nao akiyama
Caractère
Y'a l'allure du sarcasme dans tes sourires, des plaisanteries déguisées à la manière d'un comique, tout plein d'hypocrisie. Les bizarreries dans le regard, pour en cacher d'autre plus grave. Des secrets trop bien conserver pour être cernés. Les rires aux éclats, pour un tout, pour un rien, des conversations qui les laissent amers. Pourtant tes desseins sont loin d'être morbides. L'attitude évasive, le fleurs aux mains, le sourire lointain, le discours masqué, on te flingue, on t'assassine.
Car t'as pas assez de grâce pour révéler tes faiblesses, tu ne sais pas chuchoter, murmurer des secrets. Tes mensonges sont bien plus sûrs que leur regard insistant. C'est comme un blâme, comme une malédiction : celle de ta lâcheté. Au bord du gouffre, les doutes resurgissent, regard dans le vide. Tes paroles semblent réclamer pendaison, par moment, quand tu fuis. Tu fuis toujours. Ignare et érudit ; prêt à embrasser rose, jonquille et tulipe, ne serait-ce pour épargner ta vie. Toujours, évasif, car t'ignores comment affronter la vie.
Tu te plais, dans ce rôle profane, à t'attirer les critiques de silhouette sans visage. C'est plus simple ; qu'on te n'approche pas ; t'es lâche ; tu as peur ; car t'as fuis tous les sourires salvateurs. Et tu te sens lamentable, à essayer de survivre. Irresponsable, trop fébrile pour pouvoir te briller, tu préfères tout camoufler. Illusionniste pathétique, encore trop gamin pour savoir que tout est finit. Quoi ? Rien. Parcourut de néant, plein de ressentiment, voulant haïr sans en être capable, effacer sans oublier. Remplis de paradoxe adolescent, cherchant passionnément à être adulte.
Pour ne plus avoir peur.
Pour ne plus être seul.
En attente de miracle, de bras qui t'embrasse, car tu ne sais que croire en l'humanité. Naïf accomplis à la découverte de chaos pragmatique, terrifié par les impétueux, rêvant d'être audacieux. A la manière des chiens, à la manière des connards. Car l'apathie règne sur leur monde. T'aimerais songer cela dit t'es épuisé. Dans l'abandon, tu comprends tes trahisons, tu pars en quête de pardon. Mais tu demeures dans l'échec, essayant en vain d'être sincère, personne ne te semble réceptif à tes repentir.
Alors, tu pries, un peu plus. En attendant d'être enlacer.
Et le temps s'arrête.
Âge: 19 ans
Naissance: 27/03/1996
Arrivée: 2012
Présence en ville: 3 ans
Nationalité: japonaise
Métier: livreur de sushi à domicile
Statut civil: #seulaumonde
Groupe: Iwasaki-rengō
Section: iwasaki
Rang: simple membre
Nom de code: 嵐 ▬ arashi
Taille: 1.64
Corpulence: peu athlétique, souvent critiquer, chétif, fébrile.
Cheveux: un peu long pour un garçon, toujours teinté d'un blond un peu terne, au naturel ils sont châtain clair.
Yeux: deux pupilles banales à première vu mais avec plus d'attention, elles prennent une teinte gris clair, qui ne sait briller si ce n'est pour les moqueries, un peu triste, un peu maussade qui évite constamment les regards
Autres:
Histoire
Contes d'adolescents. L'immaturité dans le regard, à contempler le monde, à le trouver immonde. A te croire seul alors que ne tu l'es pas. Tu le sais, t'as l'illusion d'y croire. Paradoxe pathétique, en quête de sourire, d'escapade à deux (de renouveau). Et t'es conditionné avec un sentiment d’irréalité, de sourires qui s'évaporent, d’aberrations tolérées. Tu ne sens vrai qu'à ses côtés.
Hey, hey, qu'elles ne sont pas merveilleuses, ses paroles ? Hey, hey, est-ce que tu t'en sors ? T'as encore l'âge du génie. Cesse de croire en l'amitié, cesse d'être, cesse d'exister. T'aurais voulu penser. Tu ne sais pas penser, on pense pour toi, on pense pour toi.
Mais toi, tu préfères les mascarades, les ribambelles, l’expressionnisme à en exploser des cœurs, à réduire en poussière tous les malheurs. Pourtant, pourtant, pourtant, les quotidiens s'acharnent. Tu chutes, tu divagues avec la démence des spleens. Hey, hey, prend ma main, hey, hey tout va bien. Tes murmures ne sont que soupirs, ils n'appartiennent à nulle autre que la brise. Tu te brises, dans un mensonge ironique.
Et on veut être plus grand, on veut se libérer, on ne veut plus avoir l'air intelligent. Pour effacer l'espoir d'un avenir, pour crapahuter aveuglément. Personne ne les comprend, tes discours, on les discerne dans ton regard. Tout va bien, tout va mal. On s'esclaffe, on chiale. On aimerait que ça s'arrête.
Le monde est malade, ton monde est malade, ce monde est malade. Tu es malade et tu régurgites des éloges qui ne te convienne pas.
Alors, dès que l'occasion se présente.
Tu disparais.
Tu t'en vas va ; imprégné de regret.
Hey, hey, pourquoi tu pars ? Tu l'abandonnes c'est ça ?
C'est ça.
Tes faiblesses t'accablent (et tu veux pleurer).
Et tu pars en quête d'un nouveau paradis. Tes fantasmes rapidement brisés, toi cerné de violence, tu ne penses plus que par le sang. Tu veux fuir, fuir, à nouveau. Car t'as l'allure chétive, car t'es seul, tu veux partir. Qu'on t'embrasse, qu'on te libère, tes pensées condamnées, le corps figé, apeuré. Tu n'oses appeler à l'aide, t'oses à peine respirer (tu veux pleurer).
je ne suis pas un double compte, absolument pas
ici laurentdelaire pour vous servir