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La Gazette de Pallatine - Septembre 2017

Ven 1 Sep 2017 - 0:52

La gazette de Pallatine

1er septembre 2017 ▬ Rentrée des claques

L'été est fini, oh oui oh oui, l'été est fini... Presque. On peut encore gruger jusqu'au 21, alors on ne va pas se priver de faire souffler sur ce mois de septembre un dernier petit vent estival. Une fin de vacances placée sous le signe du renouveau, puisque le forum se pare d'une apparence neuve, toute rutilante d'ombre et sponsorisée par Lamartine, afin de commencer l'année scolaire du bon clic. Tout cramer et repartir sur des bases saines, comme dirait l'autre. Si ce n'est pas encore fait, on vous laissera découvrir les menus ou gros changements de la saison après ce bref interlude journalistique. Et si vous trouvez que ce numéro de la Gazette est un peu trop effervescent à votre goût, nous nous en excusons d'avance, c'est qu'il a été rédigé sous doliprane.
Bonne rentrée à tous et à toutes !



Quand ils arrivent en ville ♫

Ils sont beaux, ils sont chauds, les marrons ! Ils chutent du ciel à la manière de lourds flocons. Ils ont des tonneaux ronds et ron et ron petit patapon – ah bon, ce n'est pas la bonne chanson ? –, mais avouons qu'ils ont tous quelque chose de mignon. C'est qu'on les cuisinerait aux petits oignons avant de les dévorer jusqu'au trognon, quoique je ferais mieux d'arrêter les allusions, jamais je ne serai marmiton, c'est ainsi font font font – lier les charmants papillons et jouer les adorables oursons – trois petits tours et puis s'en vont.




Aleksei Kuznetsov Il est né dans un monde en guerre, un monde où il a fallu mener la vie la plus normale possible. Ce monde, il le quitta abruptement après avoir entendu une conversation secrète au sujet de Pallatine. Cet épisode de sa vie l’a rendu très méfiant vis-à-vis du monde qui l’entoure. Il a d’ailleurs rapidement quitté l’Institut pour se retrouver tout seul, à onze ans, à errer dans les rues de Pallatine. Une période pendant laquelle il se sentit rejeté. Et pourtant, Aleksei est un jeune homme qui semble bien sympathique et qui prône l’égalité des individus en son for intérieur. C’est également une personne réfléchie dans ses actes, bien qu’il soit prêt à se jeter tête baissée dans une mêlée où l'un de ses amis se trouverait. De plus, ce jeune homme est une personne extrêmement discrète, utilisant ses talents pour servir d’informateur ou comme voleur dans certaines situations.




Ambroise A. Saito Ambroise est un million de parfaits petits carrés de verres, alignés au dixième de millimètre sous le microscope de l’opinion publique ; toujours infiniment esthétiquement plaisant, sous toutes ses coutures, rayonnant mais pas trop, jamais assez pour en être désagréablement aveuglant. Tout est travaillé, des harmonies pastelles aux sourires aux remarques adressées à ses abonnés lorsque ceux-ci le croisent dans les rues de Pallatine ; surface parfaitement lisse, pas un rictus honnêtement peiné auquel s’agripper, pas un froncement de sourcil non maîtrisé où s’accumuleraient les émotions troublées. Au final, s’est à se demander si pour le jeune franco-japonais, grand-chose a changé, hormis l’origine de ses notifications, puisque n’existent ici pas ses habituelles applications, et son habitude de déplacer ses quelques affaires d’appartement vide en appartement vide quand l’envie l’en happait. (Il rêve toujours au matin.)




