnée. Comme tous les soirs, Yule prépare le diner, ton lit, fait la vaisselle et s’en va. Tu fais rouler ta voiture de gauche à droite, la tête posée sur ton bureau en te demandant si un jour tu auras une voiture comme ça. Ta mère arrive pour te dire d’aller te coucher, ce qui est bien c’est qu’elle n’avait pas à te le répéter une autre fois.

C’était clairement un train-train quotidien plutôt ennuyant en vrai.

Les vacances, vous alliez souvent à la campagne chez les grand parents, qui eux aussi avaient leurs domestiques. Tu ne comprenais pas pourquoi fallait obligatoirement être noir pour être un domestique, bien que quand tu vois qu’il y a des toilettes différentes et des lavabos aussi… T’as pas mis longtemps à te dire que le monde est vachement lourd à comprendre. Ton grand père un vieux militaire qui a connu la première guerre mondial, qui a bien failli connaitre la deuxième, s’il n’avait pas cette jambe en moins. Ta grand-mère était une assez grande philosophe. Enfin, chez elle précisons-le. Toujours à ouvrir sa bouche, toujours à écrire des choses sur sa machine à écrire, toujours à dire que le monde va mal tourner ! Elle ne supportait pas du tout être aidée, elle était contre la ségrégation des noirs. Mais elle se faisait vieille, donc elle avait besoin d’aide. On peut dire que la personne qui travaillait chez le père Riddle avait la vie dorée.

Bien que ton frère était tourné plus vers le ballon et l’escalade d’arbre et les potes. Toi t’étais toujours entrain de lambiner sous un arbre, un filet de bave qui s’enfuit dans un coin de tes lèvres. Ika se faisait souvent réveiller à coup de canne de sa grand-mère qui riait en le voyant être si nonchalant.

« Je sais bien que le monde t’ennuie, mais si tu dors autant, un jour tu vas te réveiller tu auras déjà 30 ans et t’auras pas vu ta vie défiler jeune homme !
- Je suis qu’un enfant Maniou. J’ai le temps.
- Tu n’es pas possible Ikaël. Tu es vraiment l’opposé de ton père et ton frère. »

Tu bailles en t’étirant pour bien te réveiller, tournant ton visage vers ta grand-mère qui affiche un petit sourire qui voulait clairement dire « tu es irrécupérable. » Le brun cligne des yeux avant de se frotter les yeux et s’assoit pour la regarder, bien sûr tu savais bien qu’elle n’est pas venue pour rien, tu l’as connais bien ta Maniou. Pourquoi Maniou ? Mamie combiné à Noura. Faut pas chercher Ika ne fait rien comme tout le monde.

« Tu veux parler de quoi ?
-Eh bien, tu ne perds pas le nord, laisses le temps à ta veille Maniou de s’asseoir. »

Ta grand-mère n’était plus du tout toute jeune, tu voyais bien que les années l’ont clairement affaiblie de plus en plus. Suivant ses mouvements de ton regard mi-clos. Elle pose sa canne à côté d’elle pour se caler contre l’arbre, comprenant que c’est le pied de dormir ici !

« Tu sais mon petit, je suis sûr qu’en toi se cache une personne très intelligente. J’ai pu remarquer que les gens dotés de quelque chose de spécial ne voient pas le monde comme les autres. Regarde un peu ton frère, il n'est qu’un vulgaire stéréotype de l’enfant Américain. Pour lui, on peut dire que toutes les portes lui seront ouvertes, contrairement à toi.
-Bof, pas grave.
-Tu es désespérant. »

Ta grand-mère te donna un petit coup sur la tête, bien que t’étais habitué. Bien que tous les jours, cette femme t’enseigna la chose que tu faisais le mieux : Observer. Elle avait fait tellement de notes sur chaque mimique, lu tellement de livres sur les études de l’humain. C’était carrément une encyclopédie humaine sur l’humain, ou surtout les mimiques humaines. Au moins, cela occupait tes vacances de devoir t’amuser à deviner les émotions sur les visages des gens. Bien qu’il n’y ait pas que ça, ton grand père voulait faire de toi un homme. Donc c’étaient des prises de combat qu’il voulait t’apprendre, la défense... C’était lassant. Les échauffements avec ton frère, les combats simulés, bref, des choses totalement dénuées d’intérêt pour toi.

Pourtant, toi qui étais lassé de faire ce genre d’exercice, tu n’aurais pas du tout penser que cela aurait pu être utile. Tu l’as découvert en sport, la matière que tu n’as jamais vraiment aimé. En moins de quelques minutes d’observation, tu as réussi à mettre le plus fort de la classe au tapis, au moins tu as pu fêter cela d’une sieste rapide. Le professeur était sidéré de voir qu’un incapable pouvait faire quelque chose d’aussi impressionnant, bien que pour toi c’était normal, après tout tu pouvais retourner plus vite glander. Même tes amis n’en revenaient pas de ta force, même toi en vrai, mais tu le pensais plus dans ta tête, sans montrer un visage choqué. Quand tu es rentré chez toi, retourner sur la table, tu expliquas ce qu’il s’est passé. Yule n’était pas très surprise, tu te plaignais souvent de devoir faire dur sport chez tes ainés et des études, donc il était normal qu’un moment où un autre ces efforts allaient payer.

« Tu devrais aller t’inscrire dans un club petiot !
-Nan.
-Laisse moi deviner, faut se lever, sortir de chez toi et marcher au club ?
-Oui
-Tu devrais essayer quand même, peut être que comme ça ton père se préoccupera de toi ! »

Poussant un large soupir indiquant clairement le pas envie du jeune homme, il décide quand même d’aller en parler à son père quand il est disponible. Ce qui était dur, donc fallait attendre le presque couché pour réussir à le choper. Bien que c’était vite fait, la question eut une réponse rapide.

« Oui, maintenant va te coucher. »

C’est sûr que c’était vite emballé comme réponse, il voulait sûrement avoir la paix, comme d’habitude. Mais tu avais ta réponse, alors tes cours allaient commencer pour la boxe, bien que comme d’habitude, ta nonchalance a vite irrité le professeur qui te délaissa bien rapidement, ce qui t'a vite énervé. Tu faisais semblant d’aller à tes cours, bien que Yule t’a vite grillé dans un parc où tu lambinais. Sans le cacher, tu expliquas la situation, le professeur préfère les bons élèves aux mauvais j’ai pas envie de bosser trop. Yule riait encore de ta bêtise et ta franchise souvent irréelle, elle te frotta la tête comme d’habitude.

« Bon, super Yule va t’aider alors petiot.
-T’es toujours super Yule. »

Elle sourit, comme d’habitude ses rides apparaissaient sur son visage, montrant son vrai âge. Tu lui saisis la main et avances dans les quartiers les plus appauvris, la où la couleur blanche était une intruse. Tu arrives dans une sorte de terrain plutôt grand qui ressemble à une décharge tout de même, tu finis devant un grand homme de couleur, tu te souviens surtout que lever la tête était un véritable calvaire.

