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Le bonheur, c’est quand le temps s’arrête. | Ezequiel Blackwood

Lun 1 Aoû 2016 - 3:04
Ezequiel

Ezequiel Blackwood

feat Michael Fassbender | http://ambr0.deviantart.com/

Caractère

Au premier abord, on dirait d’Ezequiel que c’est quelqu’un de froid et d’intransigeant. Il est vrai qu’il n’apprécie pas vraiment le manque de rigueur, surtout en ce qui concerne le travail. Pour lui, les transferts ne sont pas un sujet de plaisanterie. Il est conscient que chaque départ de Terre peut provoquer à une plus ou moins grande échelle une série d'événements marquants et irréversibles. Pour un passionné de l’histoire terrestre comme lui, voir celle-ci totalement salis par des personnes ne comprenant pas la portée de leurs actes est tout simplement inadmissible. Car s’il est dur avec les employés sous ses ordres, il est aussi enclin à porter sur ses épaules la responsabilité de chaque erreur qui pourrait être commise au sein de son service. C’est un passionné, le genre de personne qui ne fait rien à moitié, mais pragmatique malgré tout, prenant le temps de réfléchir avant d’agir et mettant en place les méthodes les plus efficaces pour parvenir à ses fins. Du côté sentimental, il a la réputation d’être volage, ne restant jamais bien longtemps avec les jeunes femmes qu’il courtise. Peut-être est-ce réellement le cas ou alors cacherait-il une blessure dont personne ne connaît l’existence et qui l’inciterait à éviter le sérieux d’une relation de couple ? Don Juan serait-il finalement bien plus compliqué que ce qu'il ne semble être ?

Ezequiel

Âge: 35 ans
Naissance: 16/08/1980
Arrivée: Natif
Présence en ville: Toujours
Nationalité: Natif | Irlandaise
Métier: Responsable des arrivées
Statut civil: Célibataire

Groupe: Institut Svensson
Rang: Cadre supérieur
Nom de code: Don Juan

Taille: 1.85
Corpulence: Assez grand, svelte et musclé, Ezequiel prend soin de son apparence, ne laissant rien au hasard du temps. Il est de ces hommes qui peuvent passer du temps à s'entraîner pour garder la forme et aussi, en parti, pour plaire à ces dames.
Cheveux: Cheveux auburns au naturel, il lui arrive parfois de les teindre en une couleur plus sombre. Le plus souvent coupés courts, un peu laissé en bataille quand ils commencent à prendre une petite longueur.
Yeux: Bleus

Histoire



Une pièce à la décoration épurée, un grand bureau trônant au centre et trois écrans holographiques disposés sur celui-ci. Un homme est installé là, reposant à peine contre le dossier d’un siège en cuir sombre, concentré sur les écrans et dans sa tâche, son attention passant d’un écran à l’autre, sans relâche, semblant étudier minutieusement les informations s’offrant à son regard. Dos à lui, une immense vitre lui propose une toute autre vision pourtant, bien plus majestueuse. Une vue dégagée sur Pallatine. Le bureau se trouve dans les étages les plus hauts du bâtiment de l’Institut Svensson, sans pour autant toucher au sommet de l’édifice. Si l’on observe plus attentivement le bureau, on y voit une plaque d’acier lettré de laiton indiquant le nom et la fonction de l’occupant des lieux.
« Tout homme a le droit de douter de sa tâche et d'y faillir de temps en temps. La seule chose qu'il ne puisse faire, c'est l'oublier. »
Paulo Coelho


Une sonnerie résonna dans l’espace clos, faisant se détourner les yeux bleus de notre homme vers l’un des écrans. Un message simple s’afficha alors que le son, lui, cessa.


8h50 - Salle n°4 - Début XXème


D’une simple pression sur une touche de l’appareil, à peine visible sur son bureau, il fit disparaître les écrans et leurs contenus et se leva, reboutonnant la veste de son costume sombre.