Camille Claudel C’est une femme très sympathique, souriante, aimable. Elle est aussi passionnée. Très passionnée. Trop passionnée. Jusqu’à la rendre malade. Mais ça, vous ne le saurez qu’en entrant dans son cercle intime, ce qui risque d’être compliqué. Car oui, Camille joue de l’artifice et en use auprès de tous. Observatrice avisée, elle repère facilement les forces et faiblesses d’une personne, ainsi que ses talents. C’est pourquoi les opportunistes ont très vite porté leur intérêt sur elle. Tout comme l’Enfer, Camille est bourrée de bonnes intentions. Bonnes intentions qui cachent une grande manipulatrice. En particulier avec les belles femmes avec qui elle tente de s’acoquiner pour mieux les utiliser ensuite dans son réseau de prostitution. Elle les tue à petit feu, détruisant ainsi leur beauté si enviable. Et pourtant, ces femmes restent près de Camille, voyant en elle un guide. Parce que, d’un autre côté, Camille se fait défenseur des femmes opprimées. Camille s’enivre d’être l’objet de tant d’attention. De plus, avec les artistes qu’elle entretient, elle se montre rude, obligeant chacun d’eux à réaliser leurs œuvres jusqu’à épuisement avant de les abandonner écroulés dans le caniveau. Toutes ces choses ne sont que distractions pour elle. Une distraction preuve de sa folie destructrice. De toute évidence, il n’y a qu’une personne qu’elle aime vraiment plus qu’elle-même : Rodin. Mais il est resté sur Terre.
Sachez donc ceci, Camille est un monstre, une araignée humaine qui vous piège avec ses mots doux et ses charmes, créant une toile dont vous ne sortirez qu'affaibli et meurtri... Si jamais vous en sortez.




Ellana Carter Les Opportunistes abritent en leur sein nombre de champions, certains plus… particuliers que les autres. Qui se serait attendu à retrouver à leur assemblée la triple championne du monde du jeu de cartes Yu-Gi-Oh! ? Pas la concernée elle-même, en tout cas, transférée par erreur et certainement avec moult remarques peu gracieuses : la demoiselle a un caractère bien trempé (à moins d’être mise nez-à-nez avec une araignée ou deux, auquel cas, elle remplace celui-là par une fulgurante aptitude à la course à pied). Possédant désormais une boutique de jeux, elle s’efforce de s’adapter à l’avance technologique de Pallatine sur son époque d’origine, bon gré mal gré, ne serait-ce que pour le bien de son commerce. Et un jour, les enseignes Carter fleuriront la cité hors du temps.




Heidi Koskila Heidi, Heidi c’est cette myriade de pseudos poubelles qui auraient pu figurer dans (constituer dans son entièreté) le top 20 des meilleurs trolls de commentaires YouTube (ou équivalent pallatin) dix ans d’affilée, parce que si elle est dévouée à quelque chose, c’est à trouver son bonheur fourbe dans les petits riens de la vie : nominément, emmerder les gens suffisamment idiots pour lui répondre. Heidi c’est cette intelligence interpersonnelle et cette aisance argumentative mésestimées, qui ne brillent que dans le futile. Mais Heidi, c’est également ce trauma jamais résolu, sans cesse refoulé dans un recoin poussiéreux de son inconscient par ses mains qui s’affairent sans grand intérêt à réparer une énième fois un vieux moniteur qui mériterait qu’on abrège ses souffrances.




Kai Warren Ses mains volettent au-dessus des cartes, les mélangent trop vite pour tes yeux qui portent sur elle un regard ébahi : Kai, c’est la prestidigitatrice, l’illusionniste, qui d’un tour de main fait disparaître et réapparaître à loisir. À l’écart du feu des projecteurs, c’est aussi la main gantée qui, subreptice, glisse le long d’une enveloppe scellée, éclipse une information pour mieux la révéler aux plus offrant ; sans honte ni vergogne, elle modèle sa propre justice. Éternelle itinérante, forcée à la restreinte mobilité pallatine, son escapisme particulier la pousse à revêtir les atours de Peter Pan, d’amasser ceux orphelins d’une époque tant que d’une vie comme autant d’enfants perdus, abandonnés au détour du chemin temporel.