« Voici le petit Ikaël dont je t’ai tant parlé, il aimerait apprendre l’art du combat, tu peux lui enseigner la Caepora pour l’assouplir cette petite marmotte.
-Tu es sûr qu’il va tenir le coup ?
-Oh, je place tous mes espoirs, après il pourra aller le voir aussi. »

Tu compris juste : toi devenir souple pour aller voir un mec random. C’est fou comme les résumés c’était ton fort. C’est alors en secret que tu commences à prendre des cours, bien que c’est avec beaucoup de bleus que tu finissais, car ce n’était pas de la simulation comme apprenent les petits blancs, c’est en souffrant qu’on apprend disait-il. Tes amis te suivaient pour te regarder apprendre, ils faisaient des paris stupides. Certes vous faisiez tâche dans le milieu, mais comme les rares personnes qui acceptaient la différence, vous n’étiez que des enfants, puis tu n’étais pas seule Yule était là pour te surveiller.

L’entrainement commençait à payer déjà, tu avais progressé pas mal, tu employais ce que ta Maniou t’a appris, ce que ton professeur t'a encouragé à faire, savoir lire le visage de l’adversaire est beaucoup plus un avantage contre lui. Bien qu’un jour, un homme d’une autre origine arrive du fumoir planqué dans une rue plutôt sombre, il était d’un teint plutôt blanc cassé, bien qu’un de tes amis souligna le côté « Chintock ». Ton professeur (assez jeune il devait avoir 24 ans à tout casser) s’incline devant lui comme un élève le ferait. Toi tu le regarde l’air totalement las.

« Dis moi, tu t’entraines depuis longtemps ici, mais à quoi va te servir cette puissance si tu l’aquiers ?
-…On dirait la parole d’un film du vieux qui sait tout banal.
-Tu ne manques pas de toupet kid’s.
-Bah c’est vrai. Mais chais pas, je le fais car je peux le faire.
-Alors tu perdras bien rapidement s’il n’y a pas de flamme qui anime tes gestes.»

Tu haussas les épaules et retournas à ton entrainement, tu entendis un rire bien sarcastique de cet homme qui te regardait t’entrainer, bien que tu le pointes du poing, comme le cherchant. Yule soupira, mais pas le soupir d’exaspération, plus celui d’une mère devant son enfant qui continue dans sa bêtise.

Et bon sang, qu’est-ce que c’était une bêtise.

Il a répondu à ta provoque, mais tu avais beau avoir gagné en souplesse, il a réussi en un coup à te maitriser si vite que tu as cru à que ta respiration s’était coupée. Tu as eu peur, pour la première fois tes amis ont vu la peur se dessiner sur ton visage. Tu as perdu, tu avais l’habitude, mais tu avais en même temps subi une humiliation magistrale. Cela t’a d’un coup remis bien à ta place, tu affichas ce regard plein de haine, bien que tu repris vite ta position de larve, tu n’as plus envie.

« Tu ne vas pas me dire que tu vas tout arrêter après avoir perdu Petiot ?
-J’en ai marre. »

Tu ne voulais jamais aller plus loin, ta zone de confort était trop proche de sa limite, alors tu stoppes, comme d’habitude. Affichant une mine boudeuse, tu rentres chez toi encore tout sale, mais ta mère à beau te faire la morale, tu sais très bien que ce n’est pas elle qui lave. Tu passes à côté de ton frère qui joue avec un copain chez lui, il est comme d’habitude, tu affiches un petit sourire et va te laver. Ce que tu notais chez toi, c’était le calme olympien des repas dans votre famille. Vous aviez encore la chance de manger avec vos parents dans la même pièce. Bien sûr, ce n’était pas un plat fait avec amour de ta mère, c’était ceux de Yule, faits au goût de ses patrons. C’est alors que notre petit Will monta sur sa chaise en bombant le torse.

« Je veux être le chef des policier ! Je protègerai tout le monde com-
-…me cache la télé Will
-Ika ! Chut !
-La télé…
-Vous deux arrêtez vos chamailleries, c’est bien mon petit ! »

Acclamait ta mère avec un petit sourire, bien que comme elle tu voyais plus un rêve d’enfant qui va changer tout le temps, c’est ton petit frère, il est encore trop jeune pour savoir ce qu’il veut faire de sa vie. Mais le souci avec les gamins, c’est que quand ils ont une idée en tête, ils veulent tout faire tout de suite. C’est en allant en cours que ton idiot de fraternel s’est mis en tête de tenir tête à des gros balourds qui squattaient l’air de jeu. Au début, c’est sûr que tu n’y prêtais pas attention, jusqu'à ce que t’entendes la voix de ton frère gémir et un de tes amis te pointer du doigt la scène. Will était par terre en train de manger la poussière est le pied de l’autre sur lui. Tu haussas un sourcil, tu regardas la scène, bien que tu te lèves, sans te presser bien sûr. Tes amis te suivent avec une certaine distance. Tu arrivas devant eux, les mains dans les poches, les épaules en arrière, totalement détendu.

« Eh lâche mon frère.
-Je lui apprends à savoir se taire à ton frère.
-Okay. »

Ce qui est bien chez toi, tu ne répètes jamais. Tu le frappas d’un coup sec avec ta boite en fer en plein visage, tu lui as ouvert l’arcade. Bien que t’étais prêt à te battre et les ados aussi, ils ont vite déguerpi. Ce n’est pas toi qui fais peur, mais le flic qui te récupère par le bras et te ramène chez toi. Tu t’es pris un savon plutôt violent, utiliser la boxe pour du combat gratuit, car bien sûr Will n’a pas eu le courage de dire que c’était sa faute, il avait peur. Pourtant, tu n’as rien dit, tu as juste fixé tes parents l’air toujours absent. Tu as été consigné dans ta chambre sans manger pour ce soir, cela te dérange pas, tu dormiras plus que d’habitude. Bien que tu entendis des petits gémissement en pleine nuit, il devait être minuit passé. Ikaël se lève de son lit pour aller dans celle en face. Poussant un petit soupir, tu avances vers la boule de couverture bruyante. Penchant la tête dans un petit souffle, tu affiches un petit sourire puis tire sur la couverture pour voir la frimousse de ton frère en train de serrer sa peluche.

« Tu parles d’un futur chef.
-Tais toi (euh), j’ai pas peur (euh). Je… Je j’arrive (uh) pas à dormir (euh) » Sûrement la culpabilité de ne pas avoir eu le courage de dire à maman qu’il était le vrai coupable de pourquoi tu as du te battre.
-Allez. Tu le soulèves. On va regarder la télé Willidiot. »

Tu le portas jusqu’au salon discrètement. Il se frottait les yeux, bien qu’à cette heure il n’y a pas grand-chose à la télévision, mais vous allez faire avec. Bien qu’en vrai t’en voulais pas du tout à ton frère, car tu étais le grand frère, il fallait parfois faire des sacrifices. Le jeune homme quelques jours plus tard retourne avec Yule dans son lieu d’entrainement, bien que tu poussas la porte de l’autre mec qui sait tout, t’avais pas son prénom en vrai.