En sortant, il prit la peine de verrouiller son bureau à l’aide d’un boîtier placé à droite de la porte et se dirigea vers un ascenseur se trouvant au bout du couloir. Sur le chemin, il croisa un homme, un collègue ou plutôt, un employé, qui inclina juste légèrement la tête afin de le saluer. La mine qu’affichait celui-ci semblait indiquer une certaine froideur émanant de notre individu. En effet, il était loin d’afficher un sourire chaleureux et se contentait de parcourir les allants tours du regard, comme pour simplement surveiller que chacun était bien à sa place et attelé à sa tâche.

Une fois descendu de plusieurs étages, il fit face à une porte indiquant le fameux numéro quatre. D’un geste sec, il frappa deux fois avant le franchir le seuil, laissant la porte ouverte derrière lui.

Quelques personnes étaient présentes dans la salle, cinq ou six individus de sexes et d’âges différents.

Il ne tarda pas à entamer son court discours, affichant cette fois un sourire quasi-charmeur, se faisant bien plus accueillant maintenant.

« Bonjour à vous, messieurs et dames. Je me présente. Ezequiel Blackwood, je suis le responsable des arrivées au sein de l’Institut Svensson. Je suis ici pour vous souhaiter une nouvelle fois la bienvenue dans notre belle ville de Pallatine et tout particulièrement au sein de l’Institut. »

Une fois les formalités d’usages passées, il croisa les mains dans son dos, restant toujours bien droit, mais affichant un air tout de suite plus sérieux.

« Comme je viens de vous le préciser, j’ai la responsabilité d’étudier les dossiers des futurs transférés. Autant dire que si vous êtes ici, c’est en parti parce que je l’ai bien voulu. »

Un silence glacial s’installa une poignée de secondes alors que son regard passait de visage en visage. Il les connaissait tous, chacun d’entre eux. Il savait la vie qu’ils avaient eu, il savait ce qu’ils auraient vécu s’ils n’étaient pas arrivés ici.

« Le temps n’est pas un jeu, savoir le défier ne veut pas dire qu’il faut le faire sans en comprendre et en assumer les effets et les conséquences. »

Un nouveau silence, plus court cette fois, juste le temps pour les visages qui le scrutaient de pâlir légèrement.

« Mais... »

Une inspiration, courte.

« Vous êtes ici, cela signifie que vous avez eu la chance d’obtenir une seconde chance, que l’Institut Svensson vous a offert cette chance, le droit d’accéder à un nouveau lieu de vie, à une nouvelle vie. »

C’était important de le préciser, surtout pour un natif comme lui qui n’avait que cette vie qu’il n’avait pratiquement pas choisie. Il était né dans cette diaspora et il mourrait sûrement après l’avoir servi bon nombre d'années.

« Profitez de cette opportunité pour effacer les tords qui ont pu être les vôtres sur Terre et montrer à Pallatine qu’elle n’aurait pas su se passer de votre présence. »

Parcourant de nouveau la pièce, il souriait de nouveau.

« Merci de votre attention et bonne journée à vous tous. »

Sur ces mots, l’homme quitta la pièce et retourna jusqu’à son bureau, se plongeant de nouveau dans son travail.

___________________________


Cinq heures trente du matin. Les portes de l’ascenseur s’ouvrent sur l’un des nombreux couloirs de l’institut, quasiment vide à cette heure, et un homme en tenue de motard et un casque à la main sort de la cabine.
Ezequiel déverrouilla son bureau et y pénétra, refermant juste à moitié la porte derrière lui. Il fit glisser la fermeture éclair de son blouson jusqu’à mi-hauteur alors qu’il avançait vers son bureau, y déposant son casque et les clefs de la 600 Bandit bleu nuit qu’il avait pris soin de garer sur la place de parking qui lui était attribué. Sous son cuir, il portait un simple t-shirt gris et uni. Rien d’extraordinaire, mais pas vraiment le genre de tenue qu’il arborait sur son lieu de travail. Terminant d’ouvrir sa veste de cuir, il approchait d’un placard incrusté dans le mur, presque invisible pour celui ne connaissant pas les lieux. Dans celui-ci se trouvait une sorte de garde-robe de fortune. Deux costumes noirs identiques étaient placés là, contenant même deux paires de chaussures cirées et prêtes à être portées. Même si Ezequiel aimait venir au travail en moto, il aimait aussi paraître parfait aux yeux de ceux qu’il avait sous ses ordres et un costume froissé était alors à oublier.
Pendant qu’il se changeait, il bredouillait quelques mots, comme profitant du silence et de ce moment de solitude pour penser à voix haute. Il énumérait les choses qu’il aurait à faire aujourd’hui.

