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la flamme par torrents jaillit de ce cratère. (sidney)

Lun 2 Mai 2016 - 12:38
Sidney

Sidney Abaddon

feat Tokura Misaki | Cardfight!! Vanguard

Caractère

Un jour, un feu s'est allumé en toi, et tu n'as plus jamais réussi à trouver le moyen de l'éteindre.

Tu as vécu des années dans une forme de demi-silence. A entendre sans entendre. A deviner plus qu'à comprendre. A lire sur les lèvres plutôt que de tendre l'oreille. Cette gymnastique t'est devenue quotidienne ; pourtant, tu continues à en souffrir. Car tu refuses de quémander de l'aide ; tu ne supportes pas les regards de pitié lorsque tu expliques que tu as un problème, par peur de rencontrer la déception inévitable lorsque tu expliques que oui, tu peux quand même entendre.
« Ah, je te croyais sourde. »
Mais non, tu ne l'es pas.
Si tu l'étais, ce ne serait pas mieux, cela dit.

Tu n'as jamais appris à signer.
Tu as appris à parler avec lenteur, en te trompant sur certaines syllabes.
Alors tu as appris à parler autrement.
Tu as dompté le feu, dont tu aimes la chaleur et les vacillements des flammèches volatiles. Périlleux mais nécessaire. Tu as voulu te rendre maîtresse de ce tigre qui bébé tremblotait dans l'âtre de la cheminée du vieux. Fidèle allié sans lequel tu ne t'imagines plus vivre. Incarnation de tes désirs, de tes rêves - de tout ce que tu ne saurais exprimer.

Car malentendre t'a contraint au silence et au manque d'expression. Tu es cette fille calme et digne, dont la froideur parfois effraie. Toujours trop sérieuse, toujours trop dure - que ce soit avec les autres, avec ton frère, avec toi.
Tu es glace, et quand tu parles, tu exprimes tant de ressentiment que tes paroles font l'effet d'une tempête de neige dont on ne s'extrait qu'avec difficulté.
Tu as peur des expressions qui animent ton visage comme des femmes craignent l'apparition de leurs rides. Toi, ce sont les plis de ta peau qui t'effraient. Tu voudrais être aussi lisse qu'un champ enneigé vierge de tout contact. Tu t'effraies de ce que cela témoigne de toi. Tu as peur de ce que l'on pourrait lire dans ton cœur. Tu n'aimes pas ne pas maîtriser ce que tu dis, parce que la réaction des autres t'échappent en partie.

Tu as été taillée dans la roche, à même la montagne. Et si tu es pure, tu es aussi frustre. Matière première à l'état brut.
Tu ne t'embarrasses de manières. Polie, car rompue aux politesses, tu ne cherches pourtant guère la délicatesse. Ce n'est pas de la fragilité que tu veux dégager. Alors non, tu n'es pas tout en retenue et finesse.
Ta franchise a le tranchant de l'acier.
Tu ne mens jamais.
Tu te bats un peu aussi - les poings sont toujours plus aisés à comprendre que des mots à demi-étouffés.
Au quotidien, tu n'as pas besoin de grand chose. Tu n'as même pas besoin de la présence de ton frère à tes côtés : le savoir loin mais en pleine forme te suffit amplement. Tu n'as jamais été très altruiste, et lui et toi, vous êtes durs.
Et vous avez une certaine pudeur. Vous n'aimez pas dire que vous vous êtes liés par un amour fraternel. Tu n'apprécies pas d'exprimer tes sentiments pour quelqu'un. Tu préfères t'enfermer dans le silence.
(Encore une fois.)

Sidney

Âge: 16 ans
Naissance: 12.04.1999
Arrivée: Native
Présence en ville: 16 ans
Nationalité: aucune, mais a des origines en partie inuit.
Métier: altermondialiste en formation, sans fonction particulière. Elle adore en revanche brûler des champs, à tel point que certains la considèrent comme une pyromane professionnelle.
Statut civil: Célibataire (mais pour combien de temps ? (a))

Groupe: Altermondialistes
Section: Jeunes
Rang: Membre
Nom de code: Nergüi - cela veut dire sans nom en mongol.