« Je veux devenir fort pour protéger ceux que j’aime, et surtout pour pas me faire laminer devant ceux que j’aime. T’es content, car je le redirai pas, c’est hyper nyan nyan. »
L’asiatique cligne des yeux avant d’exploser de rire, il ne devait pas du tout s’attendre à ce que tu te ramène en mode berserk dans sa boutique. Pour un préado, t’avais une façon d’être bien à toi. Au moins, t’as pas eu à répéter heureusement. Affichant un petit sourire, ce crétin d’Asiate t’enseigna ses techniques, car tu voulais savoir comment il t’a maitrisé n’empêche, parfois tu avais encore cette petite curiosité qui s’allumait.

Sans vraiment te rendre compte, les années ont commencé à s’écouler de plus en plus vite. Quand tu ouvris les yeux, tu n’étais pas loin d’être un adulte. Tu étais encore chez tes parents, comme un tic dont personne ne peut se débarrasser. Pourtant, tu avais une sorte de voie dessinée, dans la vie professionnelle dans le combat. Ton grand père décédé devait être heureux de te voir prendre cette voie, contrairement à Maniou, ils doivent bien se disputer là-haut. Tes amis sont aussi en train de faire leur vie, pour certains la vie commence à prendre son envol, contrairement à toi qui ne trouve pas la bonne femme, que des aventures foireuses. Cependant, tu t’en fichais royalement. Tu te lèves de ton lit, pour une fois plus tôt, bien que tu arrives devant ta mère qui ne semble pas aller bien. Tu hausses un petit sourcil, ne montrant pas que tu es là, mais elle le remarqua bien vite.

« Oh, tu es réveillé, désolée de cette apparence.
-T’as quoi ?
-Je réalise que ton frère va bientôt suivre son rêve d’être policier.
-Ouais. C’est bien pour lui.
-Mais quand je lis le journal, je vois tellement de délits et de menaces que je veux pas perdre William…
-T’inquiète il est fort.
-Je sais… Mais je ne veux pas le perdre… Il est si… si… »

C’est vrai que le taux de criminalité augmente de plus en plus, avec cette mode du Hippie, des manifestations qui deviennent de plus en plus violentes. Ton frère avait beau être motivé, il n’était qu’un rêveur qui croit trop en ses rêves. Tu tapotas l’épaule de ta mère.

« Tu seras toujours là pour lui n’est-ce pas Ikaël ?
-Ouais, suis bien obligé, tu me l’as imposé un peu n’empêche.
-J’en suis désolée. Rit-elle un peu.
-Mais t’inquiète, ça va le faire. »

Ce n’étaient que des paroles, tu ne savais pas vraiment si cela était réconfortant. Ton frère allait rentrer dans un monde peut-être de brute. Tu en soupiras la fumée de ta cigarette, regardant le ciel bleu. Jetant ton mégot, tu partis du jardin pour t’en aller les mains dans les poches. Au fond, c’était sa vie non ? Bien que tu marches comme pour aller au travail, enfin dans le lieu où tu gagnes de l’argent, tu le passes pour aller dans la lumière de la justice. Arrivant dans un lieu plutôt inconnu de tes yeux, tu arrivas devant le bureau de recrutement.

« J’veux devenir flic. »

Néanmoins, tu étais le grand frère. Malgré la colère que tu vas te taper de ton frère qui t’a hurlé dessus quand il t’a vu mettre l’uniforme et passer avec brio les tests physiques, contrairement à lui qui a beaucoup trop peiné. Le sourire de ta mère rassurée de vous voir partir pour le même endroit. Tu suis ton frère comme une ombre, tu es son ombre. Tes rêves ? T’en as pas vraiment en vrai, pas grave, tu haussas les épaules et pris le chemin emprunter par ton frère, tu t’en fiches d’être une ombre.

Combien de fois tu as refusé une promotion ? les mois défilent devant tes yeux, et tu es un agent plutôt efficace, ayant fait baisser le taux de criminalité du quartier que tu gères avec ton frère. Bien qu’ils ne fussent pas aveugles, ce n’est pas ton frère qui fait que les criminels se tiennent en ordre. Pourtant, tu refuses toute augmentation. Comme d’habitude, tu arrivas à la réunion pour te parler de la possibilité de monter en grade, tu venais en pantoufle et tu regardais d'un air totalement dénué d’intérêt. Tout ce que tu disais.

« Ce n’est pas moi qui fait tout, c’est aussi Will qui est plus stratège que moi. »

Toujours la même phrase, toujours la même rengaine qui soulait ton patron. Tu ne voulais pas passer devant ton frère, tu te devais d’être toujours derrière lui. Puis, ils ont enfin compris, ton frère monta de grade, il avait un si grand sourire aux lèvres, que cela te suffisait comme promotion. Fumant à l’arrière des acclamations des collègues, tu regardes le monde avancer alors que t’es totalement absent de cette vie. Pour fêter cette augmentation, ton frère invite tout le monde au restaurant où tout le monde va. Tournée générale ! Au moins, les patrons de cet endroit devaient bien êtres content, cela fait du bénéfice.

« Je suis contente pour toi William ! »

Une petite voix aigüe qui se fait entendre parmi les grosses voix de flics. Willian tourne sa frimousse et affiche un grand sourire, toujours aussi naïf cet idiot.

« Ouais ! J’ai réussis ! C’est grâce à ton café tout les soirs pour tenir Sharon ! 
-Di-dis pas ça !!
-Si et ton sourire le matin aussi !
-Tu me gênes ! »

Sharon, c’est la serveuse un peu timide du restaurant, un peu maladroite. Elle était le genre de fille un peu fantôme, avec ses cheveux en pagaille, son air toujours rêveur et son manque de formes presque trop voyant. Elle avait clairement un crush sur ton frère, tu le trouvas un peu trop aveugle cet idiot. Tu bus ton verre dans un soupir d’amusement, un moment où l’autre il va la remarquer, de toute façon, c’est écrit sur son visage.

Toutefois, on va dire qu’il y a certaines choses que tu ne pouvais pas du tout calculer. C’est arrivé quand tu étais au café avec Sharon qui te resservait un café et trois sucres dedans, tu étais l’homme qui allait au travail en reculant, enfin, quand tu t’ennuyais tu partais par la fenêtre pour aller boire un café. Et ton frère venait te chercher en te tirant par le col, c’était une scène assez comique qui faisait rire Sharon. Mais cette fois là, c’était différent.