« Prendre connaissance des nouvelles demandes de transferts, vérifier si les transferts en cours se passent correctement, renvoyer l’idiot qui a confondu Neil Armstrong et Lance Armstrong… »

Il souriait à cette dernière information et se mit finalement à rire un peu tout en terminant de passer sa cravate autour de son cou.

C’est alors que la porte de son bureau s’ouvra et qu’une jeune femme en tailleur s’avança, tenant un autre exemplaire du fameux costume noir, celui-ci étant emballé dans un plastique de pressing.

« Bonjour monsieur Blackwood. Attendez, je vais vous aider avec ça »dit-elle tout en allant accrocher le costume dans la penderie.

« Bonjour Naya. Quand même… Vous imaginez, vous, confondre le premier homme qui a marché sur la lune et un homme qui n’a fait que pédaler dans la semoule ? »

Alors qu’elle s’approcha de lui pour l’aider à terminer de nouer sa cravate, elle fronça très légèrement les sourcils d'incompréhension.

« Je... non, enfin… j’ai fait une erreur dans un dossier monsieur ? »

Ezequiel souriait alors un peu et levait la tête, la laissant terminer.

« Non, rien, laissez Naya. Vous m’avez transféré les dossiers du jour ? »

Elle termina de placer correctement le col de sa chemise et lissa les bordes de la veste de costume, allant par la même occasion retirer quelques poussières et cheveux venus se déposer sur les épaules de celle-ci.

« Je vais m’en occuper tout de suite monsieur. »

Se tournant alors pour s’éloigner, Ezequiel posa une main sur son bras, la retenant un instant.

« Attendez Naya. Je me demandais, vous aimez manger italien ? Il y a un nouveau restaurant qui a ouvert récemment et j’avais dans l’idée que nous pourrions peut-être profiter de l’occasion pour discuter un peu en dehors de l’institut. Pas entre secrétaire et supérieur, mais entre juste deux personnes souhaitant apprendre à mieux se connaître. Qu’est-ce que vous en dites. »

Naya commençait alors à rougir légèrement.

Même si elle n’était pas sa secrétaire depuis plus de quelques semaines, elle avait bien eu vent de la réputation de son supérieur et savait qu’il était plus habitué à rencontrer des jeunes femmes pour s’en faire des amantes plutôt que des amies. Ezequiel ne s’en cachait pas vraiment d’ailleurs. Il n’avait pas envie de s’engager avec qui que ce soit et aimait passer du bon temps avec les femmes qu’il rencontrait.

La jeune femme était en partie gênée, mais aussi un peu flattée par cette proposition et acquiesça timidement.

« Bien, je vous laisse nous réserver une table alors. Vous connaissez mieux mes horaires que moi de toute façon. »

Il souriait alors, de ce sourire charmeur qu’il arborait si peu, mais avec lequel il pouvait faire tant de ravage pourtant.

La sonnerie reconnaissable de l’ascenseur résonna finalement au loin et lui efface du visage.

« Bien, en attendant, une longue journée de travail nous attend. Ne traînons pas. »

Il laissa alors Naya retourner à son bureau et s’installa au siens, prenant de nouveau part à ses affaires courantes, comme ci de rien n’était.