Taille: 1.72
Corpulence: grande & élancée
Cheveux: d'un blond quasi blanc
Yeux: bleus
Autres: /

Histoire

Le vieux n'avait pas de nom. On l'appelait juste le vieux, parce qu'il avait la figure pleine de rides et une voix éraillée, brisée par la vie ; il se mouvait cependant comme s'il était raisonnablement jeune. Le vieux était l'homme le plus dynamique du petit hameau niché au creux d'un vallon, le seul à braver les rigueurs de l'éternel hiver, et le seul à oser descendre les reliefs pour rejoindre la vallée. Un modèle d'exemplarité pour les autres habitants du hameau.
Le vieux vivait seul dans un chalet rustique. C'était à peine s'il y avait l'électricité et l'eau courante dans son honorable demeure ; quant aux autres réseaux, les conditions climatiques difficiles avaient découragé les autorités de Pallatine à les y implanter. Le hameau était trop en altitude, trop isolé, et ne comptait qu'une vingtaine d'habitants adeptes d'un mode de vie archaïque. On se chauffait au bois, on n'employait jamais téléphone portable ni internet. Peut-être était-ce une communauté un peu utopique, un peu décalée, prônant le bonheur comme raison de vivre. Le vieux aimait se lever et observer longuement les pans de neige qui enveloppait son hameau tel un cocon.
Mais peut-être se sentait-il seul. Un jour, alors qu'il revenait de la chasse, il tenait la main à une petite fille visiblement blessée, en pleurs, qu'il amena chez lui et soigna. Il l'appela Nergüi. Un jour, alors qu'il revenait de la plaine, il tenait la main à un petit garçon que ses parents avaient abandonné sur une route. Il respecta le nom du garçon, qui était Kalev.

Nergüi était la fille d'un couple qui habitait un peu plus haut encore dans la montagne. Le vieux connaissait bien la famille ; il avait assisté à la naissance de l'enfant, s'était émerveillé de son calme. On aurait dit que le nourrisson ne réagissait pas même lorsqu'on faisait tomber quelque chose à ses côtés. Elle était adorable, la fillette. Elle ne pleurait pas beaucoup. Elle dégageait une aura d'absolue sérénité. Elle ne riait pas non plus vraiment. Mais on voyait une lueur d'agrément lorsqu'on la prenait dans les bras.
Une avalanche avait rayé de la carte la maison de ses parents.
Elle était la seule survivante.

Le vieux n'avait jamais eu d'enfants. Il n'avait jamais eu de femme, ne s'intéressant pas vraiment aux questions de l'amour. Toutefois, au crépuscule de sa vie, il regrettait de n'avoir jamais eu l'occasion de transmettre son héritage à quelqu'un.
Il comprit très vite le bonheur qu'il pouvait y avoir à être parent.
Oui, les enfants étaient éreintants, ils n'écoutaient pas toujours, couraient dans tous les sens, et n'avaient nullement conscience des dangers qu'ils encourraient lorsqu'ils s'éloignaient du hameau.
Oui, les enfants étaient incapables de se débrouiller par eux-mêmes, et il fallait investir toute son énergie à les mettre sur la voie.
Certes.
Mais transmettre le feu sacré était aussi une forme de reconnaissance de ses propres connaissances. Pour la première fois, le vieux sut ce que cela voulait dire d'être sage. De dédier sa vie à quelqu'un d'autre.

Nergüi n'entendait pas toujours tout.
Kalev ne cessait de répéter qu'elle le faisait exprès, qu'elle voulait juste attirer un peu plus l'attention sur elle. Mais le vieux savait que cet argument s'appliquait en réalité au garçon lui-même. Inquiet de la voir à demi-attentive, ayant peur qu'elle ne l'ignore. Elle avait simplement du mal à les percevoir, Nergüi. Comme si elle les observait à travers une vitre. Elle voyait tout, mais elle entendait moins. Certains sons filtraient quand d'autres se heurtaient au mur. Mais ils étaient patients avec elle. Le vieux surtout. Lui-même commençait à moins entendre.
A s'enfoncer dans les ténèbres de son existence.

Les deux enfants approchaient de leur septième anniversaire.
Et le vieux les réunit un soir autour d'un feu. L'ambiance était solennelle : il avait revêtu ses plus beaux habits, c'est-à-dire les moins usés de tous, et avait fait l'effort de peigner sa longue crinière blanche. Installé en tailleur, il les avait longuement regardés, profitant de l'inhabituel silence pour tenter de deviner ce qu'ils allaient devenir. Il voulait toucher du doigt cet avenir qu'il n'aurait sans doute jamais l'occasion de voir. Et pas uniquement parce que sa vue baissait.
Il leur tint ce discours.
« Vous n'avez jamais connu que la montagne. Mais vous ne pouvez pas lui offrir votre existence si vous n'avez jamais rien connu d'autre. Vous devez découvrir l'autre vie, la vie de ceux de la plaine. Je vous demande dix ans. Vous avez dix années pour découvrir leur mode de vie et décider ensuite de ce que vous voudrez faire. Rester en bas. Ou revenir vivre avec moi. »
Les enfants l'écoutaient dans un silence religieux. Incapables de comprendre que tout ceci n'était bien sûr que de la poudre aux yeux. Une mise en scène digne de leurs jeux d'enfants, afin de les convaincre de partir.
L'idée d'une quête excitait leurs cœurs.
Les poussait au départ.
Quitter le vieux était un déchirement, mais l'aventure, comprenez-vous.
L'aventure compensait tout.