« Ikaël ! Bon sang je t’ai cherché partout !
-Bah tu sais très bien où me trouver.
-Je voulais te dire quelque chose d’important…
-Vas y, je pense pas que ce soit si important.
-J’ai une petite amie ! »

Tu manquas de t’étouffer sur le coup. Bien que vu le regard de Sharon, ce n’était clairement pas elle l’heureuse élue. Tu affiches ton visage le plus dubitatif au monde, mais de quoi il parle cet idiot ?

« Ce n’est pas une blague, je suis pas de ton niveau qui dit qu’il va mourir demain pour pas bosser !
-… C’est qui ?
-Une secrétaire elle s’appelle Alice ! Tu la verras au repas de famille ce soir ! Je la présente à maman et papa. Tu viens c’est clair ! »

Il repartit en courant comme il est venu. Bien que ton regard s’est plus porté sur la pauvre serveuse qui avait la tête baissée en train de nettoyer, tremblante. Oui, William était un parfait idiot. Tu bois une gorgée de ton café sucré, la fixant avec un peu trop d’attention. La pauvre devait sûrement retenir ses émotions pour son travail. Te levant de ta chaise, tu posas tes billets et partit du café, pour revenir le soir, où tu l’attendais… Oui, tu arriveras en retard à ton repas de famille, mais tu savais bien que c’était primordial d’attendre là. Elle fait de gros yeux, elle serre son bras, bien que toujours les mains dans les poches, tu ouvris tes bras pour faire comprendre ta pensée. Elle s’y réfugie et pleura tout ce qu’elle a retenu en fin d’après midi.

« Oui je sais, c’est un idiot. »

Tu l’as raccompagnée chez elle, puis tu te dirigeas vers cette maison que tu as quitté depuis un moment. Comme d’habitude, tu rentres sans toquer, contrairement au petit monde ici, tu n’avais pas de femme à ton bras. Tu t’es fais engueuler par ta mère, car tu es encore une fois en retard. Arrivant alors au salon, tu croisas le regard d’une femme plutôt… belle ? Tu haussas le sourcil quand ton regard croisa le sien.

« Le voilà mon frère, il ne connait pas les manières, excuses-le.
-Ce n’est rien. »

Elle avait une chevelure si blonde que celui de ta mère faisait presque trop terne. Des formes à faire tomber tous les hommes à ses pieds. Des yeux verts transperçants, un air presque trop respectable. En la fixant de plus en plus, tu te demandas clairement ce qu’une fille pareil fait avec ton frère. Il n’allaient pas ensemble, mais ta vision était sûrement obstruée par Sharon qui est maintenant brisée. C’est une amie après tout, il est normal de trouver l’autre demoiselle plutôt HS.

« Alice Jakson.  Dit-elle en tendant la main.
-…Tu dois le savoir pour moi. »

Tu t’assois lui foutant le plus gros moment de solitude. Will te hurlas dessus, mais tu ignoras. Tu n’aimes clairement pas l’aura de cette fille, comme quelque chose qui cloche, quelques chose qui ne va pas avec elle. Pourtant, tu te disais juste que c’était la colère qui détournait ton jugement, donc tu laissas couler comme d’habitude. Elle a fait bonne impression à tes parents, votre entourage, oui c’était une fille parfaite, polie, gentille, bref la femme que tout homme voudrait. Bref, ton frère avait de quoi être heureux, c’est ce que disaient tes collègues. Tant mieux ? Tu ne savais pas.

Puis ce jour funeste arrive, le mariage. Il a eu en plus le toupet d’inviter Sharon qui a dit oui pour lui faire plaisir. Bien que pendant toute la cérémonie, tu voyais clairement les perles dans ses yeux qui voulaient s’échapper. C’était à la fois cruel et stupide. Tu détestais les mariages, enfin, tu trouvais cela ennuyant car fallait bien te tenir tout le long. C’est alors que sur un coup de tête, juste avant le dessert, tu es parti en tirant Sharon. Vous n’êtes pas restés, tu ne supportais pas cette soirée. Vous êtes arrivés chez elle, bien qu’elle s’en voulait d’être partie, après tout William sera déçu ?

« Fais comme moi, pense pas à demain.
-Mais…Enfin, il doit plus me voir maintenant… Ce n’est pas grave.
-J’ai des beignets, c’est le dessert.
-C’est quoi ce changement de sujet… Ce n’est pas un dessert ça! C’est du gras ! »

Elle te pousse un peu en riant, bien qu’elle prit un des beignets et croque dedans avec un petit sourire. Tu n’étais qu’un clown en vrai, un clown qui ne supportait pas la situation actuelle des choses. Surtout quand la victime était une personne beaucoup trop gentille.

« Attend, tu l’as acheté quand ton beignet ?
-En ouvrant ton frigo. »

Elle affiche une mine plutôt déconfite, tu étais comme ça, la petite économie était toujours la plus précieuse, surtout quand tu pouvais te servir comme ça chez les gens. Affichant un petit sourire, tu te fais un peu frapper par cette demoiselle qui n’a rien demandé à la vie.

Comme tu le pensais, Will t’as hurlé dessus, tu es parti si vite qu’un fantôme était plus présent que toi. Tu as fait mine de ne rien entendre, bien qu’au fond tu le trouvais de plus en plus enfermé sur lui-même. Ce que tu détestais de plus en plus, il n’y en avait que pour sa pin-up. C’est sûr qu’il était la fierté de tes parents, lui au moins se marie et fait sa famille, contrairement à toi qui regarde les mouches voler à ton bureau. Tu y étais de moins en moins, bien que tu trouvais souvent l’excuse de faire des patrouilles, bien que t’étais plus en train de regarder les matchs à la télé en buvant ton café. T’allais voir même parfois Yule qui restait maintenant chez elle affaiblie. T’étais toujours accueilli par un grand sourire, tu défendais souvent les gens de couleur encore contre la ségrégation, tu étais de ces rares personnes qui ne comprenaient toujours pas même adulte le pourquoi tant de haine sur une différence.

Encore une fois, tu laissais le monde tourner sans rien faire.

C’est alors qu’il arrive vers toi avec un grand sourire un peu trop large. Tu lèves un peu la tête, sorti de ta sieste habituelle du bureau. Il semblait si radieux que c’était presque trop lumineux pour toi. Baillant sans le cacher, le fraternel affiche comme toujours cette mine affligé de te voir si peu soucieux de ton travail, mais reprend un grand sourire.

« Je vais être papa !
-….
-C’est génial !
- zzzzzzz
-…..IKA !!!
-Ah j’ai cru que je rêvais encore.
-S’il te plait Ika, je sais que tu as du mal avec Alice. Mais, fais un effort quand même. Promets-moi de ne pas être… Comme tu es, je veux dire. Lui fait pas trop mal, enfin, promet moi juste de ne pas entacher trop mon bonheur.
-Je suis pas doué pour les promesses. Je sais pas trop. »

Tu te prends un coup sur la tête. Cela en devenait de plus en plus fréquent. Tu lançais des piques en piques, bien que tu étais tout de même heureux, il semble si content de sa petite vie, autant dire que tu es « ravi » de le voir avancer contrairement à toi qui reste stagnant sur le chemin de la vie. Bien que ton crétin de frère l’ait tellement hurlé sur les toits, qu’il fallait s’en douter qu’elle allait être au courant. Tu te disais que ce soir tu iras la voir, histoire d’adoucir les mœurs. Le travail terminé bien qu'il n'avait pas vraiment commencé, tu te rends comme d’habitude chez elle, les mains dans les poches et sans toquer tu ouvres la porte.

