Histoire

_lancement-du-programme-histoire
_lancement-réussit

/*Le passé des parents*/

.passéparent {
Au début, lors du commencement, même avant le commence. Deux personnes complètement différentes se rencontrèrent dans une ville, une ville qui était loin de leur origine. L'un était un Anglais fier avec le cliché du gentleman au chapeau melon et à la moustache, tandis qu'il aimait fumer la pipe. Dans son style old-school, il a réussi à charmer une jeune française. Dans les stéréotypes, elle en faisait partie. La jeune femme aux yeux bleus et aux cheveux blonds comme le blé, alors qu'elle exerçait un métier imaginaire. Vêtu d'un tablier tâché par de nombreux liquides de différentes couleurs, elle aimait donner sa vision du monde aux autres. Le jeune homme à la moustache tomba amoureux de cette vision du monde, alors qu'il se trouvait dans une ville hors du temps. Dans un lieu où présent et futur peut se côtoyer, ils vécurent un début d'amour rose, qui donna naissance à un petit être.
}

.passédubébé {
Lors de la naissance, il y eut quelques complications. Ce que la femme n'avait pas dit à l'homme, c'était que son corps était fragile, fragile au point de pouvoir se briser n'importe quand. Tandis que les pleures de l'enfant brisaient le silence qui s'était imposé sur le tableau, tout le monde regardait cette femme dont le dernier soupire fut un sourire pour son fils qu'elle ne connaîtra qu'une fraction de seconde. Malgré le bonheur qui aurait dû envahir l'homme, ce fut une profonde tristesse, comme si les pleures du bébé influençaient directement sur ses émotions, à son tour, il se mit à pleurer. Une vie pour une vie, il arrive que le destin fasse des caprices, enlevant une part du bonheur. Pour autant, la vie n'était pas finie et elle reprenait de plus belle.
insert-text; italic: Tu t'appelleras Lyam, Lyam Sherbourne. N'oublie jamais le sacrifice de ta mère.
}

.passédelenfant {
Après la tragique mort de la mère, le père du vivre avec le bébé, seul. Étrangement, l'enfant avait les cheveux noirs comme lui, mais ses yeux étaient aussi bleus que le bleu du ciel que peignait souvent sa femme. Ses yeux bleus étaient tout ce qui lui restait. À chaque fois que son regard se tournait vers son enfant, il ne pouvait s'empêcher de retomber dans le passé alors les paroles sortaient tel des lames de cutter qui s'enfonçaient dans le papier. Les pleures venaient de nouveau fendre le silence qui suivait les paroles, l'enfant disparaissant ensuite dans sa chambre. Dans cette chambre, il y avait un ordinateur. Au début, cet ordinateur n'était rien pour l'enfant, puis au fur et à mesure que celui-ci grandissait, cet ordinateur fut son lot de consolation. Apprenant tout ce qu'il y avait à savoir sur lui, il passa nuit et jour dessus. Il resta tellement longtemps sur l'ordinateur que ses yeux en furent fatiguer, réclamant alors une aide supplémentaire pour supporter cette passion. Le père dû admettre que l'enfant commençait à être malvoyant, lui offrant alors une paire de lunette, ses lunettes si gênantes. Ce ne fut pas la période la plus dure, elle vint après.
insert-text; italic: Lyam, vient rencontrer ta nouvelle mère.
}

.élèmentperturbateur {
Une femme, une nouvelle femme, une personne inconnue aux yeux du jeune enfant. Qui était-elle ? Sa nouvelle mère ? Il n'avait pas de mère, il n'en a jamais eu après tout, il n'était que le fils détesté de son père. Son regard la jugeait au travers de ses verres transparents, l'effrayant, la poussant à crier, offrant un spectacle désastreux au plus jeune. Le père ne comprenant pas ce qu'il se passait, il renvoya son enfant dans sa chambre. Cette femme n'était pas aimée, elle était là pour une seule chose, l'argent de son père. Après tout, son père était peut-être seul pour élever son enfant, ce n'était pas pour autant, qu'il était pauvre. Son rôle n'était pas de l'accepter, mais de la faire tomber. Elle devait tomber de haut pour se briser et ainsi laisser son père tranquille. Rapidement, le jeune garçon fit des recherches sur l'ordinateur pour savoir ce qu'il pouvait faire. L'ordinateur était le savoir, il savait tout et il pouvait répondre à n'importe qu'elle demande. Un génie ferait pâle figure face à l'ordinateur. En cherchant, il trouva la solution à son problème dans le hack. En effet, pour faire tomber une personne, il est préférable de dévoiler sa vraie forme, qu'elle soit belle ou moche, elle tombera. Apprenant, nuit et jour, il dut fréquenter de nombreux forums pour apprendre ce qu'il ne connaissait pas. Ce fut long, il dut l'endurer longtemps, mais c'était bientôt fini d'elle. En faisant le curieux lors d'un repas, il lui demanda si elle avait un ordinateur. Sa question fut tellement banale, ordinaire, qu'elle lui répondit par un sourire en lui disant.
insert-text; italic: Bien-sûr que j'ai un ordinateur.
}