Désormais seul, le vieux pouvait fermer les yeux.
Il savait qu'il avait condamné les enfants à une vie difficile. Il savait aussi que s'ils étaient restés, leur existence aurait été semée de bien pires embuches.
Tout du moins n'avait-il plus besoin de s'inquiéter de ce qu'ils deviendraient d'ici à quelques mois.
Le vieux savait qu'il allait mourir.

- - - - -

Certaines vies sont destinées à l'errance dès qu'elles éclosent.
Parce qu'elles sont trop insignifiantes, parce qu'elles ne sont pas assez ostensibles. Certains parviennent à ravir l'attention du monde entier par leur simple présence, quand d'autres s'engoncent dans la nuit. Kalev, Nergüi, ils étaient destinés à l'indifférence.
Deux enfants inconnus, débarquant soudain entre les murs de Pallatine.
Mais qui allait s'en soucier ?
Ce qui choqua le plus les deux enfants alors qu'ils arrivaient à Pallatine, ce fut l'impolitesse générale. Nul ne prenait la peine de dire bonjour à son voisin, à lancer un sourire à ceux qui leur venait en aide - pas même un merci ne jaillissait du seuil de leurs lèvres. Tout baignait de désaffection ; les gens n'étaient que des ombres cohabitant les unes avec les autres, sans jamais se connaître, sans jamais se rencontrer. Une société moderne, glacée jusqu'à l'os, déshumanisée.
Leurs âmes pures de montagnards se heurtèrent pour la première fois à la réalité.
Et ils comprirent le sens des paroles du vieux.

Ils avaient faim, trop faim.
Ils n'avaient personne pour les nourrir, alors ils devaient travailler.
Mais à sept-huit ans, allez trouver un emploi stable et bien rémunéré.
Pallatine ne fait pas la charité.
Alors des fois, il faut accepter les miettes de pain que l'on vous tend, et ployer sa fierté sous le poids de l'affront. Nergüi et Kalev, ils ne savaient pas comment faire. Ils essayèrent. S'efforcèrent de respecter les autres, d'appliquer les principes du vieux. Recréer l'ambiance paisible du hameau où tous se connaissaient, et où tous s'entraidaient.
Mais non.
Ils sombraient.

Elle a changé, Nergüi, elle s'est désintéressée du monde.
Elle est devenue cette fille enfermée dans un éternel mépris, dardant des yeux dénigreurs sur Pallatine. Cette fille qui volait à l'étalage sans le moindre état d'âme. (On ne réfléchit pas, quand on a faim.) Cette fille que l'on ne voyait pas vraiment, fantôme sévissant presque impunément dans les rues d'une cité sans foi ni loi. Elle était transparente, Nergüi, y compris à ses autres yeux.
Elle n'était plus Nergüi, en fait.
Toute gentillesse, toute générosité avait quitté son cœur, et si elle conservait encore quelque dévouement pour son frère, elle ne se souciait plus de rien. Elle pouvait laisser le monde crever.

Elle n'entendait pas tout, mais elle entendait.
Ce n'était jamais assez.
On se lassait de toujours lui répéter les mêmes choses, sans comprendre qu'elle n'avait besoin que de bien entendre.
Elle en avait un peu assez. Alors elle se faisait comprendre de ses poings fermés. C'était toujours plus puissant.
Le monde et son intolérance l'agaçait.

Parce qu'ils ne pouvaient plus être Kalev et Nergüi, ils changèrent de nom.
Un jour, ils entendirent un libraire parler d'Abaddon. Ils ne connaissaient rien de lui, et sans doute cela leur était-il égal. Ils n'étaient pas enfants de science. Mais le mot leur parla, et ils s'en drapèrent comme d'un manteau. Recréant un lien familial fictif, devenant sans doute une vraie famille.
Elle s'appela Sidney, parce que ce prénom en valait un autre.