« Tu veux aller au resto ? »

Il y a eu comme un gros silence. Regardant un peu partout, tu cherchais cette chevelure châtain. Fermant la porte derrière toi, tu avances pour aller dans le salon. C’est alors que tu remarques Sharon en train de regarder sa table, sur le coup, t’as pas trop réagi. Jusqu'à ce que tu remarques cette substance bien placée sur la table, tu étais un flic, tu savais très bien ce que c’était. Tu saisis si fort le poignet de la pauvre demoiselle perdue qui n’a rien de trouver mieux que de se terminer de façon pathétique. Ton regard était coléreux, croisant celui d’une femme en larme qui se rend compte de sa bêtise.

« Pardon… Je n’ai pas réfléchi »

Dit-elle contre ton torse en serrant ton haut. Les faibles sont des moyens de se fournir de l’argent si facilement, le cartel de la drogue augmente de plus en plus avec les années, cela n’aidait clairement pas la police vu le sous-nombre et la peur des gens face aux criminels. Détournant un peu le regard, tu lui frottes la tête.

« Je. J’en ai marre. J’en ai tellement marre. William est si heureux, alors pourquoi je peux pas l’être ?
-Bah tu l’aimes, tu veux que j’y fasse quoi ?
-Ca fait mal.
-Aller, on va jeter ça et on va aller oublier tout ça au resto.
-D’accord
-Cool c’est gentil de me le payer. »

Un moment de silence, puis un petit rire un peu nerveux de la demoiselle. Tu ne perdais pas le nord. Bien que cela commence de plus en plus à te souler, c’est vrai. Un côté heureux, un côté déprimé, tu étais un peu le milieu, les fesses entre deux chaises, mais tu devais faire avec. Tu n’avais rien à offrir pour le côté déprimé, et tu ne voulais pas faire d’effort pour le côté heureux… C’est soulant.

Quand tu as ouvert les yeux, tu t’es rendu compte encore une fois que le train de la vie a continué encore. Tu es maintenant tonton d’une petite nièce : Ashley. Elle avait la petite frimousse de ton frère quand il était petit. C’est sûr qu’à côté de toi, elle était pleine de vie. C’est fou comme le monde va vite, trop vite pour toi. Non, c’est juste qu’encore une fois, tu ne bouges pas du tout. Le taux de criminalité et de drogués augmente de plus en plus. Vous cherchez, enfin, ton équipe cherche le cartel mais pas moyen de mettre la main sur eux. C’étaient presque des anguilles tellement il se faufilaient devant vos yeux sans se faire choper. C’était presque ennuyant d’être perdant devant eux, vous perdiez tout le temps, il n’y avait jamais de chance de gagner. Cela affligeait ton frère de ne pas pouvoir mettre la main sur les contrebandiers. Tu ne pouvais que comprendre en vrai, tout le monde avait le moral à plat. Déjà que toi tu l’avais depuis trop longtemps, le monde de la justice en prenait un gros coup.

« Vous êtes Ikaël Riddle ?
-Hum ?
-Je suis journaliste ! Vous êtes bien le policier qui a tout abandonné des combats ?
-Euh ouais ?
-Vous étiez pourtant favori ! Pourquoi ?
-Bah tu sembles plus le savoir que moi-même là.
-Excusez moi, j’ai fait mes recherches, je peux vous poser quelques questions ? »

C’était une agression plutôt violente, mais bon, cela allait occuper le temps que t’as trop souvent. Quelques questions sur tout et rien en vrai. Tu ne savais clairement pas pourquoi cette personne s’intéressait autant à toi, c’est plus pour ton frère ce genre de journaliste, enfin, il semblait mieux te connaitre en vrai. Néanmoins, c’était un petit break en plein milieu du boulot, bien qu’en vrai, ce n’était qu’une page de pub avant un certain événement.

Le téléphone du poste sonne comme d’habitude, on t’avait mis à ce poste pour répondre aux gens, c’est sûr qu’ils ne rappelaient pas quand tu décrochais, c’était un bon point au moins. Comme d’habitude, tu attends trois sonneries pour décrocher et lancer un allo le moins motivé du monde. Bien que pour la première fois tes collègues ont pu admirer ton visage se crisper de plus en plus. Tu lâchas le combiné du téléphone pour partir pour la première fois en courant. Oui tu savais courir, tu savais franchir les routes en courant, passer la foule en les bousculant. Jusqu’à enfin arriver devant un lit. Essoufflé. Paniqué. Effrayé. Serrant la barre du lit, tu vois un visage afficher un petit sourire.

« Ika… »

Cette voix faible, blessée ou plutôt meurtrie. Ta vision avait comme l’impression de se flouter. Tu aurais voulu croire à un rêve, mais c’était bien la réalité. Ton petit frère, que tu as tant poussé, que tu as défendu, soutenu était devant toi. Des bandages partout, des brûlures immondes sur le corps, une peine pour juste dire trois lettres attachées. Tu avais les yeux écarquillés. Tu ne voulais pas bouger, malgré le sourire triste de ton frère qui voulait juste pleurer en vrai. Tu as échoué dans le rôle de grand frère. Tu vois un de tes collègues arriver un bras en écharpe, quelques brûlures lui aussi. Le visage tout aussi marqué que ton frère.

« On s’est fait avoir comme des… Merdes. C’était une embuscade. »

Tu te mordis la lèvre, jusqu'à ce que tu voies sa femme arriver vers lui. Cette Alice avec qui tu ne parles jamais. Ton regard avance lentement sur elle, qui s’avance vers ton frère blessé. Bien que tu ne pouvais pas la voir à cause de Sharon, tu la fixais approcher ton frère. Bien que dans son discours de femme meurtrie, il y avait quelques chose… de faux ? Tu ne savais pas vraiment comment dire, il y avait un petit quelque chose qui n’allait pas. C’est alors que Sharon arrive le visage totalement crispé par la peur, elle était toute décoiffée, elle était essouflée… Puis ton regard se balance vers l’autre femme. C’était clairement le jour et la nuit en vrai. L’une était totalement paniqué et n’a pas pris le temps de se faire jolie, contrairement à l’autre qui était maquillé, coiffée et gardait un calme presque trop bien controlé.

« Mon œil… j’ai mal, j’ai mal partout…
-T’en fais pas Will ! on va te soigner ! On est là.
-J’ai échoué… mon équipe…
-C’est pas grave, enfin… Tu es vivant Will. »

Sharon répondait au tac au tac, pendant que l’autre femme était silencieuse avec un sourire qui se veut rassurant. Ikaël serra le poing et sortit de la chambre pour aller dehors énervé, avant de frapper dans un arbre avec toute sa colère.