.famillebrisée {
Les mots sont des armes dangereuses, qu'ils soient prononcés à l'oral ou encore écrits sur un bout de papier ou sur un écran d'ordinateur. Faisant semblant de vouloir enfin la connaître, il cachait son véritable visage derrière ses lunettes. Un peu anxieuse, elle posa son regard sur son nouveau mari qui lui fit signe d'accepter. Un père bien trop naïf qui a détesté pendant trop longtemps son enfant. Avec un grand sourire, il accepta son mail pour pouvoir converser avec elle sur différentes choses, mais ce qui était plus intéressant que ça, c'était qu'avec son mail, il pouvait accéder à certaines de ses données. À partir de simple mail, il put apercevoir de nombreux messages sur sa boîte, tandis qu'il était en train de récupérer son adresse IP. Peut-être qu'il lui valut du temps pour apprendre tout ça, mais cela en valait le coup. Une personne qui ne s'y connaissait pas en informatique, elle peut facilement se faire avoir par un débutant. Malgré quelques barrières de résistance, il réussit à atteindre son ordinateur, ne lui laissant pas le choix à dévoiler ses nombreux secrets. Un de ses plus gros secrets étaient le fait, qu'elle n'était pas qu'avec qu'un seul mari, jouant la carte du bluff, elle sortait avec d'autres hommes. Conversant à de nombreuses reprises avec ses hommes, elle laissait parfaitement sous-entendre dans ses mails qu'elle les aimait de tout son coeur et qu'ils étaient les seuls hommes qu'elle n'avait jamais aimés. Son prétendu mari n'était pas mort, il était parfaitement au courant de ce qu'elle faisait, mais il fermait les yeux. Pourquoi fermait-il les yeux ? Quel était son but ? L'argent. Chaque mari avait de l'argent, il était facile de leur retirer pour ensuite disparaître comme si de rien n'était. Un secret qui n'était plus caché. Comme l'a-t-il découvert ? Son mari n'était pas très malin, il laissait une trace écrite de chaque chose qu'elle devait faire. Étant donné que les deux amants possédaient deux vies différentes, vu qu'il faisait parfaitement la même chose dans son coin, il devait bien communiquer d'une façon ou d'une autre avec elle. Des dossiers qui furent dévoiler au père, le père même qui convoqua la jeune femme. Face à ses accusations, elle ne sut que répondre.
insert-text; italic: Ce n'est pas moi ! Il ment ! Il a tout inventé ! Tu ne vas pas croire ce sale gosse ?!
}

/*Fin du passé des parents*/

_erreur-dans-le-programme
histoire.exe a cessé de fonctionner.
_reboot-du-programme
*grésillement*
_lancement-du-programme-histoire
_lancement-réussit

/*Début des années de l'enfant*/

.vieseule {
Après la terrible découverte, le père ne put s'en remettre. Après tout, une femme morte, c'était encore gérable, mais quand l'humain se fait trahir, il a toujours du mal à s'en relever. Cette fois-ci, c'était la goutte de trop, le verre a débordé et il s'est renversé, la totale. Ce n'est pas que cette femme que Lyam a fait tomber, il a mené le peu de familles qui lui restait au bord du ravin et le père fut le premier à sauter. Bien-sûr, c'est imagé, le père n'a pas pu sauter, comme il a disparu. Devenu adepte de la boisson, il rentrait tard le soir et c'était des cris au loin qui annonçait sa venue. Un soir, il n'eut aucun bruit, comme si le temps s'était arrêté autour de lui, quel paradoxe quand on sait dans quelle ville il se trouve. Ce silence fut étrange un court instant, puis la nuit passa sans même que Lyam ne s'inquiète davantage, il en eut tout le temps le lendemain. Un lendemain sans père, un lendemain libre de toute obligation, une liberté bien vide. C'était le commencement d'une nouvelle vie, une vie bien plus dure que celle d'avant, mais aussi une vie sans réprimande, sans parole blessante.
}

.nouvellevie {
Sans père pour faire vivre cette maison, Lyam devait apprendre à se débrouiller tout seul. Comme il ne savait pas faire grand-chose à part être sur un ordinateur, il chercha du travail dans ce domaine. Bien-sûr, il y avait un domaine qui l'intérêt plus que tout, c'était le hacking. C'est en cherchant qu'il eut une bonne idée, le hacking pouvait servir à relever les mauvaises intentions de certaines personnes, tout comme avoir des informations sur une organisation qui peut avoir de mauvaise intention à son tour. Faire payer les autres pour leur montrer le vrai visage de leurs conjoints ou encore de leurs amis, c'est un bon compromis, mais ce qui peut arriver après, ce n'est pas un soucis pour lui. C'est à partir de ce moment, qu'il décida de commencer sa nouvelle vie. Pour la peine, il laissa tomber ses lunettes pour une paire de lentille, il trouvait que ça serait plus pratique. Dans ce choix, il prit des lentilles de couleur grise, car son père détestait ses yeux bleus, ce qui engendra la même chose chez le fils. Pourtant, l'excuse qu'il se donna n'était pas la même, s'il porte des lentilles de cette couleur, c'est pour être plus classe. Lui, qui ne sort que très rarement, lui qui n'a connu que très peu le monde extérieur. L'informatique, c'est bien, mais peu de personnes peuvent voir ses yeux à travers un écran.
}

/*Fin des années de l'enfant*/

_fin-du-programme-histoire
_reboot-du-programme
_erreur-dans-la-fin
_fin-du-programme-impossible
*grésillement*
Programme histoire.exe en cours d'exécution.