___________________________

La moto vrombissait et la lumière des phares illuminait l’asphalte, dévorant mètre après mètre le chemin vers une grande maison sur la côte. Une fois arrivée à destination, la moto fut installée dans le garage et son conducteur entra chez lui, retirant son équipement avec minutie. S’avançant ensuite dans le grand salon, dont les murs étaient couverts de grandes bibliothèques, il s’approcha d’un meuble placé juste devant une immense fenêtre. Le temps était à l’orage et un éclair ne tarda pas à trancher l’air sous ses yeux, juste au-dessus des vagues qui ondulaient à l’horizon. Une seconde, puis deux, trois, quatre, cinq et finalement le tonnerre raisonna. Ces quelques secondes avaient tout juste laissé le temps à la machine placé sur le meuble de lancer le morceau choisis par notre homme, celui-ci s’étant finalement laissé retomber sur un fauteuil club déjà bien usé par le temps, fermant les yeux pour profiter de l’instant.

Comme chaque jour, l’heure était tardive lorsque Ezequiel retournait chez lui. Personne ne l’y attendait, mais il était pressé de pouvoir trouver le calme et le réconfort de sa villa en bord de mer. En effet, il n’était pas à plaindre et avait une maison des plus plaisante. Il faut dire qu’en plus de sa fonctionne assez haute au sein de l’Institut Svensson qui lui offrait une situation des plus satisfaisante d’un point de vue financier, Ezequiel faisait également partie d’une ancienne famille de natif de Palatine. Cette maison était son héritage et regorgeait de toutes sortes de souvenir et de collection en tous genre, accumulé au fil des années.
Il était bien né et ne s’en excuserait en aucune manière.
Il savait la chance qu’il avait et tentait simplement d’agir comme il le devait afin de ne pas salir son nom.

Il était un Blackwood de par son père, alors que sa mère, elle, avait été transférée depuis le début du XXème siècle. Pour le fils unique d’une longue ligné de natif, autant dire que ce n’était pas vraiment bien vu, mais Edouard Blackwood n’était pas un homme qui se laissait dicter sa conduite. Sur ce point, on peut aisément dire que les chiens ne font pas des chats.
Pour ce qui est de sa mère, celle qui allait devenir l’épouse du fils Blackwood se prénommait Emma. Elle était irlandaise, rousse aux yeux bleus et, malgré son apparence de frêle jeune femme, avait un caractère tout aussi grand que son envie de découvrir le moindre détails du monde qui l’entourait. Elle n’avait jamais cessé de voyager durant les premières années de sa vie pour assouvir ce besoin qui l'obsédait. Autant dire qu’elle avait vu en Palatine une chance immense de pouvoir explorer le temps tout en rencontrant des personnes venant d’époque et de lieux divers et variés. Elle ne s’attendait pas, en revanche, à tomber dès son arrivée sur celui qui allait combler son coeur pour les années à venir.

Les Blackwood ont toujours travaillé pour l’Institut et ont aidé les générations suivantes à suivre leurs traces. Une sorte de tradition familiale qu’ils mettaient un point d’honneur à respecter. Mais dans toutes les familles il y a un vilain petit canard qui ne désire qu’une chose : faire autrement que les autres.
Là où le père d’Ezequiel avait été le seul représentant des Blackwood, Ezequiel, lui, n’était pas fils unique. Il avait un frère, plus jeune de deux ans et qui était loin d’être aussi sage que son aîné. Après avoir travaillé durant un temps à l’Institut, comme tous ceux de sa famille avant lui, il avait préféré tourner le dos aux siens et à ses responsabilités, quittant la diaspora pour prendre le large. Depuis cette période, Ezequiel et sa famille n’avaient plus eu de nouvelle du dernier-né de la ligner. Même lorsque leur père est décédé à la suite d’un cancer, il n’était pas venu lui rendre un dernier hommage.

Ezequiel a toujours souhaité protéger son frère et est, encore aujourd’hui, inquiet de ce qu’il a pu devenir, tentant jour après jour de trouver un moyen de retrouver sa trace. S’il le fait pour lui, il le fait également pour sa mère. Elle et ses fils sont les derniers des Blackwood et Ezequiel sait à quel point l’absence de nouvelle de son second fils lui brise le coeur. Essayant de faire au mieux pour atténuer son chagrin, il est resté très proche de sa mère et lui rend visite au moins une fois par semaine. Etant un passionné d’histoire terrestre, il prend plaisir à discuter avec elle durant de longues heures d'événements ayant eu lieu sur la planète de naissance de sa mère.

Ezequiel ne perd pas espoir qu’un jour, peut être, la fratrie Blackwood pourra de nouveau être réunie et pourra oublier le passé tumultueux qui les aura séparés. C’est alors qu’ils pourront se tourner vers l’avenir et penser à la continuité de leur ligner.

La musique s’arrête, le silence envahit de nouveau la pièce. Notre homme ouvre alors les yeux, fixant quelques seconds droits devant lui avant de se lever et d’aller terminer cette journée.
___________________________

Au cours de l’année 2003, sur Pallatine, dans un coin reculé de la ville, proche du littoral, un homme en tenue de motard patiente, adossé à sa bécane, un casque intégrale et opaque vissé sur la tête.
Des murmures s’échappaient du casque d’Ezequiel, comme des pensées difficiles à contenir.

Tu m’auras vraiment tout fait faire petit frère.

Sa voix est déformée par la résonance du plastique qui l’entoure, permettant aussi de couvrir l’angoisse qui le submerge.

Cela faisait maintenant un an que son cadet avait pris la fuite sans donner de nouvelle et Ezequiel avait bien compris que c’était à lui de faire quelque chose pour retrouver sa trace.

Il secouait légèrement la tête, alors qu’un véhicule semblait approcher dans l’obscurité de la nuit.
Les phares pointés vers lui l’éblouissaient, mais il ne bronchait pas, faisant au mieux pour sembler habitué de cette situation.
Deux hommes descendaient de l’avant du véhicule, une arme à la ceinture pour l’un et directement tenu en main pour l’autre. Puis le passager à l’arrière descendit une fois sa portière ouverte par l’un de ses gorilles.

Vous êtes ponctuel, j’aime ça.” lança rapidement l’homme en costard tout en approchant d’Ezequiel. Celui-ci se redressa une fois son interlocuteur proche de lui.

Vous avez ce que j’ai demandé ?

Un rire gras entama la réponse du nouvel arrivant.

Tu penses que je me serais déplacé si je n’avais rien trouvé ?” puis un claquement de doigts à l’attention de ses hommes leur intima l’ordre d’apporter une mallette.

Voilà tout ce que j’ai pu réunir sur le fils Blackwood. Noms de ses proches, des gens qui l’ont vu, les endroits où il a habité. Tout ce qu’on peut connaître sur lui se trouve là-dedans.

Ezequiel inclina un peu le casque en guise de réponse et tendait la main pour saisir la poignée. L’homme recula un peu celle-ci, l’empêchant de la prendre.

Vous n’oubliez pas quelque chose ?

Un silence de quelques secondes interrompu par le seul bruit des vagues qui s'écrasaient sur les rochers non loin de là.

Ezequiel ouvrit alors sa veste et en sortit un fin dossier qu’il avança vers l’homme.

Voilà, tout ce qui est arrivé à votre entourage après votre départ de la Terre est noté là-dedans. Et tout ce qui aurait dû arriver si vous étiez resté également.

Même si les gens transférés fuyaient la Terre pour toutes sortes de raisons, ils y laissaient souvent de la famille et des amis dont ils n’auraient plus jamais de nouvelles. Et là où Ezequiel refusait de monnayer un transfert, il ne voyait pas vraiment de mal à fournir à ceux qui le désirent des informations sur ce qui pouvaient se passer sur Terre suite à leur départ.

Finalement, l’homme donna la mallette à Ezequiel, récupérant son propre butin.

Les deux hommes partirent finalement chacun de leur côté. Ezequiel commença ainsi une longue enquête sur son frère et allant jusqu'à faire affaire anonymement avec chacune des diasporas pour récolter des informations, ne réussissant pourtant pas, jusqu’à maintenant, à retrouver sa trace.

Blblbl du jour, bonjour ! Blblbl du soir, bonsoir !

Je m'appelle Gwenaëlle mais Gwen ça me suffit bien ;) J'ai 26 ans, un bts compta sous le bras et pleins de projets en tête (qui n'avancent pas encore). Le dernier projet en date étant de partir bosser un an au Canada (ou en Nouvelle Zélande si le premier n'est pas possible). Sinon je suis une passionnée de musique, de cinéma, d'art et de culture en tout genre. J'aime découvrir des choses ! Je suis nouvelle dans l'univers du RP forum (3 mois environ) mais je crois que je suis déjà accro...

Lun 1 Aoû 2016 - 9:30
Bienvenue officiellement et bonne chance pour la suite de ta fiche Héros
J'aime beaucoup le surnom Malicieux
Lun 1 Aoû 2016 - 9:54
Bienvenue officiellement. I love you
Franchement, j'admire ton choix d'avatar, ça ne doit pas être très facile de trouver. J'admire aussi ta plume, tes descriptions sont justes très agréables à lire, ce n'est pas donné à tout le monde. À peine quelques mots, et j'étais conquise. Le bonheur, c’est quand le temps s’arrête. | Ezequiel Blackwood 2843410411
Bon courage pour le reste de la fiche.
Lun 1 Aoû 2016 - 21:15
Officiellement bienvenue parmi nous. Malicieux
Don Juan, j'ai beaucoup ri (mais ça va bien à Fassbender quoi)
Je n'ai pas encore tout lu, mais tu écris bien. Le bonheur, c’est quand le temps s’arrête. | Ezequiel Blackwood 2843410411
Lun 1 Aoû 2016 - 21:32
Brille  Vous êtes chou I love you
*n'a pas l'impression de mériter la moitié des gentilles choses qui ont été dites* Le bonheur, c’est quand le temps s’arrête. | Ezequiel Blackwood 2843410411

Et oui, le surnom eheh vous verrez pourquoi par la suite Malicieux *teasing*

Merci en tout cas ! Pleure
Mer 3 Aoû 2016 - 11:09
C'est magnifique par ici Cœur
Bienvenue parmi nous !
Mer 3 Aoû 2016 - 16:34
Bienvenue Cœur
Bon choix de vava :)
Sam 6 Aoû 2016 - 18:28
Michael Fassbender allo Tombe Tombe
Bonne chance à toi et bonne chance pour la suite ! <3
Lun 8 Aoû 2016 - 1:15
Merciiiiii à vous aussiiiiii I love you

Je vais encore me plaindre que je suis fatigué demain mais j'avais dit que je postais un bout en plus aujourd'hui alors voilà :3

*va se coucher maintenant*
Lun 15 Aoû 2016 - 13:50
Alors là, je suis totalement convaincu par ta fiche. Je trouve que tu as parfaitement compris et le rôle, et les transferts, et tout ce qui s'y rapporte, cela se sent dans ta fiche, et tu mérites vraiment ce rôle. Ton personnage est de plus franchement crédible, je l'imagine parfaitement irl, et ça ne m'arrive pas souvent, donc c'est cool.  Mwahaha

Ezequiel Blackwood

a reçu son permis de séjour à Pallatine

icon 100*100

Ce permis de séjour vous donne le droit de résider à Pallatine, de trouver un emploi et d'appartenir à une diaspora. Il atteste que vous êtes apte à vivre par vos propres moyens en ville. Nous vous rappelons que ce permis est obligatoire pour toutes vos démarches administratives auprès de l'Institut.

Si vous trouvez cette carte, merci de la déposer à l'Institut.

Informations à fournir dans les plus brefs délais.

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