Cette fois, tu ne laissas pas le monde bouger sans toi. Cette fois-là, Ikaël Riddle vient de se lever et à saisi sa vie à pleine poigne avec colère. Cette fois-là, le monde arrêtera de tourner tant qu’il n’aura pas eu justice et vengeance.

C’est sûr que ce n’était pas une petite masse de boulot que tu as eu à faire. Retourner tout les coins de rue, choper, frapper, hurler. Tu étais animé par la colère, par l’humiliation de ne pas avoir pu protéger ce petit frère qui était le centre de ta vie. Tu vivais la nuit, dormais peu le jour, les cernes étaient de plus en plus présentes. Mais, tu n’avais pas le droit de t’arrêter, tu as assez dormi toute ta vie.  En vrai, tu ne voyais pas la fin de ton périple, on n'allait ne pas accomplir un boulot qui dure depuis des années en quelques jours. Paperasse, arrestation, menace, informateur, tu n’étais plus le toi détendu, tu étais une autre personne. Tu es juste réveillé en vrai.

Cependant, la finalité arriva enfin devant toi. Il faisait merveilleusement beau en vrai, les oiseaux chantaient si fort que d’habitude cela aurait été ta berceuse. Tu étais devant un bâtiment plutôt banal, le genre de bâtiment abandonné le temps d’être rasé. Tu avanças en direction de la porte, sur le coup, tu aurais dû y aller avec une équipe. Mais tu avais confiance en tes capacités. Bien que tu saches que ce n’était que l’amuse bouche, le plat principal n’allait pas tarder sûrement, affichant un petit sourire, tu franchis cette porte où ton destin allait être joué.

Comme prévu, les personnes dedans n’étaient que l’apéritif, ils étaient déjà terminés que tu n’as pas eu le temps de vraiment souffler, quelques coups sur ton corps, des griffures, t’étais un peu amoché, mais ce n’était pas assez pour te faire tomber. Tu allumas une cigarette dans cet endroit silencieux tout d’un coup, c’était presque trop agréable. Tu fermas un peu les yeux pour apprécier. Jusqu’à ce que le bruit de la porte s’ouvre avec un grand fracas. Tu tournes ton visage lentement vers le bruit, terminant ta cigarette. Tu attendais bien voyant, tu voulais être vu, tu voulais jouer avec le feu.

« J’ai toujours du mal à tenir mes promesses en vrai. C’est dommage, Will va encore me hurler dessus de ne pas tenir ma parole. Belle journée n’est-ce pas Alice ? »

Tu vois le visage adouci de cette femme se peindre de surprise et de peur. Sur le coup, tu avais comme juste envie de prendre une photo de sa tête, elle a perdu le contrôle de sa personne. Le petit jeu était terminé. Affichant un petit rictus nerveux, la femme reprend vite pied, fermant la porte derrière elle. Bien qu’elle n’a pas perdu de temps en pointant une arme sur toi.

« Je ne sais pas comment tu as réussi à venir ici, mais je te félicite. Ravis de voir que tu es plus intelligent que ton frère. Mais vois-tu, cela est dérangeant que ma couverture soit révélée maintenant.
-C’est pas comme si cela m’importait grand-chose.
-Certes, mais tu vois des années de travail, de massacres, de corps pour arriver à là, je t’avoue que cela me dérange que tu la ruines. Tu vois les gens comme toi, je préfère les éliminer. De toute façon tu as toujours été la plus grosse gêne de mon plan. Tout comme ton frère en vrai.
- C’est de famille tu vois. » tu l’entendis rire un peu.
-Oui, il est bien utile ton frère. Comment il a pu finir aussi gradé avec autant de stupidité ! C’était si facile de le faire tomber dans mes filets.  Puis ap-
-Ecoutes je m’en fous de ton plan, tu peux tout me dire. Tu vas juste passer un sale quart d’heure.
-Ooooh, le grand frère est en colère ? Tu tentes de récupérer ton moment d’absence quand ton frère en avait besoin ? »

Elle affiche un grand sourire, tu voyais bien sur son visage qu’elle allait tirer sur ta personne. Le moindre mouvement allait sûrement être la fin pour toi, une seule balle et cela sera la mort. Il ne te restait pas beaucoup de choix en vrai, parler, ou courir avec une chance de te prendre une balle entre les yeux. Toi qui n’étais pas social en vrai.

« On va dire, que je déteste particulièrement qu’on s’attaque à ma famille.
-Han, pauvre chou. Mais tu sais, tu perds ton temps. Tu n’as pas de preuve contre moi.
-Si je crève je vais dire que cela en est une.
-… Je peux très bien dire que tu as tenté de me tuer, que tu étais pris d’une rage et que tu t’en es pris à moi.
-Ah ouais… Avec ton jeu d’actrice parfaite.
-J’ai déjà gagné, depuis longtemps, donc tu ne peux récupérer ma victoire. »

Tu fouillas doucement dans ta poche pour sortir un rouleau de feuille. Lui montrant clairement que ce n’était que du papier. Elle haussa un sourcil un peu dubitatif, bien que tu commences à réciter des conversasions écrite dessus.

« C’est…
-Des conversations téléphoniques, on va dire que c’était très facile de t’écouter. C’est grâce au massacre de ton corps que je suis ici. Tu sais, ta fille que t’as sûrement oubliée pendant la préparation de tes plans. Une p’tite adorable en vrai.
-…Cette peste... » Elle rit encore « Si je te tue je pourrai récupérer ces feuilles. »

Un coup de feu résonne dans la pièce, ce n’était pas du tout son arme à elle qui c’est fait entendre. Tu la fixe le canon de ton arme à feu pointer, tu as tiré à côté, comme pour l’effrayer. Un petit sourire sur ton visage, elle a eu peur, elle ne s’y attendait pas. Tu n’as fait qu’une petite diversion.

« T-tu sais que si tu me tues, ton frère t’en voudra toute ta vie. Il m’aime cet idiot ! Tu ne vas pas tuer la mère de ta nièce aussi ?! Tu es coincé. Tu seras un criminel aux yeux de ton frère. Et jamais je ne me rendrai à la police pour tes beaux yeux ! »

Elle semblait si sûre d’elle, elle a gagné ? C’est sûr que si tu lui fais du mal, ton frère t’accusera, ton frère ne te pardonnera pas, tu ne pourras pas regarder ta nièce avec les mains tachées du sang de sa mère. Elle avait la protection de ta propre famille devant elle. Tu éclates de rire. Ce qui l’a surprise sur le coup.