Taichi Hirano On a beau l’avoir toujours connu sous le nom de Cookie (et son anglais est parfaitement inaccentué), difficile de dénier les origines japonaises du jeune homme — pourtant, si interrogé, l’observation ne lui ferait ni chaud ni froid : après tout, pour lui, la notion de nationalité ne revêt aucune importance : que ce soit à Pallatine ou son époque parfaitement organisée d’origine, il n’a jamais connu un monde morcelé d’États. Compagnie aisée, il sourit, déride l’atmosphère d’une blague non intentionnelle, trébuche à outrance, jamais bien loin d’un bonheur banal qu’il effleurerait du dos de la main. Seul, la vie s’échappe de ses poumons, l’existence pèse implacablement sur ses épaules, les moutons de poussière s’amassent derrière des meubles qu’il ne réarrangera jamais. Sa décision de rejoindre les rangs de l’Iwasaki se présente tant comme une conclusion logique qu’un hasard : les écrivains tragiques sont coutume, ici-bas.





L'avancement de l'intrigue

Intrigue III – Avec un suspense tonitruant pour les dernières diasporas en lice, l'intrigue 3 s'achève sur une note des plus intrigantes pour les différents membres qui y ont participé. Après s'être perdus dans un labyrinthe de couloirs – merci les architectures bureaucratiques de la place centrale –, les envoyés de l'Institut Svensson doivent leur victoire à la vélocité de Locke Melborn qui, n'écoutant que son instinct, s'est rué vers la bonne salle ; là, ils ont découvert une capsule et un message de félicitations de la part d'un hologramme indéfinissable. Quel secret renferme donc cette capsule ? Et à quoi peut-elle bien servir ? Ils n'en sauront pas plus...
Après avoir réveillé un vieil homme assommé dans la salle de surveillance du centre commercial où ils évoluaient, les Altermondialistes ont découvert l'utilisation de certaines boutiques prétendument désaffectées : elles auraient servi de cellules pour enfermer quelques-uns des Disparus de 2015 jugés « incompatibles ». Un terme fort étrange qui recèle un mystère aux nuances très inquiétantes, tandis que de nombreuses questions restent encore en suspens.
Menacés par une sale bande de coqs, les Gangsters coincés dans les égouts s'en sont remarquablement tirés en mettant aussitôt leurs adversaires hors d'état nuire. Cette prouesse leur a ensuite permis de révéler une porte dont l'enfant qui les accompagnait expliqua l'usage : les personnes enlevées auraient emprunté ce passage pour être conduites au musée de Saint-Juré. Sauf que, alors que les responsables des kidnappings sont indéniablement les Opportunistes, ces voies-là semblent contrôlées par une autre diaspora... Y aurait-il un second coupable insoupçonné ?
Enfin, même s'ils sont parvenus à pénétrer dans le musée, les membres de l'Iwasaki ont été soudain forcés de rebrousser chemin en vitesse, escortés par une certaine Noor, s'ils ne souhaitaient pas tomber entre les mains des Dorés. Cet échec, dont les conséquences entérinent pour de bon la guerre entre les deux diasporas, est un nouveau coup dur pour le clan asiatique. Néanmoins, il est probable que cette déconvenue attise ses envies de vengeance.

Vous pouvez retrouver le détail de chaque intrigue et les aboutissants des sujets dans vos sections respectives. Pour ceux qui n'auraient pas suivi le déroulement des scénarios ou souhaiteraient se rafraîchir la mémoire, n'hésitez pas à y faire un tour.
Un grand merci à tous les participants !




Retour sur la mise à jour...

Le 27 août dernier, Chronosrep fermait ses portes pour sa plus longue maintenance à ce jour : plus de quarante-huit heures de bricolage menées sous haute confidentialité et de main de maître par les quatre ouvriers du forum. Crises d'impatience et avalanches de soutien à l'appui. Il en est finalement ressorti, le 29 août, une nouvelle version en vert-de-gris, saluée jusqu'au-delà des frontières de Pallatine. Il fut d'ailleurs impossible de résister à l'envie d'interroger l'un des artisans du projet.

