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William – your sighs on my skin.

Lun 28 Mar 2016 - 0:38
William
feat Edward Elric | Fullmetal Alchemist

Caractère

Les blessures du passé ont forgé son être, son cœur sombrant dans une doucereuse folie qui le rendait de plus en plus faible. Sa raison lui dictait sans cesse ce que son cœur ne pouvait supporter tandis qu'il revoyait chaque soir les horreurs de cet enfer. Le cri strident de ceux qu'il avait abattu sèchement, sans jamais se soucier de rien, son cœur se transformant en une prison de souffrance insondable. Pourtant, il tentait de s'en sortir, voulant changer le passé et ainsi se libérer du poids de sa culpabilité.

Malgré son cœur brisé, son corps mutilé, William était un garçon aux multiples facettes, démontrant son passé ensanglanté. Son langage n'était pas des plus fins, laissant échapper de ses lippes des vulgarités ne plaisant pas à tous. Pourtant, lui, il s'en fichait bien de toutes ces conneries sur le langage. Il savait se tenir en société, mais, il avait au fond de lui une rage et une haine grandissante.

Il détestait tout son être, les méfaits de son passé, piétinait le garçon qu'il était à présent. Malgré tout, il avait bon fond. Il avait un sens du devoir très présent, mais surtout, une honnêteté à toute épreuve. Bien sur, il savait mentir, mais pas en mal. Il devait souvent avoir une raison en béton pour ne pas laisser la vérité s'évader d'entre ses lèvres. Impulsif, il à un caractère de merde qu'il assume très bien. Il râle bien souvent pour rien, ou rouspète les sentences de certaines personnes.

Pourtant, il porte un amour sans limite pour l'écriture. C'est comme un calmant pour lui, exprimer ses paroles sur le papier apaise son âme et ses tourments. William est quelqu'un de loyal, d'honnête. Il a horreur de l'injustice, de la mort. Il aimerait aider à la construction d'un monde meilleur, et pourtant, il sait très bien que cela relèverait du miracle que de changer l'espèce humaine. Il est aussi contradictoire, peut-être bien lunatique. C'est un garçon sérieux mais il n'hésitera pas à blaguer pour détendre l'atmosphère.

Bordélique, il n'a pas le sens de propreté inscrit dans ses gènes. Peut-être est-ce son esprit d'artiste qui le rend ainsi. Mais, il est incapable de garder une pièce rangée chez lui. Certes, il est propre mais absolument pas maniaque. En soit, le bordel est son ami, et il ne veut pas le lâcher.

Enfin, William n'est pas mauvais, mais n'est pas bon non plus. La souffrance de son passé le ronge, lui dictant un idéal introuvable. C'est peut-être pour se défaire de sa colère qu'il est venu à Pallatine, afin de rattraper ses péchés et d'apaiser son être tourmenté par la douleur de ses erreurs d’antan.

William

Histoire



24 décembre 1841 – Manoir Rosenworth ; Londres.

Un doux vent soufflait aux alentours du vieux manoir familial, la neige tombant lentement du ciel à la terre alors qu'un futur père laissait son regard se perdre par la fenêtre à sa droite. Un silence reposant planait dans l'air, l'homme étant assit sur un des bancs trônant gracieusement dans le couloir de l'aile droite. Un léger trouble s’immisça, de faibles bruits de pas se faisant de plus en plus entendre. Un jeune garçon se posant face au plus vieux, lui souriant grandement avant de s'asseoir à ses côtés. Plus un bruit ne vint déranger se calme.

Le temps s'écoulait, le plus jeune des hommes regardant sans arrêt le cadrant de sa montre tandis que l'autre restait de marbre, son regard perdu par la petite ouverture. Soudain, un cri strident fit sursauter le jeune qui regarda l'autre d'un regard émerveillé alors qu'un peu plus tard une femme s'approcha d'eux et s'adressa au plus âgé.

« Ils sont deux, ce sont des jumeaux monsieur. »

24 décembre 1847 – Non loin du manoir Rosenworth ; Londres.