« C’est vrai.  Si je pouvais te tuer maintenant, je le ferais. Mais c’est désapprouvé dans plus de cinquante états en plus d’avoir le mur de ma famille. »

Tu retiras le mégot encore brulant de ta cigarette en la regardant avec un sourire presque trop mesquin sur ton visage, un sourire qui ne va pas du tout avec ton visage. Ou tout simplement que celui-ci n’était pas du tout habitué à ce genre de mimique.

« Cela dit. » Tu jetas ton mégot devant elle. «  Brûles en enfer.»

Le déchet percute le sol, qui s’enflamme d’un coup. Tu as tiré derrière pour faire tomber les bidons que tu avais bien placés de façon à pouvoir en un seul coup la terminer. Ses cris étaient insupportables, elle se roula part terre, l’odeur était immonde. Tu avances tranquillement les mains dans les poches. Sortant alors ton insigne que tu jettes dans le bâtiment où le feu se propage de plus en plus, mangeant toute preuve et malin de ce lieu.  Tu tiras ta capuche et te dirigeas vers le dernier endroit où tu devais te rendre.

Ton regard grisé regarde par la petite fenêtre de la porte de la chambre de ton frère. Tu y voyais Sharon entrain d’éplucher une pomme pour ton frère qui rit en la voyant galérer. Affichant un petit sourire, tu commences à faire demi-tour, jusqu'à ce que tu sens le tissus de ton haut se faire tirer.

« Tonton !
-Ashley, tu n’es pas avec ton papa ?
-Je t’ai vu à la fenêtre ! Je veux mon paiement !
-Tu perds pas le nord.
-Comme toi ! Tu ris de sa réponse et sort le chocolat de ta poche.
-Merci Ash
-De rien !
-Je peux te confier une autre mission agent Ashley ?
-Ouiiiii !
-Surveille bien papa et Sharon pour moi veux-tu ?
-Oui je l’ai protégerai comme toi !
-C’est bien. »

Tu lui frottas la tête, avant de te faire tirer pour un câlin.  Un petit sourire s’affiche sur ton visage. Tu la serres tout aussi fort qu’elle avant de partir de ce lieu. Quelques jours plus tard, tu étais marqué décédé et une grande partie du cartel était dissous, bien que tu n’as pas arrêté le trafique, tu l’as en partie ralenti. Une cigarette entre tes lèvres, tu regardes au loin une scène plutôt triste. Tous vêtus de noir, les gens pleure, se réconforte, se retient de pleurer. Tu le vois bien. Surtout un qui serre les poings, qui tente de se montrer fort. Se mordant la lèvre, voulant être l’homme, il devait parler.

« J-Je. Ikaël était une personne qui malgré son caractère plutôt nonchalant et sa façon d’être était toujours la personne sur qui compter. Je me suis toujours disputé avec pour un oui ou pour un non. Il a toujours réussi à me faire des cheveux blancs. Il était insupportable. Pourtant, il était mon grand frère. Malgré le fait que je me demandais parfois s’il n’était pas un adopté. J’étais fier qu’il soit mon frère, je n’ai jamais vraiment pu lui dire qu’il était pour moi un modèle. Il était fort, il avait une façon d’être agaçante, mais je savais qu’il était toujours là pour moi… Hélas, je me suis rendu compte trop tard qu’Ikaël à toujours tout fait pour mon bonheur… et moi égoïstement, je me ne lui ai jamais dit merci pour tout ce qu’il a fait… Maintenant il est trop tard. Je suis désolé Ikaël. Pourtant, je vais cette fois arrêter d’être un idiot, je vais te montrer que maintenant que je peux être fort comme toi ! Je te le promets ! 
-... T’es pas possible Willidiot. »

Tu le voyais pleurer un peu comme un bébé en vrai, bien qu’il se fait saisir la main pas Sharon qui veut se montrer forte. Ces deux-là t’en auront fait voir des vertes et des pas mûres durant ta vie. Vie que tu n’as fait que tourner autour de gens que tu voulais pousser vers le haut. Jetant ta cigarette dans une poubelle, tu te diriges vers une personne que tu as déjà vue plusieurs fois. Ce fameux journaliste, qui pose trop de question. C’est lui qui t’as permis de pourvoir faire ton plan comme il faut, car pour être mort, il faut disparaitre. Il t’offre cette possibilité en allant dans.. Une sorte d’autre dimension ? Sur le coup, t’étais dubitatif, mais tu préfères te laisser tenter, par amusement ou par curiosité. De toute façon, tu n’avais plus la place dans ce monde.

Tu ouvrais les yeux, la vie est encore allée trop vite. Te voilà maintenant Responsable de la sécurité, pourtant 6 ans se sont passées. Tu as gravi les échelons, car tu n’avais plus personne à monter dans la lumière. Tu as appris à vivre dans ce monde bien étrange, différent surtout. Tu ne sais pas si tu es heureux de ta vie, en fait, tu es juste passif envers ta petite vie bien à toi. Tu te demandes tout le temps si Will et Sharon vont bien, si Ashley va bien aussi. Bien que maintenant, tu avais autre chose à penser. Enfilant tes pantoufles, un sachet de friandises dans la main, tu te dirigeais au boulot, on va sûrement encore une fois te faire une remarque, pourtant ils devraient être heureux

Car tu t’es levé ce matin.
.

Saluuuuuut, alors moi c'est Lyria, Pas le Tgv. Même si c'est Stylé d'avoir un TGV pour soi même ahem. Cela fait des mois que je tournes sur ce fo, qu'à chaque predef que je voulais prendre...Bah on me le prenait, donc j'ai dit : Si c'est ça je fais un OC et je boude. Donc j'ai fait mon OC, et je boude. Puis je me suis dit que bouder, bah ça va pas m'aider à avancer, donc j'ai arrêté de bouder et j'ai commencé à me faire mon Vava et...

Okay, je raconte BEAUCOUP ma vie ahem. Donc je suis Lyria j'ai 22 ans, je travaille avec des horaire Yolo, donc il peut m'arriver de ne pas être dispo une semaine sur deux. J'espère avoir bien comprit votre contexte, même si la première chose que je me suis demander :
On fait comment pour faire ses courses si y a plus d'argent? Genre pour manger un pizza QwQ Puis, je me suis dit que ça fait vraiment morfale de penser cela.
Ah et aussi, votre Ozo qui m'a beaucoup aidé pour poser mes valises... Bon, on va arrêter de tout raconter, je dois bosser Ikea !