  • Plus de deux jours de maintenance avant la réouverture de Chronosrep qui, entre le nouveau design et les modifications de contenu, semble emballer tous les membres. Quel est votre sentiment devant votre travail ? Avez-vous déjà des critiques à faire dessus ?
Seung Joo Hwang : J'ai surtout l'impression d'avoir perdu trois jours de ma vie, j'ai envie de dormir et j'ai mal à la tête. Mais voir les réactions enthousiastes fait énormément de bien. Au bout d'un moment, on passe tellement de temps sur son travail qu'on en vient à le détester un peu. On voit plus facilement les défauts que les qualités. Alors ça me rappelle pourquoi je m'embête autant. J'ai toujours des critiques à faire, mais je me dis qu'on a fait ce qu'il fallait, et que ça fait plaisir à des gens, donc c'est l'essentiel, non ?

  • Le rouge a cédé la place au glauque dans les couleurs principales. Comment les choisissez-vous ? Est-ce qu'il vous faut discuter sur tous les aspects esthétiques ou bien vous partagez-vous les décisions ? Y a-t-il eu des conflits ou des compromis à faire lors lors de l'élaboration du thème ?
SJH : Le glauque omg j'ai ri. Alors malheureusement, si on pouvait choisir nous-mêmes les couleurs, on le ferait volontiers. Mais en fait, on cherche juste une image qui nous plaît et on regarde quelles couleurs sortent. Et après, on s'adapte. Sinon, Naga et moi on se fait plutôt confiance, donc l'une d'entre nous choisit l'esthétique, et l'autre suit.

  • Davantage de sobriété dans l'apparence, mais aussi de nombreux changements didactiques ou interactifs. Était-ce prévu de longue date ? Comment y avez-vous réfléchi ? Y a-t-il des éléments qui se sont révélés problématiques en cours de création ou d'autres que vous avez dû couper ?
SJH : Ah ah, c'est un secret. La Gazette de Pallatine - Septembre 2017 3416388633 Globalement, le côté pratique du design et la rapidité du chargement sont nos préoccupations majeures, peut-être encore plus que l'aspect esthétique. Pour ma part, je passe énormément de temps à lire des articles sur le webdesign et sur les dernières nouveautés html/css. Coder est le genre de choses qui me détend après une longue journée de travail. La Gazette de Pallatine - Septembre 2017 2560538792 Du coup, j'ai tendance à évoluer constamment dans ma façon d'envisager les différents designs. Et je pense que cela se ressent dans le résultat final : on prend en compte les remarques faites sur les précédents designs, et nos dernières découvertes, et c'est ainsi qu'on progresse. Un jour, peut-être, on fera quelque chose de vraiment optimal. J'y crois, moi.
En dehors de ces éléments techniques, le reste du design vient tout seul, quand on commence à le coder. C'est assez rare que j'enlève une partie de mes propres codes, pour ma part j'ai tendance à les retoucher plusieurs fois, mais sans jamais tout changer. Et pour le coup, le plus gros problème que j'ai rencontré a été de refaire les générateurs de présentation. D'abord, trouver le code approprié et qui fonctionne m'a pas mal occupé, vu que c'était au dessus de mon niveau. Et puis, quand je prévisualisais ma page, les sauts de ligne n'apparaissaient pas. En fait, ça fonctionnait très bien sur la page finale, mais je ne m'en suis pas rendue compte tout de suite, donc j'ai passé des heures à tenter de trouver la solution à un bug qui n'existait pas vraiment. La Gazette de Pallatine - Septembre 2017 1866147747

  • L'on découvre de petites touches du travail des modérateurs : dans quelle mesure vous ont-il accompagnés ? Vous apportaient-ils des conseils au fur et à mesure des avancées ou bien se montraient-ils force de proposition ?
SJH : Puis-je dire qu'ils sont géniaux ? Ils sont très différents tous les deux mais ils nous aident tellement ! Pour cette maintenance, c'est surtout Camille qui nous a aidé et nous a donné beaucoup d'idées. Sans son aide, on y serait sans doute encore.