Une femme se tenait là debout, droite et forte de sa carrure pourtant si mince et délicate. Elle regardait son enfant courir à travers la rue, celui-ci se faisant poursuivre par son aîné et sa cadette. Il riait aux éclats, la neige fouettant son visage avant qu'il ne tombe en avant, riant toujours autant à sa bêtise. Sa sœur arriva à sa hauteur, sautant sans gène sur le dos de l'enfant à terre, qui laissa un petit jappement lui échapper.

« Alois, William, Jen venez ici ! »

Les enfants s'avancèrent alors, tout sourire, fixant leur mère alors que celle-ci s'abaissait à la hauteur des deux plus jeunes, Jen et William. Elle leur embrassa respectivement les fronts avant de les prendre dans ses bras.

« Joyeux anniversaire mes enfants. »

1856 – Début de la guerre de l'opium, William est âgé de quatorze ans.

16 juillet 1860 – Dans un navire en direction de Canton.


Mon cher petit frère,

Cela fait maintenant quelques semaines peut-être que nous sommes là. Attendant notre sort avant de devoir débarquer sur le sol chinois. Jen est avec moi, elle est avec les autres infirmières, se préparant tout comme nous, soldats, au pire dans les prochains jours. Quant à notre aîné, Alois, il n'est pas ici, dans ce navire qui nous mène à la mort. Il est certainement dans celui à notre droite, ou peut-être bien l'autre.

Je t'embrasse toi et nos parents.

17 juillet 1860 – Débarquement des armées britannique et française sur le sol chinois.

26 juillet 1860 – Une tente quelconque ; Campement franco-anglais.

Il était affalé au sol, un tas de vêtements sales sous son être tandis qu'il regardait dans le vide. Le souffle court, il attendait patiemment son frère et sa sœur qu'il n'avait pas vu depuis de nombreux jours. Il attendait là, sans rien dire ni rien faire alors que son partenaire de tente était dehors avec un ami.

Des pas, il releva la tête, un sourire aux lippes tandis qu'elle entrait dans la tente, les yeux baignés de larmes. Elle fondit sur son frère le prenant dans ses bras.

-

Mon cher frère,

Notre sœur est bien venue dans la tente ce soir, mais malheureusement Alois n'y est pas. Ils ont dit qu'il était un héro pour notre patrie. Pourtant, la seule chose que je sais, c'est que cette guerre nous l'a prit, il est mort par notre faute.

Mon esprit divague, je ne pense plus à rien maintenant. La guerre souille nos âmes, nos cœurs disparaissent doucement dans ces champs de bataille où nous ne sommes plus que des tueurs.

Mon frère, ne viens ici, et prend soin de nos parents.

Je vous embrasse.

21 août 1860 – Prise des forts du Peï-Ho.

22 août 1860 – Une vielle bâtisse du port.

Mon cher petit frère,

L'air se fait sombre sur nos carcasses. Nos épidermes pâles contrastent avec l'empyrée sombre nous dominant de jour en jour. La pluie s'écoule sur nos corps en lambeaux tandis que nous continuons d'assassiner de pauvres gens. L'horreur de la guerre, je ne te la souhaite aucunement. Nos os sont brisés, pourris. Et nos vies sont changées, anéanties, comme piétinées sans remord. Plus rien n'a de sens que d'écouter ceux d'en haut.

Je suis devenu un meurtrier, mais pourtant, même si mon cœur me dicte de ne pas tuer, ma raison en pense le contraire. Je ne dois pas mourir, alors, notre seule échappatoire et la mort des autres. N'est-ce pas égoïste de notre part ? Car finalement, eux aussi, ils pensent cela, j'en suis sur.

Il va falloir que j'y retourne mon frère, je t'embrasse.

Comme toujours, embrasses et prends soin de nos géniteurs.

2 septembre 1860 – Les armées britannique et française prennent Tianjin

4 septembre 1860 – Un bâtiment ; Tianjin.