- - - - -

Question pour un champion :
Quelle diaspora accueillerait deux enfants sans abri sans un regard en arrière ?
Certainement pas les opportunistes et leur obsession de fortune.
Ni les criminels qui ne chercheraient jamais à les exploiter.
Ni même l'Institut et ses formalités administratives à n'en plus finir.
On les prend pour des hippies, les altermondialistes, mais en attendant, ils étaient là pour ces deux enfants.

Il tenait une petite boulangerie. Il était âgé d'une trentaine d'années, menait une petite vie épanouie très classique, avec femme et enfants - l'incarnation même du stéréotype. Il n'était pas particulièrement bon, mais il était idéaliste. Ça suffisait.
Il ne cautionnait pas le vol, évidemment.
Mais il pouvait en comprendre les raisons.
Il détestait Pallatine autant qu'il l'aimait. Il détestait la réalité autant qu'il affectionnait l'utopie qu'il concevait pour elle. Il désirait un endroit qui ne serait pas dirigé par l'argent et les désirs de chacun. Irréaliste sans doute ; mais se donnant la force de ses convictions.
Quand il vit les deux enfants tenter de voler un bout de pain, il s'intéressa à eux.
Profiteurs ou victimes ?
C'était à lui d'en juger.

Dire qu'ils lui ont accordé leur confiance serait erroné.
Ils ont simplement profité de l'opportunité qui se présentait à eux.
Quand le boulanger se présenta à eux, l'hilarité menaça de les dévaster. Après des années d'errance, enfin, on osait leur venir en aide ? Où étaient-ils pendant tout ce temps, pendant qu'ils se sont perdus dans l'indifférence générale ? Où étaient-ils quand ils ont cru mourir seuls à de trop nombreuses reprises ?
Ce ne fut que la perspective d'un toit et d'une rémunération fixe qui les convainquit de rejoindre les rangs des altermondialistes.
Sidney, elle n'était pas persuadée qu'elle pourrait en venir à aimer ces idéaux.
Du moins les respecte-t-elle, maintenant.

Sidney est au-delà de toute rédemption. Elle ne peut plus reculer. Elle avance sur son propre chemin, à demi-vide. Elle s'est éloignée de son frère, ils ont moins à se dire. Ils ne se soutiennent plus autant.
Elle ne peut plus accorder sa confiance.
Elle ne peut plus tendre la main vers quiconque.
Elle ne fait que suivre les directives - ne pas réfléchir vaut parfois mieux.
Elle est heureuse, parfois.
Et parfois elle regrette le temps de la montagne.
(Même si ce temps s'efface de plus en plus de sa mémoire.)

C'est dans la violence qu'elle s'illustre, Sidney.
Ses mots sont tranchants comme une lame. Ses poings sont plus durs que la roche de sa terre natale. Ses regards sont plus mortels qu'un poison.
Elle a rejoint un sous-groupe de jeunes dont la passion est la dégradation. Détruire est leur credo, anéantir est un mode de vie. Elle s'est sentie à son aise au sein de ce groupe qui ne s'embarrasse pas de complexes. Elle a eu le droit de faire ce qu'elle veut. Alors elle a commencé à détruire, elle aussi.
Par le feu.
Quand elle incendie, elle rit.
Elle rit parce que c'est elle qui a le pouvoir, contre cette ville qui se tord et gémit sous ses actes.
Elle est toujours heureuse dans ces moments-là.
Elle ne regrette plus rien du tout.
(Car le temps de la montagne s'est effacé de sa mémoire.)

C'est encore Kaër ou Sneug, et euh, voilà, j'ai presque honte parce que je ne fais jamais de triple compte aussi rapidement, sauf que je l'ai fait. Mais il me fallait une fille. Et elle est cool. Et Misaki est cool. En fait peu importe. J'vous aime. ♥

Lun 2 Mai 2016 - 12:39

j'ai
tellement hâte
je t'ai déjà dit ce que je pensais du caractère, alors je vais attendre l'histoire mais je peux déjà te dire que ça sera parfait ♡
(et que le vieux est creepy voilà)
encore bienvenue chez toi ♡
Lun 2 Mai 2016 - 12:40
Ma lointaine cousine. I love you
Lun 2 Mai 2016 - 12:44
COMMENT CA TU BRÛLES DES CHAMPS, SALE DÉLINQUANTE Quoi ?! Quoi ?! Quoi ?! T'APPROCHES PAS DES MIENS OU TU VAS LE REGRETTER Feu Feu Feu