  • Quand est-ce que sort la prochaine intrigue ? L'évolution du scénario est-elle d'ores et déjà écrite ? Êtes-vous plutôt organisés, à suivre un plan prédéfini, ou vous laissez-vous détourner à court ou long termes ?
SJH : On est très organisées, mais on sait où on va. On a les différentes étapes de l'intrigue et les jalons qu'il faut atteindre, mais rien n'est fixe et on est prêtes à s'adapter à ce que les membres font. Du coup, rien n'est vraiment prévu tant qu'on ne bosse pas sur l'intrigue suivante.

  • Le mot de la fin ?
SJH : Plus jamais.


Vous pouvez consulter toutes les nouveautés liées à la mise à jour dans ce message et y faire part de vos impressions.
Quant au Staff, il a bien mérité de se reposer à présent. Bravo à lui pour son travail et sa ténacité et à bientôt pour une nouvelle interview en direct de Pallatine ~



Expression libre et petites annonces

LA BOÎTE À CHAT S'ANIME :
Que la coïncidence d'avec la mise à jour soit fortuite ou non, le mois de septembre s'ouvre sur une animation Chatbox : pas de cartables à préparer ni de cours à suivre, heureusement, mais pour ceux à qui les devoirs d'école manqueraient, nous les invitons à envoyer trois questions concernant leur personnage (un par membre, au choix) à l'un des admins, puis à se présenter ce samedi 2 septembre à 21h30 sur la Chatbox du forum. En dehors des festivités d'usage, au nombre desquelles le lynchage de Toshizo compte parmi les attractions réputées, un grand questionnaire reprenant ces interrogations sera proposé aux participants. L'occasion d'apprendre à mieux connaître le personnage de son voisin et de se réunir dans la joie et la bonne demi-heure. N'est-ce pas.
Pour le récapitulatif éclair, la meringue est par ici.



ET LA DEVINETTE CHERRA :
En vue de préparer un éventuel jeu lors d'un numéro ultérieur de la Gazette, nous vous proposons ce mois-ci trois petites devinettes aux airs de charades. Derrière chacune de ces affirmations se dissimule respectivement un élément du forum : personnage, lieu et sujet RP.
À vous de deviner lequel grâce aux indices !

• Je suis un as vert et blanc qui aime danser sur un avion.
• Je suis tombée dans l'obscurité et ce n'est même pas drôle.
• Je suis une peinture de l'Amérique chantant l'amour et la mort.

LE COURRIER DES LECTEURS :

Un projet à valoriser ?
Un événement à promouvoir ?
Une annonce à faire passer ?
C'est ici que ça se passe !

- envoyez un MP à AER pour figurer dans la prochaine édition de la Gazette -


• À partir du 3 avril jusqu'au 5 mai, le musée des Beaux Arts de Saint-Juré expose les oeuvres de l'artiste Tamin Kvusteg, Polonaise exilée en Yougoslavie à la fin des années 60 puis transférée à la demande de son mari, le mécène Opportuniste Noël Seighec. Portraits dorés à la feuille, sculptures végétalisées et mosaïques de verre multicolore ne sont qu'un morceau de l'impressionnante collection de la plasticienne, ici dévoilée pour la première fois.
« Mythes terriens et folklore diasporal : les cultures parallèles de Pallatine », de Tami Kvusteg : du 3 avril 2016 au 5 mai 2016 – 8 dollars l'entrée, gratuit pour les -12 ans – audioguide disponible en 17 langues.


• Des témoignages récents ont rapporté que, tous les samedis depuis le début du printemps, un trio d'individus louches rôdait aux abords du parc d'Ivale et s'adonnait à une sorte d'orchestre miniature improvisé. Le voisinage excédé par la cacophonie a bien tenté d'intervenir pour prendre les malfrats musiciens en flagrant délit, mais c'est peine perdue. Chaque fois qu'ils sont sur le point d'être découverts, les trois compères disparaissent sans laisser de trace... Les parents recommandent à leurs enfants de ne pas traîner seuls ces soirs-là et de la mort-aux-rats a été déposée sur les bancs publics.
Par ailleurs, un avis de recherche a été lancé et une récompense offerte à qui les livrera à l'Institut.
La sérénité du lieu dépend de vous.



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