Mon cher Ash,

Os pourris, carcasse macabre, ciel noir, voilà ce qui fait notre quotidien.
L’abîme nous entoure, nous rend fou et nous perd dans sa noirceur.
Nos cris se perdent dans le néant, et nos pleures sont insonores.
Je pris chaque jour pour garder la vie sauve.
Chaque jour, je garde espoir en notre patrie.
Pourtant, je me meurs de plus en plus.

Elle n'est plus là. Elle est comme un fantôme qui guide mon esprit tourmenté par mon âme. Ma raison se tait sous l’impétueuse rage de mon cœur. Voilà bien deux jours que je ne vois plus trace de son existence. J'ai peur, Ash, où est-donc notre tendre sœur ? Pourquoi nos parents ont-ils accepté son départ de la maison. Elle qui ne devrait pas être ici.

Je vous aimes et vous embrasse.

6 septembre 1860 – Tianjin.

Mon cher petit frère,

Voilà bientôt une journée que je cherche, que je tente de coucher sur papier des mots qui brûlent ma gorge ainsi que mes mains. J'aimerais retourner en arrière, éviter le pire, et pourtant, tout cela est impossible. […] Ash, notre sœur bien-aimée est morte hier. […]

Embrasse nos parents, prenez soins de vous. Et par pitié, priez pour mon retour.

5 octobre 1860 – L'armée franco-anglaise campent sous les murailles de Pékin, elles vont piller le « Palais d’été ».

13 octobre 1860 – La ville de Pékin tombe.


Mon cher frère,

Rassure toi, je suis toujours en vie. Je t'écris cette lettre depuis une clinique. La ville de Pékin est tombée sous nos coups. Mais malheureusement mon frère, je me retrouve dans l'incapacité de faire grand chose. A défaut de m’ôter la vie, la guerre me retire une jambe. De plus, un de mes bras est dans un état des plus sales. On devrait me le retirer dans les jours prochains. Mais, tu n'as pas à t'en faire, je suis encore là, mon frère.

Je vous embrasse.

17 octobre 1860 – Le Palais d'été est incendié par les britanniques.

Mon frère,

Notre vie me manque, l'Angleterre me manque, vous me manquez tous. Nos vies se meurent encore, et quand bien même nous pensons toucher à la fin de cette horreur, la réalité nous rattrape. En ce jour, les nôtres ont incendiés le palais d'été. Ainsi, nous faisons enfin part de notre futur victoire. Je vais bientôt rentrer, mon existence parmi ces gens n'a plus de sens. Je ne peux ni marcher, ni tenir d'arme.

Tu sais, Ash, quand je lève les yeux au ciel, je ne vois que la terreur. Comme si, lui aussi, connaissait le désespoir de cette guerre. Mais le pire, c'est que je pense être devenu fou.

Parfois, mon regard se pose sur mes mains. Elles sont encore plus cadavérique qu'auparavant à l'oeil nu. Mais pourtant, moi, j'y vois du sang, cette horrible couleur pourpre qui souille mon corps mutilés par la vie. Alors, l'annonce ce mon futur départ pour revenir ne peut me rendre qu'heureux. Oui, je suis heureux, alors que je suis un tueur. Cette partie de mon être me ronge, me tue. J'aurais aimé ne rien avoir à faire la dedans, et pourtant, j'ai tué. Et je n'ai pu sauver Alois et Jen.

Mon frère, me pardonneras-tu un jour ? D'être le monstre que je suis devenu. Je ne suis plus réellement William, non, je suis un pauvre pantin souillé. Le sang englobe mon être. J'ai l'impression d'être la cause d'un chagrin trop grand.

Ash, pardonne moi d'être ce que je suis devenu. Mais, je ne suis plus que l'ombre de mon existence, car la vérité est bien pire que la réalité.

Je vous embrasse.

30 octobre 1860 – Dans un navire ; Vers l'Angleterre.

Mon frère, mes parents,

Vous allez bien ? Je suis actuellement dans le navire me ramenant jusqu'à vous. Je sais bien que cette lettre, je ne pourrais que vous la donner en main propre, ou peut-être que je l'enverrais avant de revenir à Londres. En effet, il faut que je passe à l'hôpital le plus proche pour soigner mes dernières blessures et revoir l'état de mes membres mutilés.

Mon frère, je suis bienheureux de savoir que tu n'as pas participé à ce massacre. Malgré qu'il n'ai pas duré plusieurs années, j'ai vu bien trop d'horreur pour moi.

Je serais bientôt avec vous, je vous aimes.

A très vite.

1 décembre 1860 – Clinique médicale ; Brighton.

Le médecin lui parlait, depuis plus de quelques heures peut-être. Lui disant que tout irait mieux maintenant. Et qu'il devrait peut-être songer de vivre au loin de la ville pour le moment. Alors, le blond le regardait, l'air blasé, les paroles de l'homme ne lui faisant ni chaud, ni froid. Même si, vivre à la campagne était peut-être une bonne idée pour lui.

22 décembre 1860 – Manoir Rosenworth ; Londres.

Après tant de temps, il était rentré chez lui. Sa mère l'avait enlacé, pleurant à chaudes larmes sa détresse et sa joie. Son père lui tapota la tête dans un geste tendre alors que son cadet le prit dans ses bras dans une étreinte délicate. Il était de retour, certes, mais incomplet.

24 décembre 1863 – Une petite maison à la campagne.

Mes chers parents,

Cela va faire deux bonnes années que je vis seul à la campagne, ne vous inquiétez pas, les villageois sont des gens biens, ils sont tous très aimables et m'aide énormément malgré mon handicap. Ash vient régulièrement me voir, ce qui me rend très heureux, de plus, je peux prendre mon temps pour écrire et divulguer ma parole aux autres. Cette vie me rend plus serein. Je respire enfin malgré ces hallucination. Je me sens sale, encore et encore, je frotte ma main restante dans l'espoir de faire disparaître ce mal qui me ronge. Qui me tue sans cesse dans des nuits sans rêves.

De plus, hier, j'ai entendu parler d'une ville hors du temps. Que la-bas, je pourrais peut-être retourner dans le passer et sauver notre famille. Ma sœur, et mon cher Alois.

Mère, père, je pense tenter d'en apprendre plus sur Pallatine.

1 janvier 1865 – Quelque part.

Mon frère, ma mère, mon père,

Je pars dans quelque jour en direction de cette ville, je reviendrais certainement un jour. Je vous aimes.

William.

5 janvier 1865 – Départ pour Pallatine.

13 février d'une année inconnue ; Pallatine.


A ma famille,

Je vous écris en sachant pertinemment que jamais vous ne pourrez lire cette lettre. Jamais elle ne se tiendra entre vos doigts. Pourtant, dieu seul sait que vous me manquez.

Si vous saviez, je suis maintenant quelqu'un de nouveau, je peux finalement marcher, et j'ai un nouveau bras. Les essors de la technologie permettant à mon corps d'être réparé. J'ai une jambe et un bras en métal, c'est incroyable comme on peut se mouvoir avec cet objet. Réellement, c'est fascinant.

William.

Un jour – Entrée dans l'institue.
Un autre jour – Un partenaire, un débile.
Une autre fois – En fait, ce con à un nom, Émile.
Encore une fois – Il est doué, mais qu'il est chiant avec son langage.
Finalement – C'est un débile doué.


Kohe ou Sora ; 16yo ; venue avec son amour Felice (Emile keur keur.)
Non sérieusement, je sais pas quoi dire, mais j'aime les lamas et le graphisme. La lecture, le classique, le rock, les BTS. M'enfin, voilà. Amour sur vous.
Sinon, vous puez la classe.
Hard ouai.

Lun 28 Mar 2016 - 0:47
C'est surtout cette fiche qui pue la classe. (et celle d'Émile)
Ça fait vraiment plaisir de voir des gens tenter l'Institut, et le contexte choisi est tellement passionnant, on manque un peu de persos du XIXe donc merci.

Bienvenue, merci pour tout, et pour courage pour la fiche. ♥
Lun 28 Mar 2016 - 2:08
Deux nouveaux membres pour l'Institut héhé, bienvenue. Malicieux
Lun 28 Mar 2016 - 2:16
TA BANNIERE EST PRECIEUSE
bienvenue aussi kya

j'avoue j'ai pas encore tout lu mais voilà j'approuve déjà j'te dis bon courage & tout & tout

(les bts c'est la voix de satan, ça t'envoute genre I NEED U GIRL idk)
Lun 28 Mar 2016 - 10:16
Bonjour et bienvenue sur le fofo! Malicieux
Lun 28 Mar 2016 - 10:49
si t'aimes les lamas on sera poto
MAIS EN PLUS TU VIENS A L'INSTITUT
/////sparkles/////
BIENVENUE, t'es encore la preuve que c'est les bg qui viennent chez les violets eh ouais /dies ♥♥

(hs mais "un léger trouble s’immisça")(j'ai direct pensé à "je n'ai pas vu le doute en toi s'immiscer" EST-CE QUE QUELQU'UN M'EXPLIQUE j'en ai marre de moi bye)
Lun 28 Mar 2016 - 11:17
Edward Elric et les lamas Tombe Tombe

Bienvenue Cœur Cœur
Lun 28 Mar 2016 - 11:28
... Pourquoi je fangirlise déjà sur vous, moi ? Sceptique
En plus j'approuve Sara vous êtes BEAUCOUP trop bg. Et ce choix de groupe, je suis tellement joie. Agonise
Des jumeaux.

Bienvenue. Héros
Lun 28 Mar 2016 - 11:41
bienvenue à toi aussi
un couple qui promet, j'ai hâte de vous lire

et voilà un gif de chaton déguisé en lion

William – your sighs on my skin. 200w
Lun 28 Mar 2016 - 11:44
Naga ; Buuh, merci c'est trop gentil. ;; Merci merci !
Nikolai ; Et oui, merci.  Malicieux
Laurent ; ( I NEED U GIRL WAE HONJASARANGHEO HONJASOMAN.. //pardon// ) Merci beaucoup o/
Hafiz ; Merci.  Malicieux
Sara ; Alley alors. ET OUI. C'est vrai fufu. Malicieux Merci !
Wilhelm ; Exactement. Malicieux Merci !
Seung ; Parce qu'on est beau et tout et tout. Ou je sais pas mais tu me le diras okeyp ? What ? MERCI !
Alois ; Oh merci blbl. OMG UN CHAT LION. **
Lun 28 Mar 2016 - 12:14
...C'est quand je vois des gens prendre Edward en avatar que je me dis que je devrai vraiment commencer FMA un jour ;;
Bienvenue à toi aussi, même si je viens déjà de te le dire sur la CB Malicieux
Lun 28 Mar 2016 - 14:13
edward Youpi en plus le début de la fiche est top (et le graphisme quoi), puis ce choix de période de ouf, la guerre de l'opium c'est tellement intéressant Agonise
bref bienvenue j'ai tellement hâte de voir la suite Cœur (et les rps avec émile !)
Lun 28 Mar 2016 - 14:41
William – your sighs on my skin. Tumblr_m2eap6e7Oi1r48nrko1_r1_500
Bienveniduto ♥️ C'est toi qui pue la classe. On s'inscrit où pour le fan club de Willy ? Youpi Cœur
Lun 28 Mar 2016 - 16:20
Ton choix de base.
Ton choix de groupe.
Toi je t'aime déjà *^* *^* *^* /bus/

Bienvenuuuue ♥ Bon courage pour la suite de ta fiche ! :3
Lun 28 Mar 2016 - 18:56
Natasha ; Il le faut certes. Malicieux
Cassandra ; Merciiii Youpi
Jia ; J'ai déjà un fan club ? Super. Brille
Ozo ; Aime moi. Ohalala. /avion/ Malicieux
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