Ah et pour pas que vous soyez surprit, mais je fais de très très très très longue fiche... Voilà, donc je vous dis juste : RIP

Dim 1 Mai 2016 - 23:17
LYRIAAAAAAAA KRKRKRKRKR ♥️♥️♥️

Avec un peu de chance, j'aurais un réveil qui ne fait pas de bruit pour mon Anniv Hug_attack__1_by_ruuruu_channie-d97ug6m

Je t'aime
Bienvenue
POURQUOI TU VEUX ENCORE JOUER UN PATRON DE MON PERSONNAGE QwwQ
En plus avec un caractère comme celui de ton personnage ça promet des étincelles
N'assommes pas trop les admins avec ton histoire (je sais que tu as tendance à faire long haha)
Heu
Je t'aime ?
Ah mince déjà dit
Avec un peu de chance, j'aurais un réveil qui ne fait pas de bruit pour mon Anniv 1495490161 /bus/
♥️ :'D
Dim 1 Mai 2016 - 23:23
Dans la présentation de Paul, je disais justement que la taille 1,95m était très populaire et que nous n'avions pas de personne de 1,96m... voilà qui est fait, merci beaucoup. Cool

Tout d'abord, bienvenue. Brille Tu as eu du courage pour résister aussi longtemps, dis donc (fais-tu partie des personnes raisonnables ?). Je déclare en tout cas officiellement que tu as la poisse (mais il est vrai que les prédéfinis partent plutôt bien chez nous). En tout cas, si tu nous dis ce que tu aimes en prédéfini, et si jamais on refait une nouvelle fournée (mais ce n'est pas pour sitôt), on essaiera de faire quelque chose qui te plaise.
Ceci dit, vu le caractère du personnage, c'est tout aussi intéressant. Bon courage pour la suite. I love you
Dim 1 Mai 2016 - 23:24
Le drame pour les prédéfinis. Pleure (sinon, si tu veux en réserver un, un jour, il suffit de demander, on accepte toujours. Malicieux )
BIENVENUE (ton surnom sera officiellement Ikea, je suis trop dyslexique quand je lis ton prénom) et je vois que tu prends le responsable sécurité (celui qui est en poste depuis un an, je préfère rappeler Malicieux ), très bon choix, j'approuve totalement. Agonise
& trafalgar law est un avatar qui me fascine énormément, tellement de potentiel, tellement de classe, tellement parfait quoi. Cœur
Lun 2 Mai 2016 - 0:03
BIENVENUEEEEEEEEE
t'es classes, t'as trafalgar, ton ava est hypra swag, que dire de plus ???
ah oui, le violet te va bien, et quand t'auras fini je viendrai direct lire ta fiche
voilà, bon courage sinon
love Bave

EDIT — TU FAIS 1CM DE PLUS QUE MOI MAIS KESKE.
Lun 2 Mai 2016 - 10:54
Vice Directrice y en a être très la joie de voir le nouveau responsable de la sécurité ♥️ (ce mec est tellement aux antipodes de l'ultime d'Ama xD) et pis j'aime bien voir ma troupe de larbin... de subordonné s'agrandir de jour en jour Avec un peu de chance, j'aurais un réveil qui ne fait pas de bruit pour mon Anniv 730758319

Bienvenue du coup jeune pomme, et bonne chance pour ta fiche, et au plaisir de te voir passer sous mon bureau o/
Mar 3 Mai 2016 - 19:32
bienvenue avec ce personnage qui a l'air trop cool Agonise
mais gandalf c'est très swag comme nom de code, tu devrais garder ça Malicieux
Mar 3 Mai 2016 - 19:49
Ikaël Riddle a écrit:On fait comment pour faire ses courses si y a plus d'argent? Genre pour manger un pizza QwQ Puis, je me suis dit que ça fait vraiment morfale de penser cela.
Je viens de me rendre compte que j'ai oublié d'y répondre. Malicieux #boulet
Mais il y a de l'argent à Pallatine. La monnaie reste en circulation. Ce qu'il n'y a pas, en revanche, c'est un organisme émetteur et une autorité qui fixe les règles de sa production et de sa mise en circulation. Le numéraire (donc les pièces et les billets) sont présents à Pallatine. Il y a donc plein de monnaies différentes, la majorité viennent de Terre, mais on compte également une grosse activité de faux-monnayage (le domaine de mon perso Malicieux ) car la détecter n'est pas aisée, et il n'y a jamais assez de monnaie de toute façon.
Pour les échanges, on procède généralement de la même façon, à savoir que les prix sont exprimés en dollars, et ensuite on effectue des conversions (les taux sont fixes, simplifions un peu) dans les autres devises. Après, ça dépend, par exemple, deux groupes de l'Iwasaki vont privilégier le yen comme référence, tout dépend de qui échange. =)
Voilà, le petit topo qui t'explique comment payer ta pizza, bon appétit. Malicieux
Jeu 5 Mai 2016 - 0:30
Ooooh quel acceuil :
Avec un peu de chance, j'aurais un réveil qui ne fait pas de bruit pour mon Anniv 1462400471-tumblr-na8scwzrtt1sqx8y7o1-400

Ozo > bonsoir.
Avec un peu de chance, j'aurais un réveil qui ne fait pas de bruit pour mon Anniv 1462400587-rs-500x230-131112140443-rs-500x230-131111125727-tumblr-mii37tbdhe1r3z0fko1-500
On se suit partout en vrai on se quitte plus ♥

Naga : J'aime rendre service en mettant 1,96m sachant qu'au début j'avais mis 1,99 XDDD Bah en fait, j'ai résisté en mode imposé avec ma malchance ;w;

Seung > Oh mon dieu merci, je vais pouvoir m'acheter une pizza maintenant ma vie est refaite QwwwQ C'était ma question la plus importante en plus, je suis refaite XDD Et je savais que j'aurais du le faire Suedois. Et Law c'est la vie ♥

Seth > Ne dis rien, je suis sexy /SBAF/ Et j'aime trollais avec mon cm ♥

Khàos > je kiffe ton pseudo QwQ Donc toi, tu es ma patronne, pourquoi tu as engagé un mec pareil ? (non me refuse pas sinon je me met en PLS T^T)

Cassandra > Bah en fait Ozo m'a dit aussi de le garder, donc je garde Gandalf, juste pour l'epicness (et que je dois aller dans le ridicule à fond "sort")

Voilà voilà
Merci tout le monde
Avec un peu de chance, j'aurais un réveil qui ne fait pas de bruit pour mon Anniv 1462401009-tumblr-neoj0fjmeg1t4o62mo1-250

Ps : juste pour dire je suis a la limite limite du post... Un mot de plus et j'aurais du squatter Ozo, je te squatte déjà Kid's ♥
Jeu 5 Mai 2016 - 22:11
Du coup maintenant, tout est bon. Malicieux En tout cas tu as donné un sacré background à Ikea Ikaël, la Alice c'est vraiment une saleté. Mort de rire Le rôle est à toi, et tu vas pouvoir embêter Ozo, martyrise-le bien, ce sale gosse. Malicieux

Ikaël Riddle

a reçu son permis de séjour à Pallatine

icon 100*100

Ce permis de séjour vous donne le droit de résider à Pallatine, de trouver un emploi et d'appartenir à une diaspora. Il atteste que vous êtes apte à vivre par vos propres moyens en ville. Nous vous rappelons que ce permis est obligatoire pour toutes vos démarches administratives auprès de l'Institut.

Si vous trouvez cette carte, merci de la déposer à l'Institut.

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