Et du Vangard comme avatar, pourquoi ça ne m'étonne pas ? Rolling Eyes

Bref sinon ton perso est super cool Cœur Cœur

Rebienvenue quand même, hein. I love you
Lun 2 Mai 2016 - 13:18
Owiii des TC **
BIENVENUE 8D /bus/
Bon je te surnomme Baegas alors tu doutes pas que je t'aime je pense. ♥ -sors-
Lun 2 Mai 2016 - 13:30
Re-bienvenue aussi chez toi c:
Prendre Misaki est une excellente idée ! ♥
Encore un personnage que j'aimerais bien rentrer en rp c: ♥
Allez, continue à bien bosser comme ça sur ta fiche ! èAé)/

Lun 2 Mai 2016 - 16:55
la flamme par torrents jaillit de ce cratère. (sidney) 2307667433

Sara mon amour, on verra ce que tu diras du vieux quand tu auras lu son histoire. la flamme par torrents jaillit de ce cratère. (sidney) 3416388633  J'ai hâte aussi, mais je saurai patienter, je pourrais attendre toute ma vie pour toi. Cœur

Lointain cousin il est vrai que nous avons un air de ressemblance assez fort (les cheveux ? non, non.). I love you

Wiwi TES CHAMPS DE SALE RICHE TU SAIS CE QUE J'EN FAIS & bon, ça ne t'étonne pas parce que cette base c'est toute ma vie (ou presque) (bon y'a yugioh aussi hein). Mais c'était pas elle que j'envisageais à la base. Juste qu'en écrivant le caractère "non mais c'est Misaki, cherche pas, elle colle trop" & voilà. Merci. ♥️

Ozo notre mariage à las vegas était le plus beau, voyons. ♥️

Alex que tu veux RENTRER EN RP je trouve ça extrêmement suspect et je suis très sceptique. Pas sûr que je veux m'approcher de toi. Sceptique
la flamme par torrents jaillit de ce cratère. (sidney) 3489524135
Lun 2 Mai 2016 - 17:09
Rencontrer. D:
(Merci pour la vanne autour de la faute ;__;
Je passe pour ce que je suis pas ...)
Lun 2 Mai 2016 - 18:07
quelle classe la flamme par torrents jaillit de ce cratère. (sidney) 1249168903
Lun 2 Mai 2016 - 18:26
Hafiz va tellement vouloir prendre cette gamine dans ses bras Malicieux
Lun 2 Mai 2016 - 21:23
MDR EN LOOKANT TON GIF J'ETAIS EN MODE "BANG BANG"
sinon oui, bienvenue chez vous senpai
vous êtes classe
Bave
Cœur Cœur
Lun 2 Mai 2016 - 22:45
Alex Malicieux Malicieux Malicieux Malicieux Malicieux

Alois feels dans ta tronche de gamin ? Malicieux

Hafiz euh, non ? comment te dire. Qu'elle est pas gentille. Que si tu l'appelles gamine tu finis littéralement six pieds sous terre. Qu'à côté Trauma c'est un bisounours. Ouais, nan, vraiment. Ö

7 de cœur fallait faire BANG voyons, un seul. Mais merci mon enfant. Cœur
Mar 3 Mai 2016 - 19:37
comme je suis contente de pas avoir de champs avec astrid Quoi ?!
non mais franchement quel tc trop cool Tombe
et pis rebienvenue chez toi Cœur
Ven 6 Mai 2016 - 12:56
Cass. Cœur (pardon de ne pas avoir répondu plus tôt, je n'avais point vu Malicieux )
Je suis sûr qu'elle saurait bien aimer Astrid, en fait. la flamme par torrents jaillit de ce cratère. (sidney) 3416388633
Ven 6 Mai 2016 - 21:40
T'es beau Sidnouche.  la flamme par torrents jaillit de ce cratère. (sidney) 2038183076
Encore une fois, tu nous proposes un personnage aussi intéressant qu'original. Et bien sûr, une ALTERMONDIALISTE.
Bienvenue chez moi cousine. ♥️

Sidney Abaddon

a reçu son permis de séjour à Pallatine

icon 100*100

Ce permis de séjour vous donne le droit de résider à Pallatine, de trouver un emploi et d'appartenir à une diaspora. Il atteste que vous êtes apte à vivre par vos propres moyens en ville. Nous vous rappelons que ce permis est obligatoire pour toutes vos démarches administratives auprès de l'Institut.

Si vous trouvez cette carte, merci de la déposer à l'Institut.

Informations à fournir dans les plus brefs délais.

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