James Winchester
Caractère
Histoire
Il existe en ce monde, une cruauté sans nom que l'on cherche à fuir et lorsqu'elle nous fait face. On se plonge alors dans une forme de déni pour fuir ce semblant de réalité. On se refuse à accepter la vérité. Tu étais un enfant sans trop de problèmes doté une histoire sans équivoque, sans formes. Tu vivais aisément et sans trop d'histoire. Tes parents s'aimaient et te chérissaient. Tu étais fils unique, mais l'amour qu'on te portait comblait cette sensation de solitude. Tu n'avais besoin de personne d'autre, ils étaient ton tout.
Mensonges. L'apparence n'est qu'illusion. Et tu avais beau être un gamin, tu comprenais que quelque chose n'allait pas. Le monde tourne rond, mais pas ta famille. Elle couvre derrière son masque de perfection un visage disparate. Ceux que tu nommais sous le pseudonyme de «père & mère », étaient bien loin de s'affectionner. Tu étais le fruit de l'union d'un mariage arrangé, dépourvu de sentiments et de tendresse. On essayait pourtant de t'en apporter. Après tout, tu étais le seul et unique fils qui eurent. Il n'avait que toi à chérir à aimer. Toutefois, il y avait ces moments d'instabilité. Ces moments où prit par un élan de folie ton paternel se mettait à hausser la voix sans raison et après la voix, ce fût au tour de sa main de se lever vers le ciel pour protester.
Dans un premier temps, tu te cachais dans l'espoir de fuir cette fureur que tu ne comprenais pas. Mais, il finissait toujours par te trouver. Puis, avec le temps, tu n'esquivais plus. Tu regardais cette homme dans le blanc des yeux, était-il réellement ton père ? Tu ne sais pas. Mais, qu'importe, te murmurais-tu. C'était devenu presque un rituel. La grandeur que tu lui accordais par le passé s’effaçait peu à peu. Tantôt tu l'aimais, tantôt tu le haïssais de tout ton être. Tu ne pouvais te détacher de l'image du père que tu avais, mais tu ne pouvais pas non plus oublier ces plaies ont il était l'auteur.
Vint ce moment assez équivoque où, tu appris que tu n'étais pas si seul. Une femme que tu ne connaissais pas vint souffler sur le château de carte de ta vie. Balayant le peu de confiance que tes parents s'accordaient. Et comme une maladie contagieuse, ça t'avait atteint. Si tu ne pouvais pas croire en eux, alors tu ne pouvais certainement pas croire en les autres. C'est endémique et ça te poursuit aujourd'hui encore.
Les dominos semblaient tomber un à un, alors que cette femme portait dans ses bras une autre vie qui peu à peu s'est mêlé à la tienne. Ton existence ne fût plus aussi seule que tu le prétendais. Pourtant, plus les jours filaient, plus l'amour que tu pouvais porter à cet être se transformait en aversion. Tu compatissais à son sort qui ne faisait que ressembler un peu plus au tient, mais sa simple existence n'avait fait qu'empirer les choses.
La main toujours plus haute, les gestes toujours plus grand. Lui, n'est pas miséricordieux.
Un matin, tu portais le noir. Ton père était mort alors que tu n'étais qu'un enfant. Tu ne comprenais pas pourquoi toutes ces personnes pleuraient en disant qu'il était parti, parce qu'il revenait toujours, parce qu'il te retrouvait toujours.
Mais, pas cette fois.
Tu avais suivi ta mère dans son pays d'origine retourner auprès de ses proches, en Corée du Sud. Elle pensait que vous alliez y couler des jours heureux et serein. Pourtant, quelques années après votre arrivée la guerre éclata avec la Corée du Nord.
Les jours tranquilles se transformèrent en combat et l'abondance en famine. Les rires devinrent des cris, et les sourires des pleurs.
Tu es seul, ta mère s'est effondrée. Le ciel lui est tombé sur la tête et il ne restait d'elle pas grand chose à sauver. Tu désirais de tout ton cœur de t'éloigner de ces terres de feu et de sang et c'est ce qu'il fût. Une contrée d'espoir t'étais offerte, elle porte le nom de Pallatine.
(͡°͜ʖ͡°)
Je suis un parterre de fleurs.
& J'suis quelqu'un de spotted.
Puis, voilà...
On me connait sous le nom d'Ades. Je pleure quand je vois du Javascript parce que je fais ça en cours. J'ai faim. Je sais pas. Jvm.
Je suis là a cause de Chester.